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cider taut de grandeur inutile, et le septique
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-1 n-■ pourraient ia toucher
triangle d’cspace immense
LA CREATION DES E[GILES ET LEURS CHUTES
U.S MOT CRITIQUE PAR J. MARANT.
Magna sunt opera Domini
et abscundita. David ps.
'nee. aidée du telescope, nous montre le
'entoiiré de svs planètes avec leurs sateliles,
leur axe et déerivant comme notre terre une élypse
Depots que nous connaissons Téloi-
et par la leur grandeur prodigieuse
a I’avenaut de cette éternité de gran-
poiut piesquc imperceptible; [’imagination est de-
nous préteudons faire de ces
not re petite terre done trois
sans laisser entre leur lengente
Une fols le monde enfermé entre trois feux de cette nature
el de cette dimension, dit-ilqu’arrivera-t-ilsi tant est que
-j soyent ardents? II faut qu’ils aient abandoning
Jeurs planètes ou qne cellcs-ci aient été du cortege, et de
jquelle mauiète que vous le supposiez, toutes devrout périr,
soit en étaut abandonnées, soit avec les planètes de notre soleil,
)nt. Plr l’ardeur de trois hotes de cette nature; d’ailleurs, est-il juste
de croire que le créateur ait «re’é la voie lactée qui n’est autre
Depuis qne l’expéric
soleil cu repos, c-
■»nrJOl,,nanl 5Ul
tlllCS
ook.aU'°ni* soleil common.
we[£n''ment effrayant des éloiles
ich—1 "cu,enl que notie terre
d< ur est un
^.Couccitée de voit
ede bemande avec emphase
1 ‘cn ’eulement
1,1 un
elke f.
>en.
«es soleils
Laet
h-
Plr *’ard
-- croire
chose qu'llhe inQidte d’étoiles, pour l’ornement de notre terre?
Une gotitte d’eau conlient un people d’animaux, commeut
penser qn’hormi nous tont soit solitude?
La creation diverse évidemment de l’économie que le créateur
étal" lans ses oeuvres, et cette cbüle des aslres est le résultat de
1 ignorance.
Que ccs étoiles seraient Isi grands hommes qui tomberont
eren 7
men aen naren verveèrdiger Jacob Lovelace dry-en-veertig
gen. iaie" wtfk gekost heeft. Deze horlogie, waren beweegbaren
•ziekalender, wy.st de seconden, minuten, uren, dacenmaenden
acht macnverscliynseienjaren en zelf de schrikkel-jai en aen. Zy
lyne l)ez‘l o,Jk Cl11 allerschoonste gespel van harmonie, en wanneer
was.^'t muziek zich laet hooren ziet meneenen Saluinus verschynen,
die de in.iel slaet.
-- De grieksche schryvers zeggen dat den eenhoorn of mono
mna Cesos waer 4ail ^Jliantis en Mcgastbenes bezondcrlyk spreken in
Indien leefde; maer bet bestaen van dit dier is altyd voor fabel
achtig aenzien geweestdoch Azara verzekert er in den Para-
ntiegiiiy gezien te hebben en den beruchten leyziger Ruppel die
11 in zich nu nog in Alm a bevind, heeft in het laud van Kordofan
een vier-voet-dier met eenen hoorn ontmoetzoo dat den e<n-
nd- hoorn waeiscliyulyk onder de verdichte dieien gesteld is geweest
leudom dat wy geen - genoegzaeme inlichtingen hadden, om er aeu
Hot te kunnen ovei oordeeleu.
Iiten
het