I il I r I Leest en verspreidt ’t I, I Het I ?1 Taxe de transmission Ventes successives Intermédiaires Commissionnaires Ventes par filière j 1 °m te lad van dit ong En cas de filière tournante, c’est-a-dire lorsque le bon revient en possession de son créateur paree que celui-ci a racheté la marchandise qu’il avait vendue et qu’il a arrêté la filière dans son propre chef, aucune taxe n’est due, faute de livraison. De Fransche huishuurw®1 en de Belgen Tooneeltjes die eigen zijn ce i de la loi du 28 aoüt 1921, si une mar- keert van bijgangers komen van Een goep meisjes, arm aan weg huiswaarts, en Eensklaps hoort I Zij zag er propertjes uit, toen ze r; gewis meer goesting om te weenen dan Ge ziet van hier dat de auto, oorzaak wel honderdmaal, op eene niet al te dichterlijke verwenscht is geweest naar de Roode Zee Vat> stad aan de verwoeste s minuten nanoen-, 'ue meerendeeï van Ae van Werviek vervorderen h hg onder na\ motor, e sedtodit qw p meisjes v| ‘eemdelingen toegi oordeel was geweest i de onderhoorigen 1 het front stonden of door die wet Jetl) Zuiderburen H omdat zij er J „lyv. i of dat®® ej kunnen uitzetten zonder dat zij bij ie®3”1' I hebben. I sa facture et acheteur. L’intermé- de en indi- acquitté une taxe dont le prix qu’il a impose a son la facture qu’il délivre, le commissionnaire rend compte a son commettant de 1 exe cution de la mission par Vindication du prix d’achat, des frais et de la commission. Notons le bien, pour conserver le róle de véritable com missionnaire, I’intermédiaire ne doit pas nécessairement se borner a passer au nom de son client une commande ferme a son fournisseur. Il peut, sans perdre cette qua lité, s’assurer, avant toute commande ferme, 1’engage- ment du fournisseur de faire face aux demandes ulté- rieures qu’il lui fera parvenir pour compte d’autrui. Ce qui est essentiel, c’est qu’il n’ait pas acheté personnel- lement- en vue d’une revente et qu’il n’ait poursuivi d’autre but, en se procurant cette promesse, que d’assu rer l’exécution des commandes qu’il réunirait dans la suite en tant que commissionnaire, rémunéré par une simple commission. Ces considerations s’adressent1 a toutes les branches du commerce indistinctement. Elies visent done notamment pour autant qu’il soit, nécessaire d’en faire une men tion spéciale le négoce des charbons. M. le Ministre des Finances, voulant excuser les erreurs qui ont pu se commettre de bonne foi dans les premiers temps de la mise en vigueur de la loi, a pro pos de ventes successives avec livraison directe du pre mier vendeur au dernier acheteur, a autorisé les agents de 1’administation a ne pas relever les contraventions de l’espèce a charge des contribuables qui, a compter de la publication de la présente instruction, auront spontané- ment abandonné leurs errements. schen. Ongelukkiglijk is er een loopend, eenen misstap doet. Zij slaakt angst, maakt een zwemmend gebaar, valt kletst op gansch hare lengte, te midden in de j opstond, en de celui-ci. Or, on n’imagine pas que le vendeur qui n est pas intéressé a la fraudes expose a des pénalités sévères en prêtant la main a une manoeuvre qui peut être découverte par le simple rapprochement de de celle qui sera délivrée par son t- diaire se qualifie-t-il abusivement commissionnaire l’acheteur, lui-même devra démentir cette qualité quant sur sa facture qu’il a montant ne répond pas au acheteur normalement, par 4 L’exposé qui precede tie sêrait pas complet, si quel- ques développements n’étaient donnés au sujet de cer- taines transactions d’un caractère spécial qui ne concer- nent qu’un nombre trés limité de négociants. II s’agit des ventes par filière qui s’exécutent au moyen de bons de livraison transmissibles par voie d'endossement. Le marché a terme des huiles offre un exemple de genre d’opératión. En fait, ces transactions se caractérisènt par un but de pure spéculation chez les contractantSi Elles ne visent pas, comme d’autres ventes commerciales, a pourvoir aux besoins immédiats de la consommation. Elles ne tendent pas a rapprocher la merchandise du consommateurcelle- ci sans descendre d’un échelon dans la hiërarchie com- merciale, se borne a évoluer entre un ensemble de négociants qui se livrent au même trafic et que Ton doit considérer comme ne formant qu’une unité. C’est la raison qui a déterminé le législateur a n’envi- sager, dans les ventes de l’espèce, que la dernière trans mission, celle qui aboutit a la prise de possession de la marchandise, et a exonérer les autres. Pratiquement, le règlement de la taxe de transmission s’opère comme suit dans les cas dont il s’agit. Le dernier vendeur, informé par l'arrêteur de la filière que celui-ci prendra possession des marchandises, appose le timbre sur sa facture. Le livreur ou créateur de la filière n’autorise l’enlèvement que contre production de cette facture; il mentionne au bas du bon de livraison qui lui est restitué, le montant de la taxe payée et la date de l’annulation de la vignette. II est obligé de conserver ce bon pendant le laps de temps fixé par Partiele 55 de la loi du 28 aoüt I 921et de l’exhiber a toute requisition des préposés de l’administration. Exceptionnellement, quand le dernier vendeur réside a l’étranger, le livreur est tenu d’apposer lui-même le timbre de la manière tra- cée par Partiele 3, 2, 