rr. 'ofAne, de kotten idschoote t i, etc. du Nord. r? si on ne essentirait, de donner ms dit-on ^romenade is procurer e plaisir a trangcrs et can. Nous celle des lite. Puisse «I persuader rimailler, jc 11 v Motnus que ta galté soutienne mon haleine, Le son de tes grclots ranimera ma veine, Et vous oiseaux matins toujours prèts a siffler, Beveillez le leeteur que je ferai ronfler. Tu le veuxj’obéis et ma muse soumise, De eet endroit charmantva te tracer l’esquise Heureux, si tu m’accorde un mot aprobateur, Ce mot sera pour moi le prix le plus llatteur. (t) Sur un sable brülant qu’une eau saumatrc across, On ne ceuille jamais ni 1’ceillct ni la rose, Et si Florc y produit quclques fleurs au printemps, On ne peut s’en servir que pour des laveinens. Entre la mer et nöus les dunes sont les borncs. Nous avons vingt pècheurs, dix~se.pt bites h cornes; Trcntc femmes, six chicns, cinquante-six moutons, Quatre-vingt-douzc cnfans, tant fdlcs que gar^ons.... Un vieillard génércuxsensible personnage(2) Voulut de ce liaineau faire un petit village La, disait-il, parfois, nous ferons des heureux. Nous sècherons des plcurs, nous formerons des noeuds. Le chateau s’élevait, avec lui l’espérance De voir cesser bientót les maux de 1’iiidigence Mais l’espoir est décu, 011 quitte les travaux Et l’honnête indigent a quitte les travaux; retrouvc ses maux. La suite a un autre (1) Il n’cst pas étonnant que des hommes habitués a ne voir, quo des chaumières ayent décoré du uom de chateau, ce qui,n’cst au fait qu’une maison de campagne ébauchée. Nous pensons que les veis qui precedent s’adresseijl a un diet suppericur de 1’adininistration du droit de 1’ctat, qui sc fait pardonner le droit qu’il a de commander aux autres, par la supperioritc de son génie et les sentimens de justice qui le caractéi isent. J (I) Nous repétons avec plaisir l’éloge que fait l’auteurd’un JL, coucitoyen qui s’est acquis tant de titres a la reconnaissance publique. Nous nous rappelons d avoir vu d’autres vers sur le meme individu qui renferment ceux que nous publions, et dont voici quclques fragmens f Intègre magistral, equitable et severe, Tlfraya le chemin a tons les successeurs. De ses administrés il fut toujours le pcre Et sut les nrotégtr centre leurs oppresspuis. Digne legislatcur 1 par sa condescendance Il n’encensa jamais le pouvoir absolu. L’intérèt général guida sa conscience Et 1’on ne put jamais corrompre sa vertu. Quand des Mocrcs enlin son géni tulélaire, Retira du néant les terrains engloutis Hercule ent hésïté, mais il osa le faire, Et par lui les marais se recouvrent d’épis....

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 11