Notre second Palais Episcopal
FOOTBALL
Littéraire Dramatique
Encore l'Abbaye
De Ypersche Handelsfoor 1931
C5.. S„ "Y m
OP ZONDAG 15 FEBRUARI 1931.
C. S.Y. - Juniors - WaereghemSp
SOIREE
Federatie der Geteisterden
van het Arrondissement Yper
Verslag der Vergadering ran 8 Februari 1931
2
De toebereidselen tot het inrichten der
Tentoonstelling worden met onverdroten
ijver voortgezet.
In hare laatste vergadering heeft het Komi-
teit besloten dat zooals vroegere jaren, de
Foor zal beginnen op Witten Donderdag
2 April en zal eindigen op 2* Paaschdag zijnde*
Maandag 6 April. Op i!" en 2" Paaschiagzal
er een waar lestival plaats grijpen. Immers op
Hoogdag van Paschen zullen al de persche
Muziekmaatschappijen en de Liberale Har
monie van Wervick, hunne beste stukken ten
gehoore geven, en op 2® Paaschdag zullen de
Choraal La Lyre van Bizet- Ploegsteert,
de muzieken van Vlamertinghe, Merckem en
Dranouter, ons op een puik concert v, rgasten.
Dat het bezoek dezer maatschappijen,
machtig veel volk naar de Stad zal lokken,
lijdt geenen twijfelen deze dagen zal Vper
weder in feestgewaad uitgedoscht zijn.
De Handelsfoor zal gelijk verleden jaar in
de Staats Middelbare School en in de lokalen
der Halle ingericht worden
Het inrichten der Tombola gaat goed voor
uit en de te winnen prijzen zullen in eene zaal
der Middelbare School uitgestald worden.
Daar de inkomkaarten zonder verhooging
van pnjs recht geven op een ticket der Tom
bola, zal htt geial bezoekers der Foor zeer
talrijk wezen en een waar :-ucces staat deze
te wachten. Jutten TA HON.
op het STADIUM, Augustinenstraat
Om g y« uur
C. S. Y. - III - W. S. Lauwe
Om li uur
O
Ingang i fr. 5o.
A m i t iés F ra n ca ifsea
Le Mercredi 18 Février 1931
a 20 heures, en la Salie du Vieil Ypres
avec le concours de
Monsieur Chauvelot, homme de lettres et
professeur d'ethnographie au Collége des
Sciences sodales de Paris, qui pariera de
L'INDE MY ST ÉR I EU SE
Conférence agrémentée de nombreuses pro
jections fixes
Et de la Section Dramatique «Ars pro Arte»
de Gand, sous la direction de Mademoiselle
Germaine De Smet, auteur dramatique,
avec son concours et celui de Mesdemoi
selles Rossel et Delaye et de Monsieur
Jean Poll.
PROGRAMME
Album ig3o Costumes de l'époque.
Première Partie
1. Etude de Chopin, pour piano Mlle Delaye
2. Les Petits Riens, par Rossel
3. La Fileuse du Raff, par Delaye
4. UN CAPRICE, comédie en un acte.
Deuxième Partie
L'INDE MYSTÉRIEUSE.
Troisième Partie
1. Margot les pieds nus, par Mlle Rossel
2. En passant par la Lorraine en
sabots M"es De Smet et Rossel
3. Prélude de Rachmanioffpar Mlle Delaye
4. ÉCHEC AU ROl, comédie
en vers, en i acte, de Mlle G. De Smet.
Pour le Comité
Le Secrétaire ff., Le Président,
Eug. Glissoux. Arth. Butaye.
Le premier, comme nous l'avons dit la
semaine dernière, ne fut autre que l'abbaye de
St Martin, dont l'aile Nord fut remauiée sous
Jansénius, aile qui, après la restauration, fut
dénommée palais Jant-énius. Le XVIII' siècle,
avrc ses goüts de contort et de raffinement,
décida nos prélats a se batir un nouveau
palais, en face du premier, palais qui, après
la suppression de l'évêché d'Ypres, subit
tout, s les vicissitudes, y compris celle d'une
brusque fermeture par un bourgmesire sou-
cieux de la sécurité publique.