2e alinéa, du 3e arrêté Royal du 28 octobre 1921. Les factures délivrées par les précédents vendeurs sont affranchies de la taxe a la condition de porter la mention suivante qui est indispensable au point de vue du Con trole Vente par filière suivant bon de livraison n°... créé par M..., (nom et adresse du créateur du bon) Le livreur effectue-t-il la livraison a l’étranger, d’ordre de l’arrêteur de la filière, en ce cas encore au cune taxe n’est exigible (art. 49, n° 2 et 3, de la loi pré- citée)- Het volgende gebeurde in eene straat best van geene naam op te geven) Voor eene maand, lostte men verschillige en baksteenen rechtover en op eenen geteisterd dom, wiens heropbouw toevertrouwd was aan den St De eigenaar van -het goed, die wist dat de aanbot had plaats gegrepen, monkelde van voldoening Dagen en weken verliepen, en de eigenaar zag mand afkomen. De bouwstoffen waren in den wes de gebuurs, maar zij zwegen en verdroegen d® legenheid om pleizier te doen aan den eigenaar van b goed. Deze laatste wachtte ook met geduld,^,) wist dat men toch Wervick niet kon herstellen in een dag, en hij zag met voldoening dat zijne gebuurs a wachtten van te morren. was dus met de grootste Verontweerdiging i de echtgenoote van den eigenaar, op eenen zekerennaj dagmorgen, bestatigde, dat metserdienders die arbe» den voor rekening van eenen anderen aannemer, en i bezig waren aan een huis in opbouw een b derdtal meters verder, begonnen het zand a baksteenen weg te voeren op hunne bah» Zij wilde hun verbieden van deze bouwstoffen w te halen, doch te vergeefszij sprak hun aan mei goe heid, zij miek haar gram; niets hielp Demetserdiende deden maar altijd voort, onder voorwendsel dat ne hun dit werk opgelegd had. 't Einde raad, liep zij regelrecht naar het ha van den aannemer die het huis van haren echtgenoot aai veerd had, om hem het laakbaar feit kenbaar te mate Tot hare groote verwondering vernam zij dat de aar nemer hoegenaamd geen materialen ter plaatse je» had Er wierd later vastgesteld, dat het eenvoudiglijk aannemer was van het huis, gelegen een honderdtal met verder, die, zonder zich om iemand of om h bekommeren, het geschikt gevonden bad, deze bouwde grond, alsmede een gedeelte van de strt een soort van stapelplaats te herschapen. De F1 hebben gezworen met den eigenaar, van zich i® te laten beet nemen, en hebben zich afgevraag lang nog sommige vreemde aannemers zullen blij’® aap houden met de inwoners van de streek vonden een man die het hart op de rechte plaats draagt en er steeds naar gestreefd heeft de likwidatie der oorlogschaden te verhaasten. Hij voelde nochtans niet veel voor de Coöperatieven maar toch heeft hij ons be wezen, sedert de vereeniging van Dendermonde waar openhartig opbiechtte, dat zijn bekeering volledig De Fransche Senaat heeft de wet op de huisi’uuf sproken. Voortaan kent die wet, in zekere01®® heden, verlenging toe der huurkontrakten, na houding met den eigenaar. Maar het voord» i J alF" wordt met aan de vreemdelingen toegeKen de Kamer van oordeel was geweest dat te verleenen aan de onderhoorigen van de F Staten, die aan het frent -r^nrlen of wier z°° den oorlog hebben gediend. De Belgen in Frankrijk zijn in zij vreezen dat zij bij onze langer zullen kunnen uithouden, geen onderdak meer zullen vinden Au voeu chandise fait l’objet de plusieurs transactions successives, la taxe de transmission doit être acquittée autant de fois qu’il y a de ventes. Il ne stiff it done pas, comme d’aucuns ie pensent, que la taxe ait été payée a l’occasion de l’achat, pour que l’acheteur puisse se dispenser d’apposer le timbre de transmission sur la facture qu’il adresse a son cliënt au moment de la revente. Plus répandue est Terreur qui consiste a croire que la taxe n’est due qu’une seule fois lorsqu’un négociant, ayant acheté et revendu, pour son compte, une même mar chandise dont il n’a pas personnellement pris possession, donne ordre a son vendeur d’en faire l’expédition directe a son propre acheteur. L’acheteur intermédiaire n’est évidemment pas dans ce cas un commissionnaire, c’est-a- dire un mandataire. II a acheté aux conditions qu’il a jugées convenables et il a revendu au prix qu’il a fixé lui- npême selon l’état du marché et les dispositions de ses clients. Il n’a pas voulu resserrer son bénéfice dans les limites obligatoires d’une simple commission bref, de tous points de vue, c’est un négociant achetant pour son compte et non pour compte d’autrui. S’il n’emmagasine pas la marchandise, il n’importe. La livraison effective dans son chef existe dès l’instant oü la marchandise a regu la destination qu’il a indiquée a son vendeur. En droit et en fait, J’envoi direct n’empêche pas qu’il y ait vente et livraison du premier vendeur au second et de celui-ci a son acheteur. II y a deux ventes distinctes deux taxes de transmission sont exigibles. En conséquence, doit être condamné le procédé qui consiste, de la part du premier vendeur, a remplacer sur sa facture 1’apposition du timbre par la mention Exonéré de la taxe de transmission a défaut de livraison effective», ou toute autre jnention analogue. La loi, dans son article 48, S 3, prévoit l’hypothèse oü l’intermédiaire joue le róle d’un commissionnaire, c’est-a- dire d’une personne qui, tout eri traitant en son nom propre, agit pour compte d’autrui, