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i moi mème, ct jc me rendis ala incr. Vers 1c soit
couvrit de nuages; déjh ie tonnerre Ct entendu sa
bienlót l’éclair, avant-courreur de lafondre,
sillonnait lesnues, les vents déchalnés précipitèrent les nuages,
ct 1’orage me Ct braver la peur que l’écho m’avais causéen un
mot je me sauvais dans la caverne. Le bruit de ma marebe se
repèta et sciublait ètre celui d’un bataillon entier, enfin, par nn cxcès
de fatigue je m’endormit profondemeut, malgrc forage et la peur»
par la elairte d’un grand feu quelle fut
12 - 5i
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Prys derGRANEN op de merkt van Keurnevan 17 December.
Ten zelven dage waren te merkt 1290 bectolitres Terwe. 25 sjaers
Bogge. 1260 id. Sucrioen. 21 id. Haver. -- 12 id. Boonen, ph 1 o
Terweper he< to.fr. 15 - 3{ Haver, fr. 7 - 09 jhet d
Boonen,12-51 regel
armes a feuman bien de choses que je nc
le vaisseau après eet ouvrage jc traversais les dunes ct je
parvins dans nne grande plaine, une partie des arbres étaient
en fleurstandis que les autres portaient les fruits de notre
autóme jc niarchais machinalcmentmais bientót je remarqnais,
dans un rocher, une ouverture, jem’en approchais et je vit une
caverne imtnence; une sécrètc horreur saisit mon Amc, des idéés
confuses de mcurtres de betes sauvages, des iinages sinistres, sem-
blaient me pressagcr surprise et malheur toutefois je m’cn
approchais; mais je n’ósais y entrer la plus noire obscureté ct un
silence aflïcux regnaient dans cettc sombre caverne enfin je voulus
rompre ce silence; je voulus étonucr les voutes silencicuses de
ma voix élrangère; mais que dire, que crier a personucs; ct
me voilh einbarrassé comme s’il y avail été question d’uu discours
du tróne, je voulus au moins crier une ebose analogue a mon
agitation et k la circonstance; e’est ce que jc faisais je choisis
uu mot, et je choisis mal je criais clérnence les voiites et les
profondes cavite's, par un sombre roulemcnt de voix rauque
et mcnajantc, me criaient meurs! meurs! Les chcvcux me
dressaient sur la tete je reculais k dix pas; e’est l’écho, me
je, cl je reculais encorect tout cn tacbant de me tranquilliser
jc me fis peur it moi meme, ct jc me rendis ala mcr. Vers le soir
Jc cicl se couvrit de nuages; déjk le tonnerre fit entendu sa
voix redoutable1
fit braver la peur que l’écho m’avais causé
repèta ct sciublait ètre celui d’un bataillon entier, enfin, p
c. 9
Je ue sais combien de temps j’avais dormi lorsque je m’évcillais
par la elairte d’un grand feu quelle fut ma fraycur lorsque je
yis un hommc et une femme sècher leurs habits j’étais dans
1’ombre d’un recoin ils ne pouvaient me voir, mais je ne pou-
vais me sauver j’étais bien décidé a nc pas declarer la guerre,
néatnoins jc m’armais de mon sabre; je restais a 1’aflut mais
que) fut mon étounementlorsque i’entendis parler anglais
j’accours aussitót ct jc donne autant de frayeur aux denx per
sonnes qu’elles m’en avaient causé. Mon sabre surtoutque je
tenais en main, nc disait par comme la branche d’olive de Mentor,
mais je parlais, et la plus intimc amitié fut la suite de 1’histoirC
réciproque des evénemens passés ct de notre position présente.
(d continuer.)