h i I, fl 7 h N.° 20. t wrter meirt arles}. ermist. -naert) aglet 5.' plutot tservir ateurs nerade je n’ai er par rchait- es, de litre un ■ein le lomnie iémcnt centre gimcnt ;e qu’il denats L’ami eprise que, cat, il fférens ixions crait-il s nous is dit, moins 'dus la zyn. itende t igazyn, tnigen caekte. rd het aldaer* le ver geheel s, dont vous lui ave jour anniveisaire de Recevez monsieur, les assurances de mon estime, L’administrateur de I’lnstruction publique des Sciences et des Arts, Signé Yak Ewyck. Doji S. M. la Reiue et S. A. R. le prince Frederic avaient honors. Pautcur par de pareilles témoignages de bien veillance. poussière.... Mais nonje connais trop bien le cnraetère de I’auteur des Reflexions que pour l»>i faire (’injustice de croirc qu’il soit devcnu le partisan de ces sortes de combats, que messieurs les Anglais seuls trouvent fort beau si j’en excepte cependint nos capons de rivage.. Mais comment, encore une fois,pcut-il eenre centre le duel, seul rnoyen qui reste a un galant homme pour soutemr .sa reputation outragée En vérité, je m’y perds, et e’est le cas de dire Censeurs glace's dont la triste manie, Est de trader tous les plaisirs d’abus, Depms quaud done b;amcz-vous la folie. Depnis, messieurs.... Que vous n’en faites plus. dependant notre ami pourrait fort bien être dans le ca> d’uu colonel pensionlie, qui avait aussi I’habitude de déclamer centre le duel. Un de ses amis entreprit de prouver qu’il n’étais pas d’accord avec ses principes en parlant de la sorte a eet eflet, il amena «droitement la conversation sur ce sujet, ct le colonel ayant donné tin libre cours ses idéés sinistres avec lesquelles il avail I’habitude de dépeindre ce qu’il appclait le fléau de la sociétéson ami lui dit j’admire vos principes, colonel, et j’aimca vous donner T-assurance qtie M.r le chevalier, votre fils, les partagc, parceque je lui ai" vu essuyer un dementi avec un sang-froid impertur bable... Mon fils, s’écria-t-il avec 1’accent de dcsespoirmon fils un dementi, etson épée n’est point sortie d’elle-meme dufourre.au? Je cours levenger,et je le desherite.Lorsqu’ilfut dcsabuse.il «e garda bien de mc'dire encore le duel, et j’engage mon camarade a en faire autant. L. C. N. Les vers, composes par un amateur a I’/ccasion de la Fete anniversaire du Roi, (voyez notre N.° 6Q, out n/rité a leur auteur, de la part dt notre gracieux Souverain, un tcinoignage bien flatteur de son anguste satisfaction. Voici la lettre qui vient de lui être adressée au sujet de ces vers MislsaÈlE La Haye,cc i8 S<ptembre i8a6. C’est avee plaisir que je m’acquitte des ordres du l’interieur.roimonsieur, en vous faisant part que Sa Ma j est a été satisfaite des sentimeus expnmés dans la piece de Instruction vers, dont vous lui avez. offert qnelques exemplaires publique au jour anniveisaire de sa naissance. sciences et arts;

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 7