YPERSC C. S. Yper - Juniors - Stade Kortrijk 1 le Jaar, N° 39 - 3 Januari 1931 1 le Année, N° 39 - 3 Janvier FOOTBALL Handboogmaatsctiappij Willem-Tel! VRIENDENSCHIETING Uil clou pour la Foire Commercials Heursel's Juweelen de schoonste de goedkoopste L'Aöbaye ou Prévö.é do Saint-Martin Weekblad - ▼oor het Arrondissement Yper HandelsKamer, Yper Chambre de Commerce et d'indusfrie d'Ypres O, S. Y. C. S. YPER - III - BISSEGHEM I if IT""* i i la i iiiimiMiir éma Vertsaniglng der Gotei^terden. Aar Yporache Club», enz. Journal hebdomadaire de I Arrondissr-rriernf rj Ypr«s OntcnM Ue l'A^ocirttuxi u«# dw» Clubs Ypjois. ric. Beheer, Opstel en Aankondigingen 15, Boterstraat, 15, Yper Abonnement18 fr. 00 per jaar Buitenland 32 fr. Men kan inuftrijren in alle Belgische postkantoren 35 ct. het nummer Naanloote arttïels geweigerd Ridoctlon, Administration et Publlcitè15, rue au Beurre, Ypres Abonnement 18 fr. 00 par an Etranger 32 fr. On peat t'abonner dans tout les bureaux de poste Beiges 35 ct. Ie numéro Les articles non stgnis sent refuses Algemeene ve> gadeting op Zaterdag 3 Januafi 1931, om 8 uur's avonds, in 't lokaal Sultan Voordracht door M.J.Claeys, bestuurder der Compensatiekas, Brugge, over de FAMILIEVERGOEDINGEN. Gezien het belangrijk onderwerp dezer voordracht, raden wij de leden aan deze voor dracht talrijk bij te wonen. Het Bestuur. Assemblée Générale le Samedi 3 Jan vier 1931, a 8 heures du soir, au local «Hotel du Sultan Grand'Place. Conférence par M. J. Claeys, directeur de la Caisse dê Compensation, a Bruges, sur les ALLOCATIONS FAMILIALES. Vu l'importance du sujet, le Comité espère que les membres tiendront a assister nom breux a cette intéressante conlérence. Le Comité. ZONDAG 4 JANUARI 1930 Om io uur voormiddag Om 2 uur nanoen o Ingang i fr. 5o. Maandag 5 Januari 1931 ter herberg Au SaumoJj bewoond door Cyriel Vandermeersch. Inschrijving van 5 tot 5 1/2 uur, begin te 5 1/2 uur stipt, einde rond 8 uur. Inleg 5 fr. 5o, te verschieten in vogels van 2 fr. 5o. Verders gewone voorwaarden. Dezer dagen werd in De Saumon eene boog van Hornu, 35 kos, in geel lederen zak, geteekend Maes Louis, per misslag medege- genomen. Bede deze ten spoedigste terug te brengen bij Cyriel Vermeersch. Nous recevons la lettre ci-après que nous insérons avec empressementtant l'idée nous en paraii heureuse Monsieur le Directeur, Me permettez vous de vous soumettr.e une idéé que j'ai entendu émettre au sujet de notre prochaine foire commerciale Elle me parait en effet digne d'être examinée. Nos foires commerciales Yproises ont été chaque fois couronnées de succès. Les expo sants ont eu des frais, évidemment, mais ces frais leur ont rapporté, aussi bien indirecte- ment que directement. Nous entrons a notre tour dans la crise qui a déja envahi tous les autres pays, et c'est un motif de plus pour ne rien négliger qui puisse faire connaitre nos produits. La réclame est un grand remède. Mais chaque, foire Yp"uise a eu son «clou», aviation, photographie, colonie du congo, etc. Or, c'est a ce sujet que j'ai entendu parler d'une attraction de premier ordre une expo sition des ceuvres artistiques Yproises qui ont survécu a la guerre. II y en a plus, infiniment plus qu'on ne le pense Bien des particuliers ont sauvé qui un objet, qui un vieux meuble, qui un tableau, une vieille pièce d'argenterie. La familie Tack possède a ella seule un musée Yprois qui ferait sensation il y a le musée