ér<J« lioc- qui c en all® een® met voor cdeo rrw- iek- [uet, sis bruS ■oof' lie»* 6r user den- iaën* eyde an®® eX' is J® Je ir-i» :l<l"e def' de A la lecture de 1 esquisse gramléose d’tine distraction échappe a (’observation de la presque totality des personnes présentes, par la pelitesse de sa feline et qui se conlond avec tons les objets insignifiaiits; par la paleur de sa vervequi appartient a ces grand riens de tout les jours qui amusent les desauvi és citadinson croirait que cette* bistorielte devrait être rcléguée dans les cercles enfantins des estaminets, oil ees conies asses plaisants, s’accordent si bien avec la galtc d’une demi ivressemats, a la vue d’une futilité trailée séricuscment, on I’ctoune de voir cet article dans 1c Vaderlander, an lieu de rencontrcr cette personnalité dans la feuillc indecente de Com tray. Et en diet nn homme qui se devoue a se trouver dans toils les services, dès avant Ic jour, sans récoropence an emie; cet homme, après avoir perccavec peine, une fouie d’hommesctroitement presses, chucbotéet bien souvent blessépar les sieges; parvenu enfin a sa place, peut bien avoir une pause je pense tant d’esprit que de corps, etdans une place a la quelle d est si habitue avoir une distraction. Om1c temple de Dieu est infimment Auguste ma is qui ne connalt la faibksse humaine 1 D’ailleurs celie farouche rigidité si die enirait dans le génie de voire religion, devrait appartenir a ceux qui frcquentenl l’église, et nullcment a ces critiques acerbes.qui se trouvent rareinent dans le cas d’y avoir des distractions. J’ai nomine la feuille de Courtray, et j’ai oublié le défi. D’oii vient que les feuilles publiques combattent le journal de Gand avec tant d’animosiié, tandis qu’elles laisscnt impu- nément, la virulente feuille de Courtray, altaquer ce qu’d y a de plus respectable, jc veux dire la religion, >cs mceurs et le clergé? N’est-il pas élonnant que Courtray, 1’exeinple des villes pour 1c vrai attachcmcnt a la religionproduise une feuille aussi mcchante Courtray qui naguèie aliéna la moitié des abonnés du journal de Gaud, par une brochure, si bien rédigée et si vraie? N’est-il pas élonnant que Courtray, l’émulc de Bruges en politesse, de Gaud en commerce, d’Ypres en ressources, el de Bruxelles en luxe, n’ait qu’une feuille, et que ce soit une feuille qui excite 1’indignation de tout homme, ami do bon senf9 N’est 11 pas etoniiaiit que, parmi tant d’imprimeurs, dont la probité est reconnue, il n’y ait pas un seul qui pense qu’une feuille d’opposition peut faire fortune, parceque e’est ’/opposition qui engage a lire, surtont dans une ville Ou a peine Une seule feuille existe Courtraisicus! faut il a notre tour vous relever de votre apatie, oil jadis vous nous surpreniez? Faut-il, vous exciter a celie emulation qui distinguait toujours le sage, le florissant Courtray? Courlraydont la probile inspirait autant de confiance dans le commerce, que son opulence? Non, Courtray fut suipris par cette feuille, et, si le bon parti retient ses coups, e’est pour les mesurer; e’est qu’il pre pare son attaque déja il mesure la frêle machinebitic su^

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1834 | | pagina 7