DUEL. [Suitsvoyez notre dernier N i) 6 Men léést in verscheyde Dagbladeren dat’et eenigte reyzers het land doorloopen, met zakhorlogien, en hun uytgeven voor franschc Soldaetendie om hunne reys te vervoorderen genoodzaekt zyn, hunne kleederen te verkoopen. Wy mogen ookzegge nhct geluk gahad te hebben van door deze heeren bezogt te wezen, en d .t'er eenigte goedhertige nersoonen, uyt cimpnesiebonne borlogien gekogt hebben. Zulke daeden zyn zekerlyk lofbaer aengezieu zy mcnschlievende zyn. Doch vcrmeenen wv deze goede mensch*n te moeten waerschouwen dat in zulke koopeu men gcmakkelyk in de nrys inisslaegen kan begaen. Ernen naeniloozeu sclnyvcr hééft ons ecnen hr ef laeteu geworden, de welke lasteringen iegcns verscheyde persoonen', was inhoudende. Dezen brief is terug gezonden geworden aen de persoon van wie ik kwaem- Pour se convainarc que depuis des slidesla législation a const^mmeut sevi cotitre la pratique absurde et barbare dn duel il suflit de jetter les yeux sur les édils des «4 Mars if>36, i,j Juin t658, 13 Novc'mbre 1667. 3o Mars 1669, et l’édit des états de Hollande du 20 Mars ifUrj. Le Code criminel de Hollande, publié le 3i Décembre 1808, pUnissait sévèrement 1c duel. Mais dira-t-on le Code 1810, tjui nous régit encore, n’a point porté de peiuc contrc le faux point d’houncur, vu l’abscnce du mot duel. Cependant en examinant les motifs du Code, on pourra se eonvaincre du contraire. Le rapporteur, au nom de la commission de Ia legislation civile et criminelle sur la loi qui nous régit encore, s’exprimait ainsi dans la séance dn 17 Février 1810 <t Vous vous demandez pent-ètre M. M. poitrquoi les auteurs du projet de loi n’ont pas désigné particulièremeut un attentat r anx personnes, trop malheureusement connu sous le nom de duele’est qu’il se trouve compris dans les dispositions gcuéralea qui vous sont soumises Le projet n’a pas dit particular? er une espèce qui est comprise dans un genre dont il dunn" les caractères. Si la mort est le résultat de la defense a une irruption inopiue’ea unè provocation soudaine et a main arméc; elle peut suivant le$ circon-tances et la.vivapitê de laggraision être classée parmi les crimes legitimes et excusahles. Si le duel a suivi immédiatement des menaces, des jaetances, des injures; si les combaitans qutpu êtreentrainés par I emporte-i ment de la passions’ils ont agi dans l'ébullitiou de la colèr» its seront classés parmi les meurtriers. Op het verzoek van verscheyde persooneH tvord dezen rtikel in de fransche tael gegeven.

HISTORISCHE KRANTEN

Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 6