HET YPERSCHE LA RÉGION D’YPRES Bijvoegsel =- Bijvoegsel Supplément Année, N° 29. 5 NOVEMBRE 1921 I Y P E R Ons Slachthuis Benoeming Société a Ypres [/association beige des .entrepreneurs, auxquels d’Ypres, ie samedi 14 octobre dernier. 1.002.600 13.581.500 45.035.991.50 53.576.507 57.666.870 87.825.170 119.743.477.50 Langemarck avec 8.925.800. Ayons done confiance. L’oeuvre de la restaura- tion en Belgique, et dans notre arrondissement surtout est en bonne voie. L’effort fait dans notre pays est bien plus grand que celui que nos amis du Sud ont réalisé jusqu’ici en France. Cela doit nous encourager a persévérer dans nos efforts, a maintenir les réunions dans nos clubs de sinistrés Visite a Ypres de [’Association des Entrepreneurs 47.014.000 34.961.000 18.244.852 16.732.370 16.054.400 15.122.300 14.914.950 14.639.000 13.621.000 12.285.400 12.009,400 11.659.400 11.014.600 Le Président, Gravet. Nos COOPERATIVES Revue Trimestrielle 2e fonder de nouvelles coopératives. (Comment sepeut- il que certaines de nos grandes communes complè- tement sinistrées n’en aient pas encore Et n’oublions pas d’adresser l’expression de notre reconnaissance émue a ceux qui ont fondé et qui dirigent notre Fédération des Coopératives. Sous les noms de MM. Levie, ministre d’État, et de Monsieur Kestemont, la cheville ouvrière de eet immense organisme, nous entendons acclamer tout eet état-major composé d’hommes d’élites et dé- voués qui les entourent et auxquels notre région i dévastée doit sa résurrection. Nous aurons bientöt l’occasion de parler de l’oeuvre admirable accomplie par M. Boereboom, en ce qui concerne la remise en culture de nos terres dévastées. La aussi des prodiges ont été accomplis par la sage utilisation qu’il a faite de l’initiative privée. Ah si nous avions rencontré le même zêle et la même saine compréhension des choses dans les bureaux ministériels, comme la question du règle- ment des indemnités de guerre serait aujourd’hui avancée Les membres de cette société sont priés de se réunirle dimanche 13 novetnbre prochain, a 11 heures, a 1’Hotel Excelsior, Grand’place a Ypres, pour délibérer sur les moyens de remettre la société en activité, et pour nommer la nouvelle commission. Le Secrétaire, II nous revient que ces Messieurs (gens compé tents, a coup sur) ont été tout simplement émer- veillés par l’activité et l’avancement des travaux chez nous. Ils proclamaient que, nulle part ailleurs, ni en Belgique, ni en France, ils n’ont rencontré un aussi prodigieux progrès dans la reconstruction. Ces Messieurs n’ont évidemment pas pu visiter nos villages. Si non, ils auraient pu constater dans le plus grand nombre de ceux-ci le même achar- nement au travail et le même progrès. --s (les petits ruisseaux font les grandes rivières) et a K. A. F.) Om niemand in onmacht te doen vallen zullen wij niet zeggen hoeveel die dingen hebben gekost. Daarin eigenlijk zouden de beesten moeten geslacht worden maar, door plaatsgebrek, worden al de verkens gekeeld en gerookt op het pleintje dat achter de koten ligt. Ge zoudt dat spektakel moeten zien 1 Van brandgevaar in de nabijheid willen wij zelfs niet spreken ’t een of ’t ander jaar krijgen wij toch, naar ’t schijnt, eene autopomp, Made in Germany nogal noch van den welriekenden hoop d»ie honderden meters in ’t ronde de aangenaamste geuren verspreidt... Daar is, oh shocking nog geen messing... Men deed er toch al iets de grondvesten der afsluitingsmuren liggen bloot, een halven meter diep in den grond. Dat werk is sedert weken geëindigd... en alles blijft zoo. Hoe hier nog niemand de beenen gebroken heeft is een raadsel... Om het huis van den bestuurder te kunnen heropbouwen heeft men de barak afgebroken waarin hij verbleef en nu woont hij, en attendant, met zijne familie, in een splinternieuw gebouw... dat voor stalling zou moeten dienen De averechtsche wereld Hoor eens, zei Breydel aan ’t wachten worden wij het wel een beetje gewoon, maar blijven duren mag het in geen geval. Dat vragen, hervragen en nog eens vragen worden wij letterlijk beu. Men vindt wel tijd en geld voor andere zaken. Daarom eischen wij dat men ons slachthuis zou herbouwen. En rap 1 Nawoord. Men verzekert ons dat men thans aan ’t slachthuis bezig is met brieken te lossen, ’t Is goed teekeh. Kon men nu maar spoedig hand aan ’t werk slaan, ’t ware nog beter. hui Certains de nos villages repoussent comme des champignons 1 i Les coopératives sont évidemment un des grands stimulants de notre relèvement. C’est par elles en tnajeure partie que nous vient l’argent pour rebatir 'nos maisons et nous procurer des meubles. Ce sont les coopératives qui font vivre l’initiative privée. Etc’estd ce titre qu’elles nous tiennent tant acoeur. Nous recevons aujourd’hui le relevé du mouve ment général des coopératives de tout le pays au 30septembre dernier. Comme nous publions men- suellement ce relevé en ce qui concerne notre arron dissement, il est possible pour nous maintenant ■de comparer le travail de nos coopératives avec ce