i’objet 1’espace, et que le tine ondnlation cotn objet qui se de'place dans l’air ou dan» 1’cauje veux iace coulerait du lieu ou 1’objet se on Diet I i it ci fut f, lout J a terre q terre t cutons i nouveai Posteur Cette g>< connaisi propres di le et diets ma qui regatda la terre ma-' d C. I- 1 4 e" CO1 sachiorit sonnets, rien <J globes tout an, plites v, des cho. bertins tnatiere dans 1’espace paralt impossible, sans anndantir 1’un pour le retnplacer par I’aulre, et i’anneantissement d’une chose éter- nelle esl impossible. Je con^ois qué les choses matérielles sont si vuides, ti oubiées et delaissées qu’il n’cst pas certain qu’il existe uu pied cube de matière plaine tnais cette supposition, qnand elle seraU demon tree, ne diminue rien de cette vérité, au contraiie l’annéaiitis- seiuent devieudrait d’autant plus minutieuse et pas moius nécessaire. Le MOUVFMtNT. Le te le il ne pt Un autr reste to espace i ce qui e il pas tissr mei Xement Inouvcm Continue Sede ce Produ les tour Lorsqu’on le voit des yeux de la coutume, il semble ètre pen philosop de chose; tnais, lorsqu’on pense profondement, comment con- cotnme cevoir qu’une chose tienne lieu d’une partie de 1’espace, dans un temps, et d’une par tie dans un autre temps, toujours en sup- posaat 1’espace éternelle, par conse'qneut indivisible, cotnme k temps, car la division du temps est une illusion, puisqu’il n’y qu’uu temps qui reste toujours en entier, maigré nos coupures d’hcures et jours etc. Peut-ètre le mouvement a-t-il action sur 1’espace, et que le deplacement d’nu objet cause sur 1’espace, une undulation com- Un c me uu objet qui se déplace dans 1’air ou dans 1’cau je veux istence dire que 1’espace coulerait du lieu ou 1’objet se tend, dans la est leur place que le meme objet quitte et ainsi remplirait le vulde que Cet a forme 1’objet en mouvement (i) tnais je m’appeijois que snide, pour 1’1 plaee lieu et espace sont la mème chose, de mauière que cette individu (i) Qu’on ne «’abuse pas en prenant I’eau pour model*. Tout ce qui est plain ne crule pas. Coaler est une masse d’objets qui glissent ou roulent les tins sur les autres dans 1’espace, par la presence du feu qui les détache par l’air qui le» relive ou par une autre force. C’est une force active qui fait mouvoir les choses et c’est par la prisence du vuide que les objets ont la facultl d’être mues. Le temps et 1’espace sont deux mots. Moise, qui devient sublime a mesure qu’on le comprend. En divisant le lemps en jours il montre très-bien que la eréaiion de I’univers est divisle non en coupures de tempsmais en succession de mouvementil ditIn initium creavit Deus coelum c* terram. Or, tout est crii. En jaisant une ricapitulationcomme s’il I’avait craint de ne pas se fair* comprendreil dit Illa fuit dies in qui etc. t'ne ob servation est que Uieu créa tout ce c--: tirielle et que le quatrième jour il fit la lune les étoiles le eoleil etc. Le meme jour, e'est-a-dire qiinyant fait Is monde; aussitót que I’existance du del futpour le monde de manière que ne comprenant pas le mot crierd’apris Moise I» ciel a pu exister avant nous et lire cree pour nous e’est-a-dire commencer a exister pour nous avec le moment de notre existance.. Soutenir que Moise ail voulu entendre six jours solairesc’est soutenir ividemment contre le texte. Jf’abord, jusqu’au quatrième jour il r.’p avail pas de soleil crié;

HISTORISCHE KRANTEN

Het Advertentieblad (1825-1914) | 1834 | | pagina 6