>(r) t *7 t, ette, is irs. ie. I s s i cette t belle, thaient. -amiral IS g at nt notre i faveur diant ce scendant Berthe Doudas, et ce dernier ne nouvant pas la séduire, résolut de l’épouscr. 11 n’y lit consentir Beitlic, que par ce qu’il prouut de (aiie un sort a sa mere. La veille des nóces le iulur fit présent d’ini écrin a sa bellect pour la première fois sa mere lui permit de s’asseoir sur les génoux de son amant; une bague tomna, et Berthe voulant la ramasser, pcta sur la cuisse du valet, celui-ci indigné, prit son chapeau et partit sans dire un mot. Ccpendant, le lendemain, les gens de la nóce étant assembléson ne vit point paraitre celui qui devait conduire l’intéressante Berthe a 1’autel, oil déja le bon pasteur les attendait. Déjh la médisance aiguisa ses traits, ils parverent jusqn’a Berthe, et ce fut pour elle le coup le plus sensible. Alors elle se décida a une demarche qui répngnait a son coeur, en se rendant au chateau, avec sa mere et ses parensmais notre héros d’anti-chambre piqué au vif, refusa de les écouter. L’amiral, qui cutcndit le bruit, sortit de ses appartemeus pour en connaitre la cause, et, s’adressant a Rosensxy, (nom de son valet), lui demanda pourquoi il no conduisait pas cette belle a la chapelle du chateau Seigneurje n’épouse plusAurais-tu découvertun rival?... Non, monseigneur!.. Berthe aurait-elle cessé d’etre sage Berthe est la vertil même... Son caractère serait-il incompatible avec le tien?..... C’est la douceur personnifiee... He qu’a-t-elle done fait?... Seigneur, elle a peté Elle a peté! butor, et voilli tout sou crime, et qui done ne pete pas ici has? Rois, meridians, prètres et avocats. Allons, maraud, demandes pardon h cette belle, et ne me fais pas penser quo ton ca-ur,tel qu’unc légère girouetteaitpu tourner au moindre vent.... Seigneur, mon parti est pris; je reste garf on... Faquinje prends le mien en te chassant.... Ditcs-moicharmante Bertheêtes vous bien éprisc de ce fat? Jene comms jamais l’amour, monseigneur, mais if avait promis de faire le bonheur de ma mere, et j’aurais faitle sienQuoi! vousalliez vous sacrifier par réconnaissance? Et si je vous olTrais ma main, a ces conditions, pourriei-vous les rcmplir a mon égard Elle tomba aux pieds du vétéran, en disant je suis indigne de tant d’honneur. Hola Mes gens s’écria Douglas, transnorté de joie, voila votre maitressedans huit jours elle sera ma femme. Que mes vassaux soyent invités aux fetes et aux tournois, auxquels je veux encore brilkr, malgré mes soixante- quinze ans. Le héros coulait des jours si heureux qu’il e regrettait ceux qu’il avait passé loin de sa chère compagne. Mais, Leias 1 il mourut au bout de deux anscn laissant sa veuve en possession de ses immenses richesses. Berthe profondement affligée, 3’imposa(uu rigqureux veuvage ct ne voulut voir personne pendant deux ans, quoique son palais fut assiégé par d’illustres adorateurs. Ce fut veis cette époque que la républiqne soutenait une guerre contre les turcs, guerre d’autant plus désastrense que les richesses de l’état étant passées entre les mains d’avides sénaleurs, le trésor était épuisé, et le soldatental payé, refusait de combattre. Stanislas, leur jeune général, venait d’arrivcr au sénat lorsque la veuve s’y fit intro duin-; elle s’èxpnma en ces te.mes mes scigueurs, les calamnités

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 7