DE KEIZER
Koloniale Loterij
VOOR UWE KOSTUMEN
13, Statiestraat - YPER
Bij de Regie van Telegraaf
en Telefonen
Verhooging van sommige zegelrechten
BRILLANTE FÊTE DE GALA
MEESTER - KLEERMAKER
BESTE KWALITEIT LAAGSTE PRIJZEN
SPOEDIGE BEDIENING
ALLERHANDE NIEUWS
Wij vernemen dat de Heer Richard Leclereq.
telegraaf ontvanger te Yper, den 3° dezer op rust-
geld komt gesteld te worden, na gedurende meer
dan 45 jaar in dienst der Regie van Telegraaf en
Telefonen te hebben doorgebracht, en hier ver
vangen werd door den Heer Leon Derycke.
Het is in het jaar 1893 dat de Heer Leclereq in
dienst trad der Regie, waar hij door zijn vlijt en
bekwaamheid spoedig bevorderd werd en zelfs
zoo het vertrouwen zijner oversten genoot dat
hij, korts na de aanhechting van Eupen en Mal-
medy bij België, naar Eupen gezonden werd om
aldaar mede te helpen aan de volledige inrichting
van den telegraaf- en telefoondienst.
In October 1929 werd deze voorbeeldige en ver-
dienstvolle ambtenaar tot telegraafontvanger te
Yper benoemd, in vervanging van den HeerMeur-
rens, die naar Mechelen verplaatst werd> en heel
vlug ook deed de Heer Leclereq zich hier, door
zijn groote gedienstigheid en vriendelijkheid,
waardeeren en hoogachten door allen die met
hem in betrekking kwamen.
Gedurende de tien jaren die de Heer Leclereq
hier aan het hoofd van het telegraaf- en telefoon
kantoor heeft gestaan, heeft deze dienst een
groote uitbreiding genomen en werkte hij, dank
aan de stiptheid waarmede de Heer telegraafont
vanger zijn ambt waarnam, steeds tot eenieders
voldoening.
Het is ook grootelijks aan hem te danken dat
de Regie van Telegraaf en Telefonen verscheide
ne jaren medehielp om het succes onzer Ypersche
Handelsfoor te verzekeren en er een zeer aan-
trekkelijken stand inrichtte.
Ook nog op andere gebieden wist de Heer Le
clereq zich hier te Yper verdienstelijk te maken
en zoo werd hem, na het overlijden van den Heer
politiecommissaris Vandenbraambussche, stichter
erf*voorzitter van het Last Post Comiteit, in 1936
het voorzitterschap dezer inrichting opgedragen.
Wij wenschen dat de Heer Leclereq hier in onze
goede stad Yper, waar hij niets dan vrienden telt,
van een lange en welverdiende rust moge genie
ten.
In het Staatsblad van 4 Januari 1940 werd de
wet afgekondigd houdende zekere verhoogingen
inzake de met het zegel gelijkgestelde taxes.
De bedragen van de overdrachtstaxe, van de fac-
tuurtaxe en van de taxe op de roerende verhu
ringen en op het vervoer, worden verhoogd als
volgt
Het- bedrag van 2.75 t. h. op 3.50 t. h.
5.50 t. h. op 7.00 t. h.
0.75 t. h. op 1.50 t. h.
0.70 t. h. op 0.90 t. h.
1.10 t. h. op 1.40 t. h.
1.35 t. h. op 1.75 t. h.
2.75 p. d. op 3.50 p. d.
1.10 p. d. op 1.40 p. d.
0.55 p. d. op 0.60 p. d.
Worden respectievelijk op 3,50 t. h. en op 7 t.h.
gebracht, de verhoogingen van 2.75 t. h. en van
5.50 t- h. voorzien door de wet van 16 Juni 1932.
DE GELUKSAANBRENGER VAN DE
biedt U het NIEUW PLAN aan
Vermindering van het aantal Biljetten
400.000 in plaats van 500.000
Vermeerdering van het aantal gemiddelde loten
800 loten van 2.500 fr.
200 loten van 10.000 fr.
40 loten van 20.000 fr.
20 loten van 40.000 fr.
VIER LOTEN VAN 100.000 FRANK.
Ondanks alles behoud van het Super Groot lot
van EEN MILLIOEN
en 44.000 andere loten van 100 tot 250 frank.
Eerste schijf 1940 Trekking in Januari.
BrillanteOui. Jamais, l'emploi de cette épithète ne
se jóstifla mieux que mercredi soir. Les organisateurs
du 2* groupe du 2- Régiment Léger n'avaient nullement
exagéré en nous promettant une fête ébiouissante. Non
j seulement nos esprits, mais aussi nos coeurs ont été
surpris par les faisceaux lumineux et convergents de
j l'art musical classique et léger et de l'humour, d'une
partpar ceux d'une entente cordiale entre Wallons et
Flamands et du patriotisme le plus sincère, d'autre
part
Ainsi. nous avons connu la paix, dans la tourmente
durant quelques heures trop brèves, sans doute, mais
dont le souvenir nous rendra cette douce quiétude.
source abondante d'énergie.
De Gala Encore oui. S'il n'y avait pas les uniformes
chamarrés, les chapeaux empanachés et les habits des
grandes soirées officielles, néanmoins les autorités mi-
li taires et civiles occupaient, en grand nombre, les
places d'honneur. autour du major Janssens et du
Bourgmestre, M. Vanderghote.
Le ProgrammeAhil fallait le talent du maréchal
des logis, M. George pour l'élaborer. En effet, l'heure
actuelle ce n'est pas chose toujours facile de réunir. a
pèu de frais, une pléiade d'artistes. Pourtant, quels
que fussent vos goüts ou même vos préférences, ils
ont été satisfaits, car, M. George, qui est un rude dé-
brouillard, eut tót fait de découvrir dans nos murs des
vedettes et des collaborateurs précieux qui allaient se
joindre gracieusement aux artistes militaires pour me-
ner a bonne fin son projet
Et maintenant, déroulons rapidement le film des
souvenirs agréables que nous a laissés cette brillante
soirée de gala.
C'est a l'Harmonie Ypriana que revient l'honneur
d'ouvrir la fête.
Sous la direction habile et précise de M. Francois
De Ridder, malgré l'absence de nombreux musiciens
mobilisés, elle marque, avec puissance et souplesse, la
cadence martiale et héroïque de la Marche de la Gen
darmerie nationale, due a l'inspiration heureuse et fé-
conde du Commandant Prévost, chef de la musique des
guides
Suivant le geste du Major c'est debout que le public
écoute puis applaudit la marche du régiment.
Pouvait-on faire plus bel hommage et prouver mieux
sa sympathie aux militaires cantonnés chez nous.
Après l'exécution de l'-ouverture de la Muette de
Portici de Auber par l'Harmonie, Madame Viaene vient
nous ravir de sa charmante voix, en nous chantant la
valse captivante de Rose-Marie, de R. Frilm et Song of
Songs de Moya
Puis, Monsieur G. Van den Hende, nous chante trés
agréablement De Morgenstondextrait du Pays du
Sourire de Franz Lehar, et, en flamand également, l'un
des plus grands succès de l'année écoulée Violetta
de Klose.
L'Harmonie nous apporte ensuite, dans une fantaisie
sur Phi-Phi, toute l'allégresse de la musique sautillante
et pétillante de Christiné.
Et nous voilé tout a coup transportés dans l'atmos-
phère des bouges. oü l'on parle l'argot et fume des mé-
gots et oü la femme aime, malgré son autorité tyranni-
que, celui qu'elle appelle Mon homme
C'est Madame Lelong. excellente divette, douée d'une
belle voix et servie par une mimique trés expressive,
qui nous y mène, accompagnée a l'accordéon par M
Viaene.
Son naturel est surprenant pour une artiste amateur.
Ouvrons ici une parenthèse pour lui adresser nos
plus vives et plus sincères félicitations, ainsi qu'aux
autres vedettes précitées, de la désopilante revue locale
t 't Miljoenqui ont remporté comme elle, un trés
léeitime succès.
Malgré tout le temps que lui a pris la préparation de
cette fête et l'obligation pour lui d'être toujours sur la
brèche. ce soir, M. George trouve encore le moyen de
se produire comme baryton. Sa voix admirablement
cultivée est agrémentée d'une diction parfaite. II a
choisi pour nous charmer des airs qui s'adressent
l'SmeLa mélancolique Sérénade de Schubert et l'air
nostalgique de l'Ombre rouge dans le Chant du Désert
de RombergJe ne veux que son amour
II fait honneur a la puissante et trés réputée cho
rale La Légia dont il est membre.
