7 il ci eau I chaque espace devrait couler dans elle-mème, et se rempïacer soi-mcme, ce qui est absurde. M.ies ce déplaccment est-il reel, ne pourrail- il pas èlre une ci cation d’un objet dans un lieu, après l’annéan- tissi inent d’un objet pareil dans un autre lieu? car, »i le mou vement est reel, qui cause ce mouvement? il faut on que le mouvement soit essentie! a l’objet, et alors l’objet devrait runner continuellcmentou que l’objet soit mu par Uue force qui pos- sède crtte qualité. Produire l’attractionla repulsion, l’anthipatie, la sympathie, les tourbillons tnalgré toute leur exaltation l’un des grands pliilosophes demaudait du mouvement pour faire un monde, cotume l’autre demaudait un point d’appui pour le soulever. 1.” Position. Le temps est le mouvement des choses, si l’espace est éternelle ne peut y avoir du mouvement d’un corps que par rapport a Un autre corps; paiceque, dans nne eremite quelconque tout restu loujours au centre. a.m' Position. L’espace est l'txistanoe, des choses. Un corps n’exisle pas a l’égard d’un autre corps, que par l’ex- istence de l’autre, or 1’existence de notre terrea l’égaid des auties est leur existence a notre égard. Cet argument même veut ètre analysé le monde n’existe pas pour l’homrac qui u’est pas créé, et Dieu, en créaut chaque individu, crée le monde pour lui. ou Dieu se tenait-il pour commencer le jourl 8‘il se tenaii 1 iii il commenfait le soirpour nos antipode»s’il étail partout I H fut ton jours soir et matinjour et nuit en-même-temps. I Tout Jait présumer que A/oïse ignorait le mouvement de La terre que Dieu ne lui avait rien inspiré de la rondeur de la terreet par la je soutienne que e’est un livre divin. Dis- cutons un moment ces deux contrastes Motse connaissait le nouveau systéme ou ne le connaissait pas je le suppose im- Posteur s’il l’avait connuil se serait bien gardé de jetter Cette grandeur infinie comme un petit supplément s’il ne le Connaitsait pas je soutiens qu’il devait se prendre dans se» propree filets par les raisons que je viens de dire. Mais Dieu di ie tt Moïse écrit ce qu'il ne comprend pas lui-même. Dier» dicte mais d une manière divine que jamais homme n’aurait ima- i gi’ié t d’une manière que deux systernes tout opposés, pruvent I se,t con tenter. Dieu nous fait savoir ce qu'il veut que nou» sachions pour nos devoirs envers lui tt pour nos intéréts per sonnels, cependant, n’ayant nulle correspondance rien d régler, rten. d fait* t nul ordre a recevoir ni nul ordre a donner a ces globesou d ses habitantnous plafant sur le monde pour tout autre chose que pour passe r notre temps dans des dis putes vaines et inutiles, est il étonnant que Dieu nous cache a s choses qui ménaceni let égoïstes a I’ingratitudeel let Jin berhns a l mcrédulili.

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1834 | | pagina 7