Dans ses proportions a la fois nobles et
simples, ce palais n'était pas dépourvu d'une
ceitaine allure, et nous t n avons préconisé,
l'an dernier. la reconstruction pour y installer
divers services, notamment la biblioihèque.
Dans un récent article, n'avons-nous pas
entendu léclamer une installation toute
mode;nè'pour notre libraiiie Dans eet ordre
d'tdées, neus pourrions nous irspirer utile-
ment de ce qu'on a fait en Aménque et un
volume, sauvé ou non de notre bioliothèque,
et édité. jadis, par la Smithsonian Institution,
s rait un guide précieux. Ce serait tout a fait
up to date, et digne de Cincinrati ou cl'In-
dianopolis, mais nous sommes a Ypres, en
Flandre, et, avant de lane du modernisme,
nous avons, tout d'abord, a refaire ce qui a
existé avant guerre. Les aménagements inté
rieurs peuvent toujours s'inspirer des perfec-
tiounements modernes. Les deux plus grandes
bibliothèques du pays, celle de Bruxelles et
de Gand, sont installées dans des anciens
édifices, et personne ne se plaint de leurs
aménagements Pourquoi, dés lors, vouloir
batir une nouvelle biblioihèque, quand celle ci
pourrait s'instalier largemeut et confortable
ment dans une construction rappelant de
gloneux souvenirs
Avec l'obstination d'une mule d'Auvergne,
nous ne cesserons de léclamer le iétablisse
ment de nos édifices publics en leur pristin
état comme disent les gens de robe.
L'ancien palais épiscopal, avec ses nom
breuses et larges baies, l'abbaye de St- Martin,
avec ses deux étages baignés de cette lumière
du Nord. si éminemment favorable a. l'étude
comme a l'exposition de tableaux et d'objets
d'art, sont l'un et l'autie, des locaux admira
blement appropiiés pour servir de musée et
de bibliofhèque. Ne cherchons done pas midi
a quatorze heures, et appropt ions tout bor ne-
ment les monuments dont la promesse de
reconstruction nous fut faite si solennellement
PYRÈS
Erratum. Dans notre article de la
setnaine dermère, l'r alinéa, il convient de lire
constructions basses, au lieu de constructions
fausses.
Nous n'entendons point braconner sur les
belles chasses privées de Pyrès et de Ypris,
mais nous désirons, toutelois, apporter ici
quelques addenda a l'article que nous avons
publié le 24 Janvier dernier, et qui nous a
valu l'honneur d'une réponse du dernier de
ces deux correspondants.
Puisqu'il s'agit de choses d'église, nous
adopterons également ce ton mesuré et
cadencé comme une marche processionnelle,
pour clore ce petit débat, sans chercher,
toutefois, a casser l'encensoir sür le nez de
personne.
On n'a jamais songé, croyons nous, a
blamer l'habile architecte - restaurateur de
s'être inspire de l'époque de plein épanouisse-
ment du style gothique, mais notre aimable
contradicteur formule, lui-même, des réserves
au sujet de la décoration intérieure de St-
Martin et de la restauration de ses annexes,
et exprime des regrets, partagés par la plu
part des anciens Yprois, au sujet de Ia
destruction du superbe retable du maitre-
autel. Disons, en passant, que e'est par un
lapsus calami que nous avons fait de ce
retable en marbres précieux, un retable en
bois, et que ce passage de notre article de-
mandait une correction qui a été négligée.
C'est avec une vive satisfaction que nous
apprenons la restauration projetée de tous les
riches fragments d'art statuaire de la Renais
sance que les bombardements n'ont pasimpi-
toyablement détruits. Mausolées, statuettes,
figurines, balustrades, voire même fragments
de stalles, viendront rappeler tout ce que
l'art opulent du XVII" siècle avait apporté
a la décoration intérieure de la cathédrale.
Que la reconstruction de l'abbaye se fasse
compléte ou non, dit Ypris, c'est la une autre
question, et il trouve que c'est une boutade
que de parler de hate, k propos de la'con-
struction d'une nouvelle bibliothèque. Ne
jouorfs pas sur les mots. La seule hate que
nous avons signalée, c'est celle qui consistait
a laire adbpter un projet semblant devoir
rendre inutilisables' les batimerits a recon-
struire de l'abbaye.