qui s’est effectué ailleurs jusqu’ici. Eh bien, gloire a nos coopératives a nous Elies tiennent la tête du mouvement Les chiffres soni éloquents. I Savez-vous combien il a été payé, a ce jour, aux Isinistrés par les coopératives 612.716.602.50, plus de six cent douze millions Or voulez-vous savoir quelle est dans ce total la part de la seule Flandre Occidentale Elie est de 318.812.024.50, plus de trois centdix huit millions. Done a elle seule, la Flandre Occidentale a touché plus de la moitié de ce qui a été payé par les coo pératives. A quel sentiment injuste obéissent-ils done, certains journaux, qui sans se donner d’abord la peine de se renseigner osent avancer que la Flandre ne regoit pas sa part? Et, dans la West- Flandre, voici comment se répartissent les indem- nités Arrondissemènt de Bruges tenue par Louvain. Pendant la guerre déja, on y teavailiait a fixer 1 lses> a relever les maisons. Une grande partie de la besogne était done déja préparée a l’armistice, alors que chez nous il n’était pas même encore j possible, un an après, de nous imaginer comment s’établiraient nos comptes. Louvain, grêce aux circonstances et a l’énergie d’un groupe de bour geois audacieux autant que dévoués, handicape ainsi toutes les autres communes beiges, et vient en tête de toutes les coopératives locales. Voici du reste le classement des principales coo pératives. Louvain Ypres Ostende Wervicq Roulers Dinant Menin Nieuport (canton) Malines Lierre Warnêton Tournai Dixmude Puis viennent Eessen, Middelkerke, Termonde, Charleroi, avec chacune plus de 9 millions, et sirienne vient arrêterlemerveilleuxéland’aujourd’ La Concorde 2= Jaargang, Nr 29. 5 NQVEM BER 1921 de l’étranger, est venue rendre visite a la ville j 1 d’Ypres, le samedi 14 octobre dernier. Over veertien dagen schreef Breydel in Het Ypersche aan ’t adres der bevoegde overheid Wij vragen dat gij ons slachthuis zoudet willen herbouwen. Reeds lang vragen wij U dit... maar gij hebt geen tijd. Zonder van Poorteklokke eene uitnoodiging gekregen te hebben daar eens te gaan kijken, zijn wij er toch naartoe geweest. Wij vroegen erom een onderhoud met Breydel. Hij en zijne maten waren volop aan ’t werk. Toch kwam hij, percies in geen tenue om naar het bal te gaan... Wij deden een toertje rond de koten, de beeste- koten, de voorloopige beestekoten, als ’t u belieft. Daar staan immers drie gemetselde koten met ijzeren cinters overdekt (iets in den aard van de zoo gerieflijke als gezonde Nissen-huts van het Grace a l’obligeance de la Fédération des Coopé- ratives, nos lecteurs sont mensuellement mis au cOtirant du résultat des travaux de nos diverses coopératives locales, et ils peuvent ainsi se rendre conipte des grands progrès qui se réalisent chez nous. Du reste tout s’encha'ne, tout se tient intime- nient, et il est impossible que le travail de toute une population ne se manifeste que sous un seul point de vue. Si par nos coopératives nous rentrons dans nos indemnités, l’effet s’en fait sentir immé- diatement dans tous les domaines. Tout le monde nereste-t il pasébahi devant cette poussée de recon struction qui se fait sentir chez nous depuis Paques? y avait-il en 1919 un seul homme assez audacieux pour oser affirmer que nos champs seraient tous remis en culture en moins de 10 ans Et cepen- dant a la fin de l’année prochaine restera-t-il encore un seul chariip inculte La plupart de nos fermes ne seront-elles pas rebaties avant deux ans d’ici, i Courtrai Furnes Ypres (soit le 1/5 du pays entier) Comme nous le disions ici il y a 15 jours, ce splendide résultat d’ensemble est dü au travail con tinu et trés ingrat cependant de nos conci- teyens qui font partie des conseils d’administration d des directeurs. Les sinistrés ne sauraient leur témoigner assez de reconnaissance. Les autres provinces ont regu Anvers Brabant Flandre Oriëntale Hainaut Liège Limbourg F Luxembourg Namur Parmi les coopératives locales, la lre place est tenue par Louvain. Pendant la guerre déja, on y les indemnités, a faire les exper- j I s’étaient joints un grand nombre d’entrepreneurs t L 36.733.050 63.198.289 36.542.556.50 63.536.341 34.274.150 F. Vandaele. id id id Bij Koninklijk besluit is M. Van den Daele. vrederechter tot Ardoye, ondervoorzitter bij de rechtbank van oorlogsschade van Yper benoemd, in vervanging van M. Berghman. ontslaggever. De wensch, onlangs door de afgevaardigden van onze Federatie van geteisterden uitgedrukt, heeft dus een snelle en volkomen voldoening bekomen. De tien Kamers van onze Rechtbank komen wederom al in bezit van hunne voorzitters. Men verzekert ons dat eerstdaags de Moniteur ook de benoeming van zes nieuwe Staatskommissa- rissen zal aankondigen. Daar onze coöperatieven nu ook beginnen transaktien te sluiten, is het hoogst noodzakelijk, voor hunne fusschenkomst, een grooter getal kommissarissen te hebben, Zes nieuwe zijn niet genoeg, maar zij zullen toch grootelijks helpen... 'I1', .,.11/,

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1921 | | pagina 3