I fl i; ft I (6) en het hooy in Noordwegen meer jaer geweest is. I i Het gcrugt loopt hier, Uai wisvuvjuc u> melden, dat den keyzer Nicolaes aenstonds zich na het leger van P by dat de krygs-lieden daer over -Een cngelsch dag-blad zegt, van Lodewyk XVI, van Maria Ant doorluchtige personagien, over i straet S'. Victor overleden is; sedert 15 jaer ecu pensioen genietende. RÉFLEXIONS SUR LE DUf.L. 3.“« pahtie. J’allais faire paraitre une troisième partie des Reflexions sur le duel, lorsque un monsieur, (/e sais bien qui), rnalgré que sa Icttre, datéc de Bruges et timbrée d'Ostende, ne soit point écrite de sa main, et que les initiates de son signature ne soyeut point placécs dans leur ordre naturel. J’allais donc,dis-ie, faire paraitre cctte pièce, lorsque M.r L. C. N. nous envoya la sienne, et me forca de porter quelques changemens a mon ouvrage en en laissant subsister le fond. L. C. N. aborde nulitairement la question, il attaque la place scion les régies de Part, n’épargne poiut scs Loulcts rouges et pensc avoir foucé son adversaire dans scs derniers reliaiichcraens en iusinuant que celui-ci ne fut pas loujours l’antago- niste du duel. Daus la supposition que ce fatal préjugé cut entrainé par fois l’auteur des Reflexions, ainsi que tant d’autres, cst-il avéré pour ccla qu’il en fut un partisan? Ne peut-on pas avoir une aversion et une horreur mêine contre l’ivrogneric, passion qui degrade et abrutit I’honune, et avoir été soi-meme pris de vin? N’cst-il pas permis, enfin, au captif qui gémit dans le bagne, de maudire les fers qui l’y rctiennent Je sais qu’il existe des hommes qui ont cu la magnaniraité de braver 1c funeste préjugé en réfusant un cartel. En voici un excmple bien étonnant Lors du mémorable camp de Boulogne, un capitaine d’infanterie insulta un capitaine de marine et 1c provoqua memo en public. Celui-ci réfuse ot doune ainsi la plus mauvaise opinion de sa bravoure, hors a ceux qui l’ont vu dans Paction. Quelques jours après on signale un bric anglais c’est ce capitaine qui est appcllé a le combattrcil quitte son logement et vole a son bord. Son adversaire se trouve sur sou passage et parait surprii de Pair martial et du calme qui animent les traits du marin. Celui-ci monte h son bord, et un cri ae joie, poussé parl’cquipageaccueille son chef, qui donm a l’instant l’ordre du départ. L<s voiles se déploient, et un chant guerrier, précursèurde la victoire, se fait entendretons les yeux sont fixés aux lunettes d’approche et le plus vif intérét est dans tons les coeurs Le bric francais cxécuto les manoeuvres les plus habiles et les plus hardies: l’ennemi tnontre mie trés-bonne contenance. On s’approche, on s’éloignc on sévite <>t on se rapproche encore: une bordée laricée pair le bnc vrugtbacr dan het voorleden dat verscheyde brieven van Kischeneff naer zyue krooning, Bessarabien zal begeven. Men voegd er de grootste vreugd toonen. dat Joseph Simon, den beul Antoinette en van veéle andere weynigen tyd tot Parys, in de

HISTORISCHE KRANTEN

Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 6