7 ;cn cn andere ,'n vecle hoofd in den e natie. maetc elccrd- smeen- yk ook Want cheyde s zelve rut en eyden remind gaen, orrang :he of antrent rtugal, en in- elding, willen fraeyer breven i alge- e zelve aenleyding gegeven hebben, ivi ucicudvii, en aen a*, den weg gebaend hebben. ;emeen den de tael de fdende orakel voor masten ot zyn •d den eélder- in den Island aemcn- :k van en zy, welke n uyt- hegten REFLEXION SÜR LE DUEL. 5*« Paktie, Faisant suite a rna riponse <1 ITr. le C. N. (Voycz nos N.0* 67.) Serait-il devenu véritablement Hermite, ou chercherait-il k captivcr lesbonnes grikes des tendres épouses, des mères enfin du. beau sexe en general Rechts au milieu des dunes, isolé de la société des hommes, je vis en Hermite sans en avoir ni l’auste’rité ni les vertus, entourré de pccheurs pauvres, mais honnetes, je béni ma mcdiocrcté paree que toutes les comparaisons quo je fais sont encore en ma faveur. Je regrette souvent de n’avoir pas passe les beaux jours de ma vie parmi ces bonnes gens, j’aurais connu moins de plaisirs bruyans, sans doute, mais j’en aurais connu des plus touchans et des plus réels qui, loin d’enfantcr des regrets, nc laissent après cux que des souvenirs délicieux. J’avouc que ma manière de voir peut me captiver les suffrages des bonnes mères et des tendres épouses, mais du beau sexe en gónéral ce serait trop exiger. Le funeste préjugque )C combats n’est pas taut dèsaprouvé- du beau sexe. Les romans que noS helles lisent, et la plupart de drames qu’cllcs voyent representer, leur font regarder coipme des traits d’héroüme les combats qu on soutient pour dies. Elies s’en cnorgucilliseut et vont jusqu’k compter les coups d’épées qui sc sont donnés ou qu’on a rc^u pour elks. Que dis-je, navons-nous" pas vn des femmes mème, qui, foulant aux pieds tout sentiment de tetenue, de moderations ct de candour principaux ornemens de leur sexe, $6 battre elles-mèmes en duel? (1) Lisez la catastrophe de 1’amante du due de Durce, <t vous (1) Mademoiselle II..... une des plus intripides amazones que j’ai connu, avait fait atteler un cheval fougueux a son boquetune brunette se irouve sur son passage c’itait vis-a-vis la maison d’un apothicairedont la ports s’ouvrant en deux partiesavait cells de dessous ferrule le cheval s’effraie et emporte la nouvelle Armidela roue prend sur la brouette et fait culbutier notre cavalier feinelle dans la boutique du pharmacienson pied s’était accrochi a la serrure et elle resta un instant suspendu lés pieds en haut et la tile en bas; mais s’étant vivement debarrassée elle se relive en demandant au disciple itonne s’il ay ait yu sa de'xtiriti Je I’ai tris-bien yu, mademoisellerépond-ilmais j’ignorais que cela se nonma ainsi. On chansonna cette misayantureet notre héroïne, étaut entri chez un restaurateur0'1 trois jeunes gens chantaient ces couplets; elle comm npa par leur ditacher des coups de. crayacjte et les provo pt.1 ensuite au pistolet. Oiidertusschen moct men ook de Franschcn het rcchblacte» svcdcrvacren dat zy tot de verbetering der andere taeleit voor- naementlyk de gelegcntheyd cn zy zyn de eerste, welke hunne tael beschaeft natiën een voorbeeld.gegeévcn cn andere

HISTORISCHE KRANTEN

Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 7