J. M. J. \V I JIT E R. D E 1 BURGERSTAND DER STAD VEURNE. qui an Tcrwe Kogge Sucriocn Haver Boonen Rogge Sucriocn Haver Boonen Boekweit Aardappels per lleclol. 27-17 17-71 11 92 09-17 15-84 17-00 12 00 2'5-00 M1DDEN-PKÏS. O 02c. H Rog.318id Suer. id. 24 Ila».' 13 id. Boon. Tarwe van fr. .',7-00 -I I-30 per 145 liters. Rogge 26 00 27-00 Sucrioen 17-00 19-73 14 50 26-25 Merkt van Brucgz zaterdag 1 I January. Tarwe van fr. 23-00 tot fr. 29-00 per lieclol. 10-00 19-00 13-00 14-50 10-00 00-00 16-00 00-00 00-00 00-00 9-00 11-30 p. 100 k. Dixmide, 16 January. Boterpryzon van 16 ”/o tot 20 n/u st. ’tstuk. BRAZEN DER BROODEN van dito. S 1 Y k. I e.io 1 k 5 1 id. c 33 =1 id. VEnTitt.K-UiiEN van den zer-u>eg unt.'GGE. in., ten 7 ur. 40 in., 's morg. i i 3 nr. 40 0 ur. 55 min. chef de musique, Mr. Clément dont 1c talent et les oeuvres sont connus en liaut lieu, a été des plus brillants. Commence par une jolie marehc de L'Etoile du void, de I’illustre Meyerbeer, cc morceau fut suivi d'unc fan- taisiesur des motifs du Barbier de Siville, exécutée sur le piano par M.'11' Brycx, avec un aplomb remarquable. Cette demoiselle qui ne fait jamais défaut lorsqu’il s’agit d embellir un ctmccrt par son talent musical s’est vraiment surpassée dans ce morceau, aussi les applaudisseiuenls ne lui out ils pas manqués et c’était justice. La fantaisie pour trompelte-a-cylindres, de la composition de Mr. Clément, est un morceau travaiilé de main de mailre parsemé dejolies modula tions et de magnifiques accords; je dois citer partieulièremeni I andante si doux, si expressifet 1c final si entrainant. Aussi la manière dont ce morceau a été interprété par Mr. Desmedl doit avoir bien satisfait le compositeurl’éxécnlant a droil a bien des clog, s pour ia manière distinguée dont il a rendu les nuances el surmonté les grandes diflicultés: il m’a semblé qu’il est trés faiui- lier avec les doubles et triples coups de langue. C’est réellement une bonne fortune fortune pour une société de musique qne de posseder un amateur coniine Mr. Desmedl, dont 1’exac.tiiude et 1.'zéle sunt sans bornes m’a t-on dit. Mr. Ryckebo r a charmé son audiloire par une délicieuse chansonnelte. La première p.irlie s est terminée par un grand air des d mount du diablede Grisar cnanlé par M.,1U Decae d'Alveringhetii. Que dire tie cette demoiselle que j’entendais pour la premiere fois Qu’elle est douée d'uu mng ifique soprano, qu’elle a admira- blemenlc antécet air si passionné, cl en niémct tups si tendreet si melodieus.rien n’y mauqu.iit, nuanci-s, expression, belle ac centuation, lout etaii observe aussi la salie a telle retenli de bravos. L’ouierture d’Hay- dée qui commeucail la seconde partie a été éxéculée avec beaucoup de vigueur les pre miers violons méritenl me mention tonic particuliere j’at c. pendant a regretter I’ab- sence d’un haulboisqui d’urdinaire charme le public par le joli apduule d'introduclion délicieuse inspiration d'Auber. L’air varié pour violon sur des themes de /a Lucia de Donizetti, a été execute on ne pent inieux par Mr. Cailliau, qui cst un veritable artiste. Vous avouerez avec. moi, Mr. le rédacteur, qu’exécuter un morceauconiine i’a fait Mr. Cailliau c’est faire sortir de son apathie 1’oreille la plus insensible, aussi je me hale de lui prodigu r lescloges Its plus sinccrcs. Me voila enfin arrivé m morceau capital do ce beau concert Le I’rim a Dona, chanté d’une manière ravissante par JI.'"* Decae, j’oserais meme dire que bien des artistes qui out I’habilude des planches s yle theatril envieraienl la be.lc voix de ce le d in lis.dlc. Un lonnerre d’applaudissen c ts a accueilli la fin dece morceauet l<-s bis ayant reienti avec fureur, la l‘i ii/ia d na car ellc incrite bien ce titre, s’est préiée avec autanl de grace quo de bonté a c-lie ovation si bien mérilécinutile de dire qne cette fois-ci, des applaudisseiuenls freniTiquesa fairecrouler la salie ontprouvéa cette demoiselle qu’elle avail su chanter de manière a transporter d’enthousiastne son and toire, et que celui-ci a commencer par moi) espérail bien en core entendre au prochain concert cette uiaguifique voix. Le Tambour de Tendioit est une désopilante chansonnelte de Cla- pisson, qu’ a chantéc Mr. Ryckeboer avec une verve, une gaité et un entrain a faire rire des postures, c’est a dire, vous com- prenez fort bienqu’il est impossible en en tendant chanter Mr. Ryckeboer, de ne pas êtreau comble de la satisfaction et de la gaité, tout en félicitanl ce monsieur comma étaut un excellent musician; car a [ires tout GF.BOOItTF.tl. den 11. Eduardus Ryckeboer, zoon van Franciscus en van Walburga Dehaese, Hand, boog-slraet. den 15. Augustus Delanghe, zoon van Joannes en van Marie Gaillarde. 