(<5) clre'tif morccau de Lois Icm Ria cha CllCi maer heel July I) ÏOt|( Ulet '’an kom te w wier en I die de 1 de I D< Wacr deel ^pcr cii j, Welk Van 'eger vogtr den gcviq >0 de •ragll l<oir te g< Van Wy k Vogtc bluest leger hibbi en k 'Waeri mils 1 sa toute-puissance et souteuu par mon jc bravais forage cl l> mort. Après ime lieurc d’angoise jc crus observer quc la mcr faisait beaucoup plus gi and bruit derriere moi, et j’ósais toiipgotiner 1c rivagc au risque de renverser, je touruais la tele ct un eclair m® montra les dunes (corumc a Dunkerquele salde arrètc la mer) aussilól je me drlie; ini moment après je sent le loud et je me prcci" pile vers la terre; je gagne les Dunes, el je me laissc tomber sur 1® «able encore chaud de la chaleur du jour precedentfatigue d’esprij et de corps, jc dormis profondement jusques la chaleur du lolcil mcveillat je sends fortement le besoin de manger, el je m® rendis a la mcr, oil avant de m’occuper d’autres choses, jc man" geais des monies, ct une sorte de huitres qui me narurcut ex- cellentes; ce premier besoin satisfait je cherchais dans la mcr la place oil nous avions fait naull'rage, mais partout les y<ux s® fatiguaient sur le liquide immense quel fut mon étonueinem lorsqucportant les regards du c6lc du sable je vis 1c vais- seau ct tout l’éqiiipage rcjellc par la mer alors je me souviu* des avantures de Robinson ct jc pensais que, comtne luij’auraiS pu avoir besoin de bicn de choses; aussilót, pour prévenir I4 haute marce, je traiuais vers les dunes tout ce que jc pouvat* rentucr je trouvais en outils: une scicun gros marteau, tn’P gland pour elouer mais qui pouvait me servir a enfoncer des pieuxct une haclic j’aurais donne I’uuivcrs pour un ar®® a feu ct pour un coulcau apres cet outrage j’allais examin®r rues malhcurcux compagnons; une secrete horreur s’empara de in®.11 Sine; une tristesse profoude m’accabla; jc les fixais ct nouiriss»15 encore ma mclancolic, mais que I’homme cst un ctre inco®" prchensible égoïste lout sc rapporte li soi; Ie malheur d’no autre ne le touebe quc par la cramtele bunlieur d’un autr® ue 1c rejouit que par I’espcrance; il sacrifierait fun i vers poi>r soi. Tout a coup jc remarque que deux ofticiers, qui ctaieirt5llf le bailment en qualité de passagers Pun avait sonsabre, 1’auti® «on épée; voila des armos m’ccriai-jej’oublic lesmortset jc leur arrache. Cette premicro joie ctant passe'e, je songcais au moyen d® les inhumer. Impossible de crcuser dans le sable un pmt I"1 put conlenir viugt personnes sans bêche; impossible de les trail5' porter dans la mcr; j’irnaginais un moyen qui me réussit Lien jc pi is une large planche sur laquelle jc plantais une perche; j’adaptais un mcrceau de voile ct j’allachais mes co®' pagnons a la planche. Plutard levent venant de la terre, a I4 Lame marceentraina les corps ct les traioa a la rcmorip’® Lien loin dans la mer cn outre j’avais place an millieu de 14 planche une grande piece de fer allachee a la perche par une long11® cordeafiu que par un coup de vent, cc mat ctant reuvers® toute la Holte fut h 1’ancre cclc fait, je rclournais voir si 14 marce nc bougeait pas encore le gouvernai! que je n’avais p11 'remuer; jc l’avais scic a rase des planches je vins juste ®A

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1834 | | pagina 6