de trer la liens dres loint t ce du pour ieitr linsi :es_a ade- que, eurs •rite rité sa de mépris pour tons ceux q I captive tous les coeurs taudi; neur que ritier son IE AU. eer il se je ainsi tile litre it de '■ule, hose ions, tels lady rètu, des héte qu’il croit ses. inférieurs. Aussi 1c premier ’is que le second se couvre de mépris. INFLEXIONS SUR LE DUEL. - DeuxiJime PARTIE. Le Tasse qui, par les sons harnionieux qn’il tirait de sa lire cnchantercsse, savait si bien enflammer les coeurs de ses lectcurs, a chantéles combats singuliers de manière a en Hammer 1’imagination des jeunes guerriers, et de cette brillante- jeunesse qui briilent eu le lisant, de surpas er les Gastons, les Tanerèdes, les Bouillons etc.etc. -- Jean-Jacques, dans sa Nouvelle l'.ldise, dépeind le Duel sous des couleurs hideuses et bien propre a détruire ce préjugé barbare. Nos Papes out lancés contre lui les foudres du Vatican; et Servautes le ridiculisa Son don Quichottc couviit de honte ces soi-disant chevaliers sans peur et sans rcprochcs. Mais, cn dépit de ce satyrique, la race des dons Quicholtes u’csl pas éteinteet tous les jours nous en voyons paraitre des nouveaux. La France, cette terre classique des grands homines, ce foyer de lumière qui sernble éclairer le monde; la France qui a si victorieusemcut fait la guerre aux préjugés, a conservé, que dis- je, clle a déifié le plus atrocc ct le plus pernicieuse’est le cas de dire vos inviiiciblcs mains Ont des moustres sans noinbre allranchis les liutnains. Tout n’est pas mort encore, et vous en laissez vivre Un Encore du seiicux me direz-vous, lectern', vous avez raison, vite reprenous notre marotte. Tupu, dit un plaisant a son camarade, le rcproche était violent, ct Pou devait tout au moins se coupcr la gorge pour unc teller insulte, en efi'etla provocation eut lieu, on se rend sur le terrein, déja le glaive réparateur des torts est sorti du foturean, lorsque le premier dit a son ennemi cxpliquons-nous, j’ai dis que tn puais, e’est vrai, mais, si tu inc tue tu n’en pueras pas moins, et si je te tue tu pueras bien davantage. Tout le monde se rait a rire, et les ennemis furent desarmés, par ce trait de plaisanteric. Certain roi du Nord, qui, sous peine de mort, avail defend» le duel dans ses états, entenditcn traversaiit ses appartemens, deux, de ses grands officiers s’assigner un rcndez-vous dhonneur pour le lendemain. Le monarque s’étant appiqché d’eux a leur grand Ctonnement, leur dit messieurs, j’approuve votre resolution, ct afin que la chose se passe sécrètcmeut, je serait votre témoin, h tous deux.. Je vou^ attends demain a sept heures. Les parties nc sachant que penser de l’extième indulgence du prince, mais nc se rendirent pas moins a ses ordres. Le roi et les deux ennemis moiitent cn voiture, on sort de la ville, on entre dans un boLs, et le carosse s’arrete. Allons, messieurs, dit 1’augustc témoinvoila votre champ dos. Mais ces messieurs voyant une potencc nouvelle-

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 11