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>rst, tot dus
omscli Ka-
Kamcr dcr
divan meer
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Provincie
uw, op den
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duynkerke.
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er geheel te
iderlandsch
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lykcn Gods-
afzondcrlyk
Augustus
eken zullen
De Paillet,
m dcr pro-
licefl plaets
s den zilven
gesloten.
zegt, dat
dezer stad,
i begaf om
eest, om de
Seutin, die
te - neémen,
te hebben,
ouderdom,
lae Brugge
t begin der
nen.
.4 O ovit.v---
lui déclare ce qui vient d’ar river. L’officier lui envoyêdeux
ndarmes. On l'interroge, mais il ne répond qu’en trépienant
et ---t o
en
prison; on
Het schynd dat het leggen van den steen-weg van Veurne
op Nieuport nog gene plaets zal hebben, alsook den geénen van
de eerst-gcmcldc stad op Duynkerkc-
De Jaer-merkt, tot Vpcr, zal beginnen den 5 Augusty
aenstaendc, en cyndigcn den 16 daer nacr. De verdecling der
plactscn zal geschieden den 4, ten g ueren’s morgens.
mordant comme un chien enragé. Mes gens
colèreempoignent le particulier et le trainent
l’enfèrma en lui disant que puisqu’il aimait
i/ pouvait la faire aux rats et souris qui
v:- --7 a pass4 le
maïste lenaemain, u jut appellé et conduit
reste de la 'i ^evant ie magistrat d’ Hondschoote (c’était
.j la démence des juges maïs, toutcela ne pouvait les
impu>r(l aiiait être conduit a Dunkerque et déclaré comma
s; une Urne compatissante n’eut en pitié de lui. On
<-«//,«,(>.■ MIe. 11 a Ué ?ui,K
ïnpavant son écot, ainst que i5 sols a la servants du cafetter
2ur raccommodage de ses habits. - On lui conseilla de ne
iamaisvlus se présenter a Hondschootepour se faire trader en
r J’ai l’honueur etc. J.-L. R.
baron*
A L’EDITEUR DE LA FEÜILLE d’annonce de furnes.
Dunkerque, ce ij Juillet 1826.
Monsieur L’e'diteur,
On parle beaucoup ici d’une anecdotearrives dans la ville
d’ Hondschooteelle m’a paru plaisanteje vous prie d’ en
faire part cl vos lecteurs.
Un particulier, d’une taille extraordinaire qu’on croit être
un Irlandaiset un élève de Bachus, se trouvait casuellement
a Hondschsote, au café l’Ancre d’or, le dimanche 9 du courant,
(jour de dédicace'). Quoiqu’il n’est pas défendu de boire un
verremais ce particulier avait pour ainsi dire le ventre plein
et comme il ne cessait de commander du vin, le cafetier con fut
quelque défiance parcequ’il n’avait pas encore vu s’il battait
monnaie il lui dit done qu’il ne suffisait point de boire qu’il
fallait payer. A ces mots, notre homme se mit dans une telle
colère .qu’il sauta sur le cafetier lui appliqua quelques coups
de poings au visageen disant qu il etait un impertinent d’6ser
demander de Targent d’avance a un homme de sa sorte, car,
sachet, disait-il, en montrant quelques pièces rouges (queje
ne crois pas être de l’or), que j’ai les moyens de me faire
trailer comme baron. A ces motsle cafetier lui dit puisque
vous êles un homme d’importanceil ne serait pas juste que
vous sortiet sans suite, va^direclement a officier de police
et
gpl
des pieds
déviennent
d faire la guerre, U pouvait ui jaire aux rats e
Jtrouvent dans eet enclos. J ignore comment il
la nuitmaislelendemain, il fut appellé et conduit