7 nen orn 'en Vestende, is 1826. gden voor t '5 mliggende j eertv. laen hééft. 'avez pasbesoin (Tailleurs vos charmes embellisseut 1 i lz»c rl tl tri 11 /I ’n nieuw- e gedaen ■rukt Van gdzaemen ct extra toute part e quelquc enfin a té. mnorez de receyezep adresse de tuut ce qui uiderai au conjurerai s pasla pourrez ii ons suivis par leur puissance/ eux. Mes vents, etc itage. Mes lité de la le vitesse; as et gravir le rochers. avec mui tarée sera uissaaces rven van lerAbdye Ik en over— 70 jaeren. door ons -pastor is 'ge mogen qui, loin de uuire a ’a santé, la rendcnt meiHeure. Voltaire a dit Si vous a-e' h solliciter prés d’un miuistre, informez-vous adroitementavant votre audience, si monseigneur a été a la garde robe, car rien 11c re.id l’homme plus humoriste que la constipation...» Quand a moi je préfèrerait trouver celte excellence en sortant du bai'i, car le bam calme les humeurs acres, rafraichit le sang et a no. tit Tellervessance des passions. Sous ce rapport, quelqucs gros butors, qui ne sont pas miuistrene feraient pas moins bien d cu profiler de la proximité de la mer pour s’y rafraichir souvent. Jeuucs beautésvous qui venez vous baigner ou folatrer dans tnes bruyères, ne vous affiiblcz pas de ces habits fastucux qui co itrasteut avec la simplicilé de ces lieux agreslesvous n’en - t vos plus simples négligés, et ni les rubaus, ni les deutelles ne donnent des attraits a celles envers qui la nature fut maratre. Pourquoi ces bijoux de toutes les formes et enrichis a l’infini Ajo-iteut-ds a vos plaisirs? Non, ils les empoisonnent par les inquietudes qu’ou éprouve de les perdre. A-t-ou besoin de porter dans un endroit consacré a la joie, le signe vénérable de notre salut, ct que l’on a placé très-improprcment sur des objets qui mèuent souvent a Ja damnation. II seinble qu’on ait voulu reunie le symbolc de la mort avec ce qui cause les résurrections. Pourquoi ces baguestoutes enrichies qu’elles sont? Elles n’e 1 représentent pas moins le lien de la servitude; et les anneaux de la chaine que nous sommes appellés a trainer en ce bas monde. Pourquoi ces raontrés? A-t-on besoin qu’elles vous rappclent le temps qui s’écoule lorsque ces dames vous le fout si aqréablcm >nt oublierquela satiété seule fixe le tenue de vos plaisirsPourq 10 Jlais laissons-ia ces pourquoi, et répétons settlement que 1 1 ornemens sont superflux dans ud endroit oü Ton voit règuer’. dans toute 1 ctt-udue’de Tacception du motici se coiifoudent rangs, 1 age et es distficcs Ie chef de la maison ses enfans et -s domestiques semWentfn’y former qu’une seule familie, et l’altb gouvernante que Ie mnltre a choisi parmi ses gens p >ur commander auxautres, et qm a sou tour.Pest urrogée le droit de le commander lui-meme, a quitte son arrogance eTie adresse meme des choses ^1,{,,^i!®^SeSCaia,aerades ense promettant bien de s’en dédom.nagei Ceux quj voudronl bien.mc visiter trouveront au cabaret Hoyard bons vms, bonne bière, liqueurs et coin; tildes et l’hdtesse, dunt 1 obhgeauce et 1 honeteté ont passez en privérbé, avec ses bel/ s events, lera tout son possible afin qae tout le monde soit content.,- N’oubliez pas le café da nordmor.... I’hote en serait au dcsesnolr. Si vous avez quclques restes de provisions, messieurs et dames vous trojiverez dans les deux premières maisons en entrant chez moi, deux ménages bien misérables plus loinune mere de quatorze enfans, et dont le mari est toujours rnaladc. Eufin les deux dermères cabanes renferment des vieilles veuves qui ont aussi des titres a votre générosité.

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 7