1’annestraet. Marie- i here.se Caytan dogter van Pe trus en van Rosalie Vancalberg, Vestcn-str. den> 16. Franciscus Penje, zoon van Joan nes en van Marie Lacagic, Bewester-poort. STEnFGEVAU.Bn. den 12. David I’lamey. 9 tnaenden. Lcbnie Peel2 1/2 jaren. De winter is ecu regie man, Veel harder dan de muren Zyn vleesch voelt zich als yzer En Hy kan ’t al verduren. Was ooit een man gezond, ‘t is fly, Nooit ziek niets kan beletten Dal Hy verheugd en bly Lang slaept in koude bedden. Hy trekt zyn hemd aen op liet land En doet het eerst niet warmen; Hy spot met pyn in arm en hand, En koliek in de darmen. Uil bloemen en uit vogelzang Weet IIy zich niets le maken, Haet warmen drank on warmen klank Eu allo warme zaken. Doch wen de vossen schreeuwen zeer Als T hout van branden ktiitserl En rond het vuer, en knecht en,heer De handen wry ft en siddert; Wen al wat men ontmoet of ziet Van koude slael te treuren, Dat is zyn wenseh dat haet Hy niet, Dan lacht hy om verscheuren. Zyn slot van ys ligt wyd van hier, By noordpool at n den slrande Doch Hy heeft ook een lusikwartier lu onzen vaderlande. Nu is Hy daérdan weder hier Om regiment te voeren Als Hy verhuist met groot getier Wy durvep ons niet roeren. H. D. T.-I. Feurne, 18 January 1855. I’R VS DER G R A N EN. Ier Merkt van VccR!<E,ran Januaiy. Er waren termerkl 349 heel. Tarwe. 12 id Ten 6 nr. 55 ten 1 uren 40 min. Ten ’min. 'sz na midd. en ten s avonds, naer Oostende. OOSTENDE. Ten 6 uren 15 m. ten 7 uren 13 min. ’s morgens.Ten I ure, ten 3 uren en teu 6 «renmiddags oaur Bmggv, ce n’cst pas assez de faire rire, mais c’cst tïe bien accentuer et de chanter avec une jus- tesso parfaite et sousce rapport Mr. Rycke boer a droit ii des éloges mérités. Le dernier morceau du programme n’élait pas la partie la inoius importante du Concert car voir le nom de Mr. Clément sur un pro gramme, c’est dire qu’on entendra un beau morceau. Mon attente n’a pas été trompee: la Gracieuse, Introduction, Mazurka el Polka composées par Mr. Clément, a été pour l’au- teur un veritable triomphe j’ai distingué facilement qu’il n’en est pas a son coup d'essai, par les combinaisons harmoniques et la savanlc instrumentation dont cst retn- pli ce beau morceau de musique qui cst digne du litr qu’il porte, a part le Galop qui est des plus entrainants c’est a dire qu’on se croirait transporlé avec un delicieux lais- tez-aller au Bal Muzard el tutti quanti. Somme loute, ce concert fait honneur ii 1’habile directeur et a la société de Sic. Cé cile oil jo suis heureux d’avoir passé une aussi belle soiree. Je ne saurais ccpendant terminer mon article, Mr. Ie rédacteur, sans félititor celui ou ceux qui out eu la bonne idee d’olfrir les deux superbes bouquets aux demoiselles qui se sont prqtées de si bonne grace pour ein- bellir ce concert par leur présence et par leur talentc’est une ovation des plus flat- tcuses el des plus méritées. Je uc puis égalcment passer sous silence la manière gracieuse dont deux beaux cava liers out présenté les bouquets a ces demoi selles; 1’un d’eux surtoulétait un veritable Adonis: avecxjuello noble insistancc il sup- phait 1’une d’elles a couserver le bouquet en mainje ponrrais mènie'dire avec quel toupet expression consacrée il s’est ac- quitté de sa mission. Qu’il recoive mes sin- ceres éloges. Vous pourriez me demander Mr. le rédac teur comment ceia se fait queje cite si exac- tement les noms des executants? Je vous répondrai a ceia queje connais parfailement les habitants de la viile de I urues, meme exira muros, mais quo depuis longlvmps j’habite a l’élranger ,c’a done été pour moi une double saliifaclion que d'assister a ce concert et de voir-les progrès qu'a fail la musique de la société de Ste. Cécile, et les èléves de son digne chef Mr. Clément. EspérantMr. Ic rédacteur, que vous vou- I drez bien aevorder une petite plnce a ma Ictlrodans les colonnes de votre prochain numéro, agréez, etc. Vn petit amateur it ranger. Rogge Haver Boonen

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1855 | | pagina 4