I I I IH II I i I I 1 It (6) DERNIÈRE PARTIE DES RÉFLEXIONS SUR LE DJJEL. l I I 1 het aendcel der lasten dat eiken inwotner in de verscheyde staeten vau Europa betacld. Wy geven er het volgende uyt, macr men moet bemerken dat het duytschc guldens van 6o kreutzers zyn. (Dezen gulden hééft byna de weerde van den hollandschen gulden). Allen iuwooner betaeld in Zwitserland i g. ?.o k.; in Turkyen 3 g. 3o k.in de rojmsche-straetcn2 g. 48 k.; in Noorwegen, 3 g. Ó2 k.te Parma3 g.in Rusland3 g. 18 k.in Wurtemberg, 4 g. oö k.; in Hanoveren, 4 g* 08 k.in de twee Sicilien, 4 g- 30 k.; in Portugael, 4 g. 3o k.; in Zweeden, 4 g- 3o k.; in Oostcuryk, 4 g. 3o k.; in Denemerken, 5 g. 24 k.111 Saidiuicn, 5 g. j° k.>n Bcyeren, 5. g. 56 k.; in Saxen, 6 g. 20 k. in Pruyssen, 6 g. 24 k.in Spagnien, 6 g. 5o k.in de Neder landen, 12g. af k.in Vrankryk, i3g.4c k.; in Engeland, 22g. 15k. CONCLUSION. L’amour de sa propre conservation est un besoin si profondement gravé dans 1c coeur de 1’homme, qu’il n’y a que dans un moment oil la fougue des passions 1c domine qu’il peut étoull'cr ce sentiment. De moment de la reflexion qui succède a 1’emportement, rends tous ses droits a la nature. Jen appèle a tous ceux qui out eu des duels, et qui ont mis une nuit entre la provocation et le combat. Ceux qui me diront que cettc nuit fut tranquille eu im- jposeront a cux-mcmcs; et combien de ces affaires en resteraient fa si dies avaient eu lieu sans temoins. Mais le maudit amour- propre, et Pimplacable pre'jugé les forcent a haurder des jours qu’ils voudraient conscrvcr. Jl.eiie Hyacinthe était sur le point d’e'pouser M.r Matsonqui jonait le Talma a Bruxelles die avait pre'ccdemmeut etc cntretenuc par le fils du marquis D. B., qui ne l’avait quittée que parccque ses möyens ne lui permettaient pas de la conserven Quelques jours avant les nóces, D. B. arrive a Bruxelles, il paryient a persuader Hyacinthe d’allcr faire un voyage a Mons ayec lui. Masson, furieux, vole aux-devant d’eux et accablc la perfide de mille re'proches. D. B. ne pouvant rester paisible spectateur de cette scèneprend de Ihumeur; les gros mots s’échangentla provocation a lieu pour le lendemain. On .se sépare. Masson, aussi brave que bon acteurrcfle'chit k la profondcur du précépice qu’il a creusé sous ses pas si je ne me bats pas, sedit-il, je suis déshonoré; si je tue mon adversaire, je me ferai détester d’un public qui m’honore de ses suftrages; peut-ètre devrai-je m’exileret si je succombe, ce sera pour une ingrate dont je voulais faire le bonheur, et qui. ne méritait quo le mépris. De son cóté, D. B. n’était pasmoins bounelépar deside'es sinistres; ccpendant I’heure fatale a sonné et les combattans sont a leur poste. On met l’épéc a la main; et Masson vent terminer 1’aQaire en désarmant son - ennemi. Les témoins veuleni qu’on continue, si vous voulez que je me batte, dit Masson, ametiez-moi du moins un adversaire qui

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 6