y wS aytterlyk leweging nhoogen wagten, eer den. icrhaelde lenkomst ster Van mddelyk heeren tvanger, rtrefl’elyk de amp- ierswal, igd had. n, door genomen ygen be- Srde ver- middag, eimaerde iteyt, aen dagt van retariaete registers, e zig de erkingen, llospitael Iringende r middag *emeester, iheer den lattevalle- w aenge- geschiktc gens zyne Bkrnier- uytterlyk zekerheyfi gt in zig, ouyerneur r w“'“ d’a,“ voiilu hire [ir'ir I 4'’”VS ac,w du gouvernement, et nous laiie.r i sais oilse trouvant la je qui von encore pour qui i regr fois mieux ravaux du un lit de et surtout rienparee nuissent a Uillivu -- de publier quelques coiites en vers ou en prose. A cetie jus donuons le inanuscrit des peteurs, et voila la guerre alluméc. inc la charmante Berthe a-t-elle pete, qu’un tout jeune, je iais lie sais nent, vient y mettre le nez, et trouve que la chose est do vaise cdeur. On traite l’écrivain de sale auteuret on dit '.1 - sujet. C’est la !e sent trouve dans sa satyrec’est doramage qu’il 7 faire. Ces braves distributeurs de brevets, naguère employaient la plume de 1’uu de leurs nouveaux adeptes, r ?-faireSes saty. es bien mordantes sur des personnes esUmables l..rim "taieut iuco.mucs.... Maisje m’arreteet ce ne sera.tqua regret que je “aiter^de matière de religion, et TOl°“vez bien faitce sujet est trop respectable et trop debcat V”“,tXer «-er. encore bien mpns de la monarchie>1 est vrai que, sous voulu saper les om nótre, ii serait difficile de trouver prise, un gouvernement e q donner les nouvelles les plus Vous vous ctes jes articles destines a faire rire sans intéressantes e a I. r persoiuie, ui dans ses intéréts, ni néanmotns ne you o. pl,jant, parlez-vous de la dextérité d’un dans sa réputa ion 1 a vouju designer; a-t-on trou”é line nagcur, eest un e q ceHc d’un tel; parle-t-on d’un voyage perruqueeui lrl’1(.ucs a roulettes, c’est encore un tel; enfin |’asai“debonnepart, que le mème article a été applique h une rsonne de Fumes, a une autre de hveuportet eniui i u>.e I Almede Vixmuiie, tandis que nous ne mettons en scene que Xonnes idcales. Pour faire cesser ce commerage nous nons des p J. .„,ki,,.r „.tpltiues coiites envers ou cn prose. A cette avisons fin nous A peh'e ne sais qui, Tenant de je ue comment, vient y mauvaise it....... - très-irouiquement quil est pie in de son 1' 1 copie, mot pour motrdans 1’iron. Qui sans doute u’est pas sMe auteur a ses yeux'puisqu’il senible le connaitre par coeur. F* fm s’écrie-t-il si je savais rimailler et aussi-tut, pour faire ‘Lnt/re sa belle voixilouvre un large b e et rima.lle d’uue telle f rec que, jel’avoue k ma honteil ue me sera pinais possible He 1’imiter. L’invalide a eu la pölitesse ne deu ander grkce aux mais le milicien aurait bien mieux iait de deinander pardon. □ux.’ oreilles, car si les siennes sout a l’épreuve des sons aigres et discordans, il n’en est pas de mème de celles du public. Au demeurant la distance qui existe entre un original ct une copic entre un invalide et un consent aurait bien pu me dispenser de1 répondre.et reprenant mes grèlots, courrir a travers les champs de la 1'olie, oil 1’on trouve toujours d’amplcs moissons a fade, sans s’inquiètcr du qu'en dira-t-m

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 7