Merghelynck il y a les parties sauvées des trésors de Saint- Martin et d'autres Églises les Hospices ont encore presque tous leurs tableaux dans les communes environnantes il existe quantités d'épaves artistiques... Certes, cette exposition de l'art Yprois n'aurait pas intrinsèquement la valeur de l'exposition de i883, mais elle serait plus intéressante, bien plus émouvante surtout, et elle serait de nature a ranimer notre courage et notre fierté. Elle montrerait que notre ville eüt toujours les allures d'une petite capitale, et elle enseignerait a la jeunesse qu'on ne peut pas la laisser déchoir. Sa réalisation exigera un grand travail il faudra des recherches et des démarches sans fin auprès de ceux qui détiennent soit ces trésors artistiques soit les connaissances voulues pour les trouver, tels MM. Tack, Pyrès, Schmidt, et d'autres et d'autres il faudra du goüt pour disposer les objets recueillis et les faire valoir comme il convient. Tout cela est vrai, mais combien le résultat serait beau, encourageant Comme attraction, ce serait un clou de première grandeur, pensons-nous. Je soumets cette proposition par votre intermédiaire a notre chambre de commerce, paree que la chambre de commerce est a mème de bien la réaliser. Agréez, M. l'éditeur, etc. zijn gekend als, en Résumé Historique (Suite) (Voir n" du 27 Décembre) Sous Jeanne et Marguerite de Constan tinople, l'histoire de la prévóté ;tct!le des luttes qu'elle soutint pour la défense de ses privilèges privilèges accordés par l'autorité ecclésiastique et privilèges temporels con* sistant, notamment, dans l'exemption des accises, la juridiction ou lp comté, avec droit de justice haute, moyenne et basse, dans l'en- cemte du monastère, une partie de la ville et certaines propriétés a l'extérieur. Cette juridiction, ou comté, reque primiti- vement de Robert de Jérusalem et de Charles le Bon, et plus tard d'autres princes, fut, sous le prévót Hugues, l'objet d'une contesta tion de la part des échevins, au sujet de la rue Caestraat et de la Boucherie. Comme toujours, on finit par s'entendre. Parmi les nombreux démêlés qui surgirent encore sous la longue administration de Hugues, signalons le plus grave celui qui éclata avec la commune d'Ypres. En 1214, les échevins, ayant re<;u de leur comte Fer- rand l'ordre de fortifier leur ville, pour parer a une nouvelle invasion franqaise, levèrent des tailles sur l'abbaye. Comme les chanoines se fondaient sur leurs immunités et refusaient de payer, les échevins pour construire leurs fossés, saisirent les revenus de l'église. La plainte du prévöt au légat apostolique fut ren- voyée a l'abbé de Furnes et a celui des Dunes, qui prononcèrent que les échevins n'avaient aucun droit de lever des tailles sur l'église et qu'ils devaient restituer les revenus saisis. Aucun compte ne fut tenu de cette sentence et les échevins allèrent plus loin ils creusèrent les terres de la prévóté, coupèrent ses chaines, enlevèrent de l'abbaye des bois et des pierres. L'animosité devint trés grande de part et d'autre et ne finit qu'après que Ferrand fut fait prisonnier a Bouvines et que la comtesse Jeanne s'engagea a détruire les fortifications d'Ypres. Au XIII* siècle, la cité prend'un dévelop- pement inoui. L'augmentation toujours crois- sante de la population nécessite l'értction de

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Het Ypersch nieuws (1929-1971) | 1931 | | pagina 1