II ’Tzy dat HL TH! (7) R A E D Z E L. Numinnaers van liet raèn, doet uwen geest erleven. En zegtwat dat aen u, hier thans is voorgeschreven, Als ook wat dat ik ben ik boudeiny te vreèu, Met een gedraeyen weg baestelyk te betreen; Doch ik maek eerst een kruys, voor onbeyls of gevaeren, ’Tzy dat een PJutomy, of and’re zouden naêrcn. Ook verheug ik op feest, en jong en oude lièü; Ja gy hebt menig-werf my in deéz’ stad gezien. fiet word van onze leste Let'er-a>lssel~vrae<r iit Aelst, waer in men vind Tales en Stael. ïV.° prochain^ Iff delen 1 slatiour u'ini ail laeteu ionen', n aen inces, lorle-» colèr» ■eyzers i voor dzaekt geluk ncn linnne iifbaer goede i men 1808, point ce du H ion a duel 16, J-, lit des uteurs ttentat m de érales !r une tères, iption 1; elle ision rra se n Mais si les coupables orit médrtc, projeté, arrêté a t’avanee er* étrange combat; si la raison a pu se faire entendre, et s’ds out méconuu s* yoix, et au mépris de l’autoiité, ch rché dans x> uu ai me homicide la puintion qu’ds lie dcvaient altendr^ quo du glaive de la loi, ils seront des assassins. Cette explication, fournie par la commission de legislation du corps Icgislatifet non coutredite par les orateurs du gouvernement avail done decide, en France, dés l annee 1810, que 1c duel était punissable. C’est done avec justice que depuis nos cours et tribunaux ont constamment suivi une jurisprudence conforme a f’espnt de la loi et présente par la morale. Nous nous contenterons de citer l’arrèt de la cour de Bruxelles, du 3 Juiilet ibi^, et celui de la haute cour militaire d Utrecht, du ip Février 1818, qui régandent le duel comme uu crime capital; ou comme tin délit settlement susceptible d’excuse selois les circonstauces du fait qui pourraient aussi quelquefuis donuer lieu a trailer le cas de legitime defense. 11 est étonuant que le pays a qui nous devonS le Cade de 1810 que.la France ait vu la cour de cassation proclamer en 182 liinpunité du duel. Voici a quoi sc- borneirt les motifs de eet' arret bieu que le duel blessc la religion ct lamorale, et portê atteinte a 1’ordre public, il n’a été reconnu pour crime par aucune disposition des lois pénales en rigueur. j Cet arret nous porte i faire la réflexion suivante France, vous qni avez tant contribué a la propagation des lumicres et de la raisonvous tolérez aujourd liui le barbare usage du duel, tout en portant des peines sévèics contrc le sacrilege. Quelle étrange con tradiction 11 fui d un

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 7