II >11 conservation de la santc qti'uue iièvre putride on mallipne, etc., nc p«'U’rait Têtre. .[etlen Ce ne int que vers la fin du sixieme siècle, lorsque ka Sarra*1kor penetreren! en Ethiopië, qu’ils en rapporlèi ent l< pelite-véi» mar qui était conüuée dans cclte contrée. A leur retour il.s la p1’*’ w.i tèrent en Syrië, en Palestine et en Egypte, de-la elle *yv'ugt lianspurtée en Perse. ]'lei1 I Le premier ouvrage qni traite de cettc maladie, fut écrit 1 'Ul> Vu srptième siècle, en langue syriaqne, par Abokt, médecin ara*^'Jben Les Maurcs qni, de rAlriquc, sc pmterent en Portugal elef'letvn Espagne pour ravager ces centree?y répatidirent ce <lésaslr^'lerely Ensuite la maladie voyagea dans le Languedoc, dans la Prove»*' ”»u et dansla Guianne; elle fut ensuite juupic sous le cercle polah^J'eésl et toujours avec la mort. Le commerce la norta en Auacriq118'C|> et la Ct pénétrer sur toule la surface d'i globe. ’fsfavr Aucunc maladie, quan«l elle est epi lémiquc, u’est aussi me»r,l,f?,av Irière que la petite-ve'role. Dans les anne'cs 1720, 1769 Jfs>orv 1802, elle a enlevc, sculeinent a Paris un pen plus de vl»r z« xndlc individu? en ehacune de ces aunces, et l’on ne sera surpris de cette cft'rayaiice mortalité si on pcuse qu’il tot presque personne qui, une fois en sa vie, n’en soit atta<| ,lscu Le colira-morbus qui est aussi un terrible fléau, u’est l'\ <len encore si efireyaut. er 5 Cepeudant on nous dira que depuis deux ans, bien de gonsv eu la petitc-véróle dans toutc Belgique qnoiqu’étaut vaccines, i»’ aussi il faut savoir, qu’il peut en avoir qui n’onl pas éte br1 Vaccines, et que cette espèce de pelite-vérole u’est pos la uiC‘;1. J v jnahdis que celle d’Ethiopie. v( II est de fait que sur des millions de personnes, vaccine\. ZJ avec succes, pas une seule n’a fait la petitc-véiolc. S’il done un moyeit de parvenir a [’extinction totale de la pctt'C wc ole, il u’y a plus de doute que ce ne soit la vaccine c V. "8' est sur elle une vraie conqnête dependant i! peut arriver 4^ m quelque temps avant011 mème pendant les premie'S jours‘X,1® )a vaccination une personne ait coutracté la contagion de ‘L^1 petite-se'role alois la vaccine n’ay.int pas le temps dempêcb^^ T1 les effels du viius varioleux introduit, la vaccine cl la pcl>lil0Hc,: vcrole marcheront ensemble sans confondrc. m (]a8 (r»ri/o<?.) BüSCHdYVING VAN MERKWEÊKDIGIIEDE^ !y^e Foorgevallen in de Lielgique. Aterd Veéle persoonen die in alle dez.e beroerten cenige bediening ladden gehad, ziende dat zy met den vrede alles moesten a »'laeln' leggen en wederom aennemeu ccne andere manier v.m lev'tt'L tragten alles uyttevindeu om tweediagt te maeken, onder at'^^ekke eenen genoemd Jacob Pcytoversten van het gemeente v,\e« Bergeneenen oproerigen godloozcn en bloedgieiigen 1U3'1/ den welken aldaer zyne boosheyd betoonde met veéle s'». dood to sinylen,'gceue andere re'deus hebben bytebrengen,

HISTORISCHE KRANTEN

Het Advertentieblad (1825-1914) | 1834 | | pagina 6