Ie <1 les nous cliai éioil Ce sj que droi di <n qu’d p.is par enci a mi de I de 1, sa v 1 urn cei c mie satis mon éloi 2 en vein pt.., sur de 3 si I l’éci l’ex tion tan pi o d’ei cho pon ci éi voL or COn élo Jos de et fau hel veri aed der andere i5 met de andere Duytsche herren, ziende dat zy van de Vlaemingen verraden waeren, wielden vervacrlen hebben de vlugt genomen, latende de victorie aen de FranscliCn. Den gevangen lieer Philippus van Artois wierd weder gckiegeu, welken zeer gekwetst zynde eerigen tyd daer na gestorven is van zyne wouden. Willem Gulik ook zeer g< kwetst zynde is gevangen genoni' n met eenige andeie duytsche heereu eu is daer naei te bt. Omaers, in de gevangenis, gestorven Daer zyn véél kloeke ridders doo l gebleven, liet getal der doode van de Diiylsclien was zoogioot niet, om reden dat zy de vlugt naemeii zoo iiaest zy Llliaeits gewaer wierden zy vlugtteu naer Yper en sterke steden. Dezen slag geschiede op Maria-heinelvaert, Atigusty 1297. (7> vervolgen.) CRÉATION DI S Êl'tlLES. etc. Suite. Les choses incites 'n’cnt pa- du temps. La matière qui se compose par juxt.» position, ou orgainqueuientainsi que la disso lution de la matièie composée, n’est du temps pour la matière, qn’a l’égard de la couse et de son ell'et, c’est-h-dire, que le mouvement pioduit par la cause et existanl- dans i’éffet, ne peut êtie du mouvement, et par conséquent du temps, qua l’égaid l’un de l’autie. ?<otre ème n’a du temps qn’a l’égard de notie corps que pour autaut qti’elle ait action sur le cervcan. C’est d’apiès les sensations mitérielles que nous divisons et apprécious nos pensees, qui, par elles-mèmes, tie sont pas plus divisible», et n’ont pas plus de forme que le temps il serait ridicule de parler de la moitié d’une pensee et, si nous divisons la pensée en pensees, c’est que nous la comparons a son action sur le cerveauqti’elle modiGe diversement, de manière que ce sont nos sensations, et non la cause de nos sensations que nous divisons, en nu motc’est que nous pi enons Tellet pour la cause or, le temps u’existe que pour autaut qu’il est créé par les mou- vemens de li matière, et l’espace n’existe que par Tcxistance de la maticie, tellement, que l’existence du temps et de l’espart nedatent quo de l’existance et du mouvement relatif de la matière. Que cent millions de mondes aient existé avaut Ie notre, et que le temps piécédant la création, ait été ae mille millions de siècles, toujours est-il que rien n’exista pour uousavant notre existance, quoique tout put exister pour eux. En donnant le mouvement A notre monde Dieu créa le temps pour nous.(i) Avant le temps, la matière ne put exister léelle-* ment pour nous; de-la que l’existance des astres ne date a notr« égard, que depuis notre mouvement k leur égard et je dis I» néme chose des étodes qui tomberont h la fin du monde, comme 1 D après le texte de 1‘éciiture il est visible que Dielt eompte le terns de la création de notre mondeen lui attii' buani le mouvement de manier» que partoutcréer signifil plutót donner les attributions d quesque choseque donnet l’existance.

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1834 | | pagina 6