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il
ci eau I chaque
espace devrait couler dans elle-mème, et se rempïacer soi-mcme,
ce qui est absurde. M.ies ce déplaccment est-il reel, ne pourrail-
il pas èlre une ci cation d’un objet dans un lieu, après l’annéan-
tissi inent d’un objet pareil dans un autre lieu? car, »i le mou
vement est reel, qui cause ce mouvement? il faut on que le
mouvement soit essentie! a l’objet, et alors l’objet devrait runner
continuellcmentou que l’objet soit mu par Uue force qui pos-
sède crtte qualité.
Produire l’attractionla repulsion, l’anthipatie, la sympathie,
les tourbillons tnalgré toute leur exaltation l’un des grands
pliilosophes demaudait du mouvement pour faire un monde,
cotume l’autre demaudait un point d’appui pour le soulever.
1.” Position.
Le temps est le mouvement des choses, si l’espace est éternelle
ne peut y avoir du mouvement d’un corps que par rapport a
Un autre corps; paiceque, dans nne eremite quelconque tout
restu loujours au centre.
a.m' Position.
L’espace est l'txistanoe, des choses.
Un corps n’exisle pas a l’égard d’un autre corps, que par l’ex-
istence de l’autre, or 1’existence de notre terrea l’égaid des auties
est leur existence a notre égard.
Cet argument même veut ètre analysé le monde n’existe pas
pour l’homrac qui u’est pas créé, et Dieu, en créaut chaque
individu, crée le monde pour lui.
ou Dieu se tenait-il pour commencer le jourl 8‘il se tenaii
1 iii il commenfait le soirpour nos antipode»s’il étail partout
I H fut ton jours soir et matinjour et nuit en-même-temps.
I Tout Jait présumer que A/oïse ignorait le mouvement de La
terre que Dieu ne lui avait rien inspiré de la rondeur de la
terreet par la je soutienne que e’est un livre divin. Dis-
cutons un moment ces deux contrastes Motse connaissait le
nouveau systéme ou ne le connaissait pas je le suppose im-
Posteur s’il l’avait connuil se serait bien gardé de jetter
Cette grandeur infinie comme un petit supplément s’il ne le
Connaitsait pas je soutiens qu’il devait se prendre dans se»
propree filets par les raisons que je viens de dire. Mais Dieu
di ie tt Moïse écrit ce qu'il ne comprend pas lui-même. Dier»
dicte mais d une manière divine que jamais homme n’aurait ima-
i gi’ié t d’une manière que deux systernes tout opposés, pruvent
I se,t con tenter. Dieu nous fait savoir ce qu'il veut que nou»
sachions pour nos devoirs envers lui tt pour nos intéréts per
sonnels, cependant, n’ayant nulle correspondance rien d régler,
rten. d fait* t nul ordre a recevoir ni nul ordre a donner a ces
globesou d ses habitantnous plafant sur le monde pour
tout autre chose que pour passe r notre temps dans des dis
putes vaines et inutiles, est il étonnant que Dieu nous cache
a s choses qui ménaceni let égoïstes a I’ingratitudeel let Jin
berhns a l mcrédulili.