r A i i L ;en •n •us ie cm ige de en. oin dcr ere 15 mps die' otrt is 1» ntn« Diet* tli i' tifil .net se 5S0- •re j le Fet, ju’i I de ao. et plus rail ;ons lion ce >ous ise lOU* de )acé ere» et ions vaut nom de Uns pour prouver que notre terre reste immobile au centre et fane rottier journellement cette élernité de nombre et e grandeur auour de notre rien, les autre* pour trouver du nos dogmes, je v«ux parler de ce eta sol, et de le voir le dit monsieur Pluche change* t axe du monde, et nous verrone les étoiles rolder et se précipiter pour nous, et sentiment pour nous; non, parcequ’elles chaugeiont de lieu, mais parceque nous cbangerons a leur egard, et plus le monde se batera plus les élodes se précipiteront pour nous. Pour montrcr phis seusiblement ce système soit un homtne a votre droite qm regarde ie sud tandis que vous regai dez le nord; voos vous irouvcz cgalem< i>t a sa droite; fades un demi-tour sur vous-nième, vous resieiez h sa di'oilea son égard, mais il sera a voire gauche, de m.inièie qu’il sera ré< Dement chargé pour vous, quoique vous ne soyez p.is change' pour lul. Lorsqu’ou observe un ciocher, en marchaut par un chemiii tournant, le cloclier change réellement pour vous, encore qu’il reste dans la mème place. Un oiseau qni fuit d“scend a mesurc qu’il s’éloigue, quoiqu’il reste toujours a la mème hauteur de la terre pour lui, parceque 1’homme ne mesure pas le tnviau de la vue d’aprcs la roudeur de la terre, maïs d’après I’hot izon de sa vue, qm cst toujours droit, counne i’est la maiclie des rayons lumiucux qui la forme, de manièrc que I oiseau de'iiit pour lui sirs ceicle paialèle a la terre, tandis que sou m uvemeut bace uue ligne droite pour vous, el c’est la no mouvement icla if sans doute, en prenant la terre pour le rentie de J’univcrs, ce mouvement r.e serail qu’.ippareutmais aims que seraient les élodes autre chose que des étincclies. 2. » Systéme. II nous a plu de dislinguer les étoiles des planctes en prenant les plauètes pour étoiles comine $’en élaient tllerii- veinent, lorsqu’elles en portaient le noin a la fin du monde, les plauètes ne pourraient-eiles pas se précipiter veis nous, et nous snr eux, et changer ai si tout l’ordre ancien de leur évolutiou et de leur existance, pour commencer un ordre nouveau 3. ’ Système. Que dirait le septiqne sur la ciéation desastres, si D en avail tout ciééen mème temps, ce qui n’est pas nié par récriture (ilia fuit dies etc.) s’d n’aurait rien a dire, je dis que l’existancc de la matière est plus incompréhensible qne la créa- tion continuelle; en ce qu’outie la création, on a encore I’exis- tance a cioire, pour laquelle nous n’avons pas seulcment deteime piopre, car, donner I’existance, c’est donuer la propriété, la facultc d’exisler par sc -mème, ce qui nepcut pas êlre sans reudre la chose indestructible, done éternelle or il est plus facile de crone, pour qm mesu< e sa croyance sur la raison liumiine, que Dieu Crée eontiniudlement loutes les choses, et que la cessation de la volonté ciéaltice, serait la cessation de 1’existence des choses; or Oicu aurait mis en mouvement le quatrième jour e’est-a-dire commence le temps de noire monde, du soleil, de la lune et de étoiles en mème temps. Et etiam Stellas. ku est étonné de voir citer a tout moment le grand oosué, les i..._ de I’univers faux dans

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1834 | | pagina 7