I 7 er). hunne deéze. lieden heden publiés forces, l’avis 'raphie abreux mis de :r, en ent le me die vittigd alwaer J a erom olen.... tny die (i) On volt bien que eet étranger ne connait pas encore comment on fai! de» voyages économiquss dans ce pays. Monsieur VÉditeur Jaime les voyages, et je ne liais pas la dépense,' pour Kitislairc ces deux passions, il faudrait avoir les tiois hoses que U maréchal de Saxc réclamait pour faire la guerre de 1 argent, de L’argent, et encore de l'argent. Quant h mm qui en suis souvent chargé comme un crapaud de plumes, je prends la barque quand ie ne pms pas payer la diligence; et je voyage modetcmenl a nieds quanu je ne puis prendre la barque (f). Si deux routes sc presented devant moi, fen enfile une sans mmquieler ou el e me couduira. Je suis cosmopoUte et tous les pays du monde m'appartiennentavee une bien pet.te restriction cependant, c est oue ie ne possède pasun boniner de terre en propremaisle monde m appartient paree q«e je sais en jouir. Gest ainsi que le domauie de Aoutmmency appartenait aux citoyens de Geneve. Mon bagage ne m’embarrasse guèredans des temps plus fortunes e fesais mon port manteau dan. mon bonnet de nuit, maïs aujourd hui mon chausson “pestdws une de ces courses p-destres que je viens de trouver, nrécisement entre Furnes et Nieuport, un porte-femlle, que, si j’ea L'e d après les papiers qu'il content, dmt apnartenir a quelqu’amis Ji/i je vous pne, M.r l Éditeur, de vouloir insérer les trois pieces snivantes, et si le propnetatre reclame d pourra m’écrire par la voie de votre feuille. Nous soussigni mairede la commune de.... [Le nom estinde- hiffrable'). [France]déclarons faire eondidre en Belgique par C os trois valets, trois taureaux. Déclarons en outre qu’ils soni tous ^"vis insents au tableau des habitans de notre commune, et non3 nous soumettons d payer les droits dus d l’entrée etc. Copie d’une petition, tronvée au commencement dp i8tq, dans les bureaux de S. E. le Gouverneur provisoir, de la Belgique. J l’honneur d’exposer a votre excellence le chevalier N.., seigneur de.... que j’itais bien jeune lorsqus Ijs francais s’éniparèrent de notre pays; mon pérs ayant realise le plus de fonds qu’il lui fut possibleémigra avec ma nière et moi leur noble et unüjue rejelton. A mesure que les francais noanfaient nous reculions, et nous nous fix dm es.enfin a Pest, sn ilongrie nos fonds s'épuisérentetpour eomblc. d’ii fortune, nous apprlmes que nos biens avaient été vendas. Mon père et ma mère en moururent de chagrin et pr. squ’au même instant. Aujourd’hui rentré dans ma patriene possèdant rien et ne sachant lien pidsque mon education a été totalement manquée j’ai recours df .E. afin de la solhciter de m’accorder tin emploi supérieur dans l’une ou l’autre administration. a quelqu’amis ce porte-feuille

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 7