i I I 1 I Piramiden, rarajH.’HiH.ra.-a.rEjaraJHrH.'sra. DuBKEaQVt, i3 Aofit 182b 9 i I i vlugtendif, van alle» terbiauden en alle- de I van uen loiters Europeaep woonste, 'He dogters •ot van hun I afgemat cn I nsch leger, ■r over, ola gingen iy lek Waereu ie soldaden de heette 1 oogenblyk •gypten, had ri dit Jsiid *yn voet dp e wolk van. edergedaeld, trekken, of 1 gemgt te de voet, cn 1 het hooren st; tnaer hy I z*g van den P de plaets ven het zand ■n, maer de i eeuen Silo i dat geheel 1 zonder uyt- Sjypten. T’is huldigd zy.i, I vervvyderen,' i deze goede h weder, j M- otn aen bet doen maeken, J van gedacn in de aerdj cnblyk zyn’cr Tai lu 1’aunonce de M.' L. P.,la réponse de la belle Susanne et k 'réplique du p.emier me fait présumer nu’d est encore hire. Si cela etait, je lui prouverais, par mes nombieux certdicats qne nm.eurs et ma conduite sont a label de loute censure; etsd .n attendrc six semaines, mon service de nournce aura inn,- èt e lui donnerai b main.... Je vals, cn récapitulant ma vie, cm fesser ce qui donna lieu h cet accident. Ayant perdu mes pareus coniesser q e U11 oncje> bcdeau du Village de... tres-jeuue,]Je wqllre d’école, de chirurgien, de ou il cxcei$ bicu (c mciHeur lionune dentistq, de music. »t s0;dmais c’ctait le lout de le du monde, qua eUt Qua„d a moi, je me ressouviens de tris’ ïois dansjim vie. La boisson le rendait vain, presomptueux, el dix-huitième aunée, etsaus me flatter, Vétaish'Sus'joïiepersdnnedc l’azr.mdissement de la sous-préfecturey - taJe svelte et fiancée, démarche elegante, teint de hs et des lame svei essifs. boucue sur laquclle crrait le sou nr roses, grands e^Ci^rant, laissa.t voir deux raugéo des grace, 1 a;,.e. sourcils qui formaient deux arcs tfé).Cre «Ir mes yetix front élevc, Ct que mille bouclcs des Jheveux noirs eutourra^t; un se.n dont X enus aurait éte jalousm Alais ce qu’on admirmt uc plus, c e^ait ;aes fossettes a la jöjre qui L.massent celle d’HeUc. s Parmi mes adoratem» je dwtnigujis pn jcirne Anglais, nomme 7? Xc.o«</-Tr«te.vpassei ini sou cai dctere.brouillon, son mclinatioa x Aire des mauvais ni<!;.a-es, a désumr des amis, et a mediro ae tout le monde m mb de ses proches, il él.ut uu excellent cufanl, vindicatif k l’exc.s' quoique naturelleme it a vare, d deveaat <>di,rue pour a.souvir s» vengeance o»sali.lane sa glorio.c augiaisr<“ Son debut de cdnnaissance dans ma langue 1 a souvant expo-.i: se fairc moquer de lui ici il voulait uu jniroir h la franschi- "inc (one glace), la en me conduisaut an "spectacleil voulait une loge r<5Zze/(grillce). Un jour il me jura par ungoifem qu’ui maimait coniine uu rasoir; comment, lui dis-jo, eu partaut d’un eclat de rire..f. love you very strong, reprit-dce qui - (.ut due je vous pirne bien fort. Je parvi is enlin a decouvnr 1’cnigme oil avait d.it eu sa practice, ey couU.au coupe commo rasoir. Que veu| dire, cöuper camme un rasoirF couper fort.... Ah! ah!.. Delk, s’il fcsatl une averse, il pleuvaft comme un rasoir; s’il fesait du vent, il fesait du vent commit un rasoir, etc., etc., maïs m. confusion fut h son comblelorsque dinant un jour tete h teldtuez le restaurateur du petit jaidtM ~L il appcla gravement le garfou en tenant la carte en main servez 1111 idem an ualurel a madame et douuet-moi un idem k la mode; le garcon lui rit au nez. et moi prenant la carte je vis bceuf roti, idem ia mode, et idem au naturelEufin je ue finirait pas 1

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 7