I 7 nne p.is ntrer A i itres, sont •nr.... nous te le e bicn uarque Barge préfet i mal- ureau, naire, pour irrive. mnmé it ses ne le sont pas. ns pays ieds du bés, des 'es, des le'celui aait in is avous B. Cet ons que it qu un une qui ncsurcc. lame la 'Ace en -re fois S-sages I d’amis us fcra e a la seront e pout borate' due no rd re aurait Maman j’ai vu la boutique, Oil 1’on vend a ju.lc prix Les obiet.s qi e 1’on fabrique, A Londrcs coinme a Paris; Coton blanc et mousseline, Tissus de toutes couleurs Tout se fait par la machine, Par la machine i vapeurs. J’ai vu des vrais iudiennes, J’ai vu des vrais cachemils, Des etoffcs persiennes, Des velours, des Casimirs; Du cros satin de la Chine, De dilTércntes largcurs, Qui se font par la machine, Par la machine a vapeurs. J’ai vu tout un équipage, Formarit ohzc chariots, Qui marchait satis attelage, De mulcts ni de chcvaux, LES ETRENNES A LA MACHINE A VAPEURS. Air Aitssi-tit que la Lumière. On croira que je badine Pour plaire a mes auditeurs,' Mais tout va par la machine Par la machine h vapeurs. J’ai vu marcher sur les ondcs, Contre marais, coiitrc vents, Des vaisseaux qui des deux mo ndes Nous apportcut les present. Envaiti Eole s’cchine On se rit de ses fureurs, Car tout cede a la machine, A la machine a vapeurs. Je sais qu’une fille sage Doit h la Cu consentir A gouter du manage, Les chagrins et les plaisirs. L’époüx qu’amour me destine Peut compter sur mes faveurs^ S’il construit une machine, Une machine a vapeurs. un moment, mais il y a ccrcle chez le marquis D, ct assenble'tf chez la comtesse doeariere, je veux paraitre aux deux endroits. Bon, voila baron, votre ennuyentissime correspondant d’Amsterdam.... Bon jour, mon ami D. W. Je viens vous oÖrir des iudigo it des campêchcs.... Quelle familiarité roturicre C dit la baronne li part.... J’ai cessé mes affaires, répond le baron; et au mème moment entre uu laquais qui lui dit monsieur le baron, voici une carte de la part du marquis D.... QuoiD. W.; vonv ètes baron Oui. L’empereur m’a donné ce titre en r<S- compensc des services rendus a l’état..Je vous en félicite. J’auraï done un baron parmi mes amis I... Les amities de commerce ccssent ayec les relations répliqua Pierement labaronne... J’en suis faché pour votre mari, répoudit 1 hoiiiittehollaudais, pinsse-t-il entrouverd’aussa siucèrcs que moi parmi ses nouveaux. Adieu, monsieur le baron^ continua-t-il avec sentiment, je plains votre avcuglcment. A peine fut-il sorti qn’on remit au baron une lettre du préfet qui jetta Ia honte et la consternation dans la familie. Cette lettre portait defense a M.r D. W. de prendre désormais le titre da baron, entendu qu’il avait plu a b. M. de reietter sa deinaude. Les anciens amis dont le ton de madame D. W. avait aliénés/le cceuuttn rejouirentles tins les appelèrent les batons de la duperie,' I I les jjltres les barons qui nc le sont pas a cause d’unc mécuantef I I parodie^Cnissant par co mauvais refrain^ •- L’on trouve par-ci par-la, Des barons qui *”c

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1826 | | pagina 7