J 7 ■Ei’-TS.-a-Ersra'aiHfELra.-EJ HrereiHraHrara-HiH; pjHSja.'a POESIES DIVERSES. 1 lebben n na- e ver- '■Ische nendc juste qui :ner r de lent, rfoi» LN. cur, des >ieu lolgen slack. iot als k aen r van en in r zee i' t L tigen is lytterste icn, en in stact e onder ler zee idsche a vane a kt de immige vvaer an den "th cu •cceacn gansc.li N'oord- L'inripcence et la prison. iG Juin 1816. J’appcr^ois sans terreur rues fers ct ma prison, J’y suis accompagné par la doüce innocence Elie appaisc mon cceur et guide ma raison; Jamais un criminel n’eut cette jouissat.ee. Vous qui plaignez mon sort, passant trop sensible I Mon ame, dfcs remolds ignore le malheur! Quaqd on es. innocent, noire cceur est paisiblc, Passant plaignez plutót mon calomniateur. Envoi des vers a I’avis de AJ.1 Guedo.s. Allez, mes chcrs enfans, montrer votre misère, Au sage, au modeste, au sublime Guedon, Demandez-lui pardon dè ce que votre père Osa. vous procréer en dépit d’Apollon I Son extreme bon gout, sa lire enchantcresse, Sur vos defauts divers saura semcr des fleurs; Et si des amateurs excusent ma faiblesse, A vous seul, clier Guedon, je devrais ces faveurs. Fers pour rentenier M.r Guedon de ses avis. Guedon, tes vers pleins d’harmouie Quetu nr’envoya par faveur, Attcstcnt ton fécond génie Ton gout, ton esprit, ton bon cceur. Que fadmire ton indulgence, Pour mes cphcmères écrits; Et ton extreme complaisance, Puisque j’apprends que tu les lis. Les vers que m’inspire 1’Aurore, Le soir déjh n’existent plus, Ainsi le brouillard s’évapore, Aux premiers rayons de Phébus. Mais toi, dont I’immortelle gloirf, Eli graver ton illustre nom Au temple sacré de Mémoire Prés de celui d’Anacreon,; Entends moi sans impatience, Toi dont les instans sont si diers, Et crois li ma reconnaissance Qui’doit durer plusque mes vers.

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 7