Puissent son chef et tous les sociétaires percevoir
les échofe des acclamations et des applaudissements qui
le rappellent. II chante encore une romance exquise
dont. le titre hélasnous échappe.
Abandonnons un instant la musique pour nous rendre
la campagne avec ce guide trés averti et trés sym-
pathique, qu'est le militaire, M. Pochet. Ecoutons les
cris de tous les animaux de la ferme, passons par l'ate-
lier du menuisier, faisons un bond jusqu'é Francor-
champs pour y assister au départ des concurrents du
grand prixavec notre guide pilote faisons quelques
loopings, sans danger, bord d'un avion léger enfin,
prenons le rapide pour revenir vite au théêtre commu
nal. Et Ié remercions et félicitons M. Pochet qui n'a
pas ménagé son souffle pour nous imiter d'une fagon
parfaite, en amateur, devant le micro, les cris et les
bruits les plus divers.
Quant M. Van Mulder, fantaisiste Flamand, il ne nous
fait entendre que deux chansons de son répertoire.
Etant indisposé, il ne peut chanter davantage, malgré
les rappels du public enthousiasmé.
L'Harmonie cloture la première partie du concert
par la trés entrainante «Valse militaire» de Frémaux
C'est la symphonie Ypriana sous la direction de M.
Georges Van Egroo qui se fait entendre au cours de la
2* partie.
Eile ioue trois morceaux du genre léger, qu'elle en-
iève avec un bel ensemble Modern March de feu
Albert Van Egroo, qui fut Directeur de notre Ecole de
Musique et chef de l'Harmonie Ypriana Les Etu-
diants de Heidelbergouverture de Suppé et Czar
das» nJ 8 de Michiels.
Nous avons, entre ces morceaux, la bonne aubaine,
d'entendre M*11® Blanquart, ancienne élève de notre
école de musique, qui obtint un lr prix au Conservatoire
de Garid cette année. C'est tine pianiste parfaite, dont
la personnalité se déflnit par une profonde sentimenta-
lité et dont le jeu est d'une souplesse affinée. II est re
grettable que le piano ait été placé de telle fagon que
les basses se trouvent du cöté de la salie. Toutefois
nous goütons avec inflniment de plaisir toute la
délicatesse et tout le charme poétique des variations
sérieuses de Mendelsohn et notre ême s'accorde avec la
grande sensibilité de Chopin en écoutant sa Polonaise
Monsieur Huberty qui obtint, cette année, une men
tion au Conservatoire Royal de Bruxelles, joue pro-
prement la Sonate de Tartini et le Concerto de Bé-
riot, M,-n" Blanquart l'accompagne sans le dominer.
Pour clóturer la fête. une troupe d'amateurs bien
disciplinée, nous interprête avec beaucoup de verve
l'amusant vaudeville en 1 acte de Tristan Bernard
L'Anglais tel qu'on le parle
Et voilé de nouveau M. George. En quelquea mots
touchants il remercie les autorités militaires et civiles,
d'avoir bien voulu rehausser de leur présence cette
fête. II remercie le public tout entier d'avoir répondu
l'appel des organisateurs. Avec une simplicité tou-
chante, il expose leur but qui était de joindre I'utile
l'agréable, c'est a diredivertir les militaires cantonnés
chez nous, et venir en aide aux families nécessiteüses
de leurs camarades flamands. Enfin, il fait acclamer le
Roi.
Ouvrons encore une parenthèse pour dire que c'est
encore M. George qui a offert au nom des officiers de
magnifiques gerbes toutes les dames qui ont prêté
leurs concours cette soirée, y compris la trés modeste
M1"' Versavel accompagnatrice au talent sobre mais
ferme.
A son tour. le Bourgmestre M. Vanderghote, remercie
en particulier le Major Janssens et en général tous les
militaires du 2" groupe du 2° Régiment Léger, qui ont
eu l'heureuse initiative de donner cette fête au profit
des families nécessiteüses de nos mobilisés. II exprime
aussi sa joie de voir régner la bonne entente entre la
population civile et les militaires cantonnés en notre
ville.
Une vibrante Brabangonne jouée par la Symphonie
Ypriana cloture cette brillante soirée de Gala, qui
nous l'espérons sera suivie d'autres qui seraient dignes
comme celle-ci d'être transmises par l'I.N.R. l'inten-
tion de notre armée toute entière.
