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temeer Prendre la nature pour moleur dm choses, c’est visiblement
hy meet’"‘ibuer a la nature une connaissauceune dextérité, une
elaste hjsa8csse Uieu au-dessus de 1’hnmainmais quand ou veut être
ende dalr',l'onnable, la matière n’est autre chose que le mode d’existance
■maendenel ^u mouvement des choses, el nullemcut ni Ie régulateur, ni le
■ken wallnoleur orcomment veut-on que la nature fasse croitre les
VrankryliPbantes? Dire qne les sémenses sont créées avec les gcrmes
<l“ - - t avancer une chose absurde; je ne piends
(]l pour ptcuve qu’un gland je suppose que dans ce gland on
trouve tout 1’ai tore futur, avec tous les glands que le chct.e portera
dn jour. Voila déja des glands d'une petitess? extréme, mais dans
’ln gland de cette dimention, vouloir emhoiter, non-seulement tous
*es arlires luturs, mais tous les arbres possibles avec leurs
tege> ra,,chcs et productions, cela parait impossible. Ge n’est pas
dei ,ut. eoupez, one branche, 1’arbie nousse et rend -souvent
mre plusieurs branches pour une; réite'rez, pendent ci’iquante ans,
taekt yv> Ct esPace qu’occupeiout les branches de votre arbre sera plus
naekendi ^"c l’'elne> done, les branches n’étaient pas préexistantis eu
one mis Pet*' done les branches sont créées; done tl y a citation
’de hv a Co,dinuelle sinon de matière, au moius de forme et je dirai
T i hi même chose de tout ce qui se ment sans i’action mediate d’ua
premier moteur. Je dis plus, et je le tire de la mème consé-
quense il ne suffit pas qu’un corps ait 1’aptitude physique
a ctre meut par une action secondaire cette aptitude ne peut
pas être essentielle a une chose pas plus que son existance; or,
Dieu en créa contiuneilement I’objet, ajoule le mouvement, crée
degradant de force et de vitisse, et enfin, le crée en repos,
sc iryve£a jjrute est (JUC ma(.jjjüe dont |cs acuons ne sont nullement
fibres: 1’homme seul, fibre arbitre de ses actions, crée des
mouvemens placé entre deux éternilés d’espace et de terns futur
I 1 nt tl 1’espace, ni le terns n’ont été élernels son ame
des waters en uu, verlaeten van Sophia, veragt van het
ineuschdom vyand van myne zelven niet blyf my over dan
de hei. Maer! zoo ik my tot den hemel wende; zoo ik
koude bidden; misschien Misschien is eenen vloek wan
hoop en ontrouw zyn een ik word gedreven. Ik word tot
SSyne bestemming getrokken.. Nog eene uer en den afgrond zal
°ty verwelgen, reeds opend by zyne vervaerlyke muyl
Hoe nar word alles voor myne oogen I... Een ougenblik. geluk
e° alles verdweende genugten met eenen geveynsden lach,
I r-en de hoop, deze vriendin der ongelukkige,
veg, dol léést op uiyn wezeu het teeken der helsche rampzaligheid,
eendezy verschrikt en wend zig af.
f f is gedaeu I den avoud valtde zon die met eene aengenaeme
yd zoo zagt iB den rooder. westen daeld rold nu met
een benouwlyk geweld naer onder zy roept my toe voor
u zal ik. niet meer opstaen Voor u, verworpeling,