len July. Augusty bis mr on ct i as les 13. 1t. 3. le le in aa se n. ie a ria -ci le se 'ait le Ito re on ic inr sa ite iut tre ne nt il scs TS 0- leff er ;n. eul tre de le. BURGERSTAND DER STAD VEURNJE. 3.de Kwartaal 18’.6. Geboorten Aflyvigbeden Huwelyken Geboorten Aflyvigbeden Huwelyken I Geboorten September. I Aflyvigbeden. anglais, tue quelques hommes al r_ par une autiebordée qui brise le mat de hune de 1’ctincmila fumée rcconnait parcequ’il combat en manches de chemise; sou regard intrépide enflamme ses braves compagnons; tout a coup il sc saisit d’une hache, donne le signal de labbordagc. Le feu cesse ct le crampon est jetté; la fumée qui s’est dissipéelaisse voir Faction a dé ouvert; e’est le cap.taine qui le premier a sauté sur le pout eni.emi il fait voler la mort au'our de lui. Son ennemi vaincu, amène son pavilion ct le chef lui remet sou epee. Celui-ci, toujours généreuX, la lui rend Les vainqueurs et les vaincus enlrent dan s le port; I’admiration est dans tons les cceurs. A peine le vainqueur a-t-.l mis p ed a terre qu’on 1’entourre, qu’on le félicite, et scs amis le par.ent en triomphe. Le capitaine d'nifanterie qui ne 1’avait pas perdu de vue, s’approchc de la foule, et, le repentir dans les yeux, lui tend la main n’ayant que la force de lui demander pardon de l’avoir méconnu. Jc vous attends domain a dejeuner dit le héros, en lui pressant la main. Celui-ci s’y rends, et, après lui avoir reuouvellé ses excuses et exprimé son admiration, due put s’empêcher de lui témoigner sa surprise sur la conduite qu’il avait tenue avec luict qui contrastait si fort avcc ceile dont il avait élé temoin la veille. Le héros, pour toute réponse, ouvrit une porte donnant dans la place a manger oil se trouvaient sa femme et scs deux enfiins qui semblaient réunir ei t ’eux toutes hs graces et toutes le* perfections.... L’homme, lui dit-il alors, sc doit tout-entier k sa patrie, et nulle consideration ne peut le détourncr de ce devoir sacré! inais celui-ci rcmpliil appartient i sa femme et 5 ses enfans; et il est comptablc devatit Dieu et la sociéte' de la moindre goutc de sang qu’il prodiguerait pour d’autres que pour eux. La confusion du capitaine fut a son comple, inais le héros le pressant dans scs bras, la fit cesser en lui demandant jon amitié. Je regrette que, dans le cours de mes Reflexions, ce soit la le seul trait d’héroisme en ce genre que j’aurais a citer. La suit? a tin autre N.° anglais, tue quelques hommes a bord du francais; celui-ci re'pond par uue autie bordée qui brise Icmat de hune de I’ennemi; la fumée empêche de distinguer lescorubattans hors le capitaine franjais qn’oii rcconnait parcequ’il combat en manches de chemise; sou regard intrépide enflamme ses braves compagnons; tout a coup il se saisit crampon est'jetté; la fumée qui dissipék laisse yoi 1 premier a saute de lui. Sun ennemi vaincu pavilion ct le chei lui remei son epee. Gelui-ci, touioui la lui rend Les vainqueurs ct les vaincus enlrent dan s 18. 28. I.

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 7