La petite malice qu'on nous excuse le
mot semble co.usue de fil blanc, puisqu'on
chetche a faire croire également a la néces
sité de la construction d'un nouveau musée.
Le mot Palais des Beaux-Arts >1, n'a pas
encore été laché, heureusement car, c'est
alors que l'on pourrait rappeler la fable de la
grenouille qui veut se faire aussi grosse que
le boeuf. Jamais, au grand jamais, nous
n'arriverons plus a former une galerie de
tableaux, a moins qu'un Yprois, devenu mil-
liardaire, ne se mue en un mécène. Les
modestes collections qui, selon toute vraisem-
blarice, seront formées par la suite, se uouve-
ront lort bien logees dans les locaux recon-
struits de l'abbaye. Ce qui était jugé rationnel
en 1914 pour des collections des plus impor-
tantes, ne le serait il plus en 19.il, pour ce
qu'on a réuni jusqu'a ce jour et ce qu'on
ïéunira vi aisemolablement pat la saite
L'exemple de Bruges ne nous semble guère
probant, car il est notoire que si cette ville
avait disposé de locaux anciens, elle qui a le
culte du p issé, elle n'aurait pas érigé un
musée moderne. Et puis, que d'incomparables
trésors, Bruges ne possède-elle pas Et nous,
hélas
De vergadering wordt om 14.30 uur ge
opend door den heer advokaat A. Butaye,
Voorzitter der Federatie, bijgestaan door de
heeren Brutsaert en Desmedc, volksvertegen
woordigers en Vermeulen, burgemeester van
S1Jan.
De heer Voorzitter verwelkomt den heer
Desmedt van Staden, die M. Alois Van-ae
Vyvere als volksvertegenwoordiger heeft op
gevolgd. De nieuwe volksvertegenwoordiger
is voor de afgevaardigden der tederatie geen
onbekende hij was vroeger dikwijls op
onze vergaderingen tegenwoordig en is goed
op de hoogte van de kwesties der schadever
goeding. l»e heer Voorzitter hoopt deste meer
op de medewerking van den heer Desmedt te
mogen rekenen algemeene toejuichingen)
Sprekende over de betaling der achterstal
lige interesten, deelt de heer Voorzitter mede
dat, volgens genomen inlichtingen, deze inte
resten door den Staat thans tamelijk regelma
tig worden uitbetaald.
Vervolgens vangt hij de kwestie der onder
standen aan, en heiinnert aan het schrijven
'op einde November van üen heer Verhaeghe,
waarin deze liet kennen onder welke voor
waarden het ministerie van financiën bereid
was aan de gemeenten een voorschot te doen
om de onderstanden te laten afbreken. Hij
vraagt de afgevaardigden der gemeenten, de
vergadering te willen kennis geven van de
vordering der onderhandelingen die ze gedu
rende dien tijd hebben aangeknoopt en ook
van de klachten die zouden kunnen bestaan
om alsdan de noodige verbeteringen te kun
nen vragen.
De heer B. Vermeulen deelt daarop mede
dat op de gemeente b' Jan reeds 40 onder
standen werden afgebroken tegen 10 fr. den
m3. Het ijzer, dat van de afbraak voortkomt,
is aan den aannemer terwijl de betonafval, die
ter plaats blijft liggen, ter beschikking gesteld
wordt van de landbouwers. Deze zijn over
het algemeen tevreden dien afval voor hunne
wegen te mogen gebruiken of laten hem door
anderen weghalen. Aldus moet de Staat geene
vervoerkosten betalen, alleen de kosten van
het springen. In verscheidene gevallen echter
zouden de kosten van at braak hooger beloo-
pen dan de grond wel eigenlijk waard is b. v.
voor het afbreken van onderstanden in de
nabijheid van gebouwen gelegen en waarvoor
de aannemer 3o totzehs 40 fr. de m3 vraagt.
Daarom heeft hij als proef met sommige eige
naars overeenkomsten gesloten, waarbij deze
erin toestemmen de onderstanden te laten
bestaan, mits een vergelding van 3 fr. de m2
voor den onbruikbaren grond. Deze overeen
komsten werden naar het Ministerie opge
zonden maar zijn tot nog toe niet goedgekeurd
geworden. Hij is van oordeel dat, moest de