A tous le plus cordial proficiat de GAIRED
f
RECTIFICATION
M"11'- Andrée Moerman est élève de Mm,i Vanden-
brouck, et non de Mmo Debacker, ainsi que nous l'avons
écrit dans notre compte rendu de l'audition des élèves
de notre Académie de musique, paru la semaine der-
nière. Toutes nos excuses au professeur que nous avons
lèsé, bien involontairement GAIRED.
YPER. Aanrijding. Zondag namiddag, rond
5 u. 30, werd de auto van M. Charles Dedulle, die stil
stond rechtover de Cinema Majestic, in de Rijselstraat.
langs achter aangereden door een militaire autocamion-
nette, gevoerd door den soldaat Schroder Arthur en
komende uit de richting der Rijselpoort Beide voertui
gen werden beschadigd, doch bijzonderlijk dit van den
Heer Dedulle.
ZONNEBEKE. Arm gebroken. Tijdens zijn ge
wone bezigheden op de hoeve heeft pachter Remi Calis
een zoo ergen val gedaan dat hij den rechterarm brak.
Vrachtauto tegen Mazouttrein. Zaterdag om 8.40 u.
toen de motortrein van Roeselare naar leper, ter hoogte
der Schipstraat kwam, passeerde daar juist de auto van
den melkman M. Pattyn uit Langemarck. De vracht
auto kwam tamelijk geweldig tegen den mazouttrèin
terecht. Hoewel geen persoonlijke ongelukken te betreu
ren, Is de schade aanzienlijk. De trein is aan de zijde
ingedrukt en het stuur liep defecht zoodat een lokomo-
tief moest worden bijgehaald om den rit voort te zet
ten. De auto is omzeggens vernield.
Het aangeven van waterputten. Ten einde bij
brand het blusschingswerk zoo spoedig mogelijk te
kunnen verrichten, worden de inwoners vriendelijk ver
zocht aangifte te doen van de open of gesloten water
putten welke een ruime hoeveelheid water bevatten of
kunnen inhouden en zich in de nabijheid van hun wo
ning bevinden.
Missievergaderig. Op 7 Januari komt E. H. pater
Wydhooge in film en woord u toespreken om 5 ure
's avonds, in de patronage, over zijn missiewerk in
Congo.
PASSCHENDAELE-MOORSLEDE. Aanrijding.
Woensdag voormiddag kwam de auto van M. Tanghe uit
Roeselare in botsing met den goederentrein. Beide in
zittenden der auto werden slechts geschramd. Het voer
tuig echter werek erg beschadigd.
WEST-NIEUWKERKE. Kind omvergereden.
Zondag, rond 6 u. 's avonds, wilde de 7 jarige Vantroye
Omer, wonende in de Bellestraat, de baan oversteken
naar het gehucht Romarin doch werd op hetzelfde
oogenblik aangereden door den motorijder Valère S.
van Waasten. Het knaapje was gelukkiglijk slechts licht
verwond, doch de motorijder, die eveneens zwaar ten
gronde stuikte, was er slechter aan toe en ernstig ge
kwetst aan hoofd en armen.
STADEN. Rijw'elongeval. De wielrijdsters Si-
monne Vancolen en Gabrieile Man hebben 's avonds bij
haar terugkeer een ergen val gedaan tengevoVe van de
gladheid der baan. Eerstgenoemde had een d'ene wonde
aan het hoofd opgeloopen en bleef- bewusteloos ten
gronde liggen terwijl de andere een arm gebroken was.
MEESSEN. Aanrijd'ng. Langs den steenweg
naar Waasten werd de wielrijder G. Vanneste aangere
den door een auto bestuurd door Albert Gvsers. De
wielr'jder werd een eind ver weggeslingerd en liep ver-
sehe;dene kwetsuren op. Hij moest ter verzorging weg
gebracht worden.
WESTROOSEREKE. Erge val. Tengevo'ge van
den i'zel waarmede de banen bedekt waren, is de ge
naamde Cvriel Vandamme zoo ongelukkig ü'tgpgieden
en gevallen dat hij zich het dvibeen brak. Wi word
dadelijk opgenomen, doch de ontboden geneesheer deed
hem naar een kliniek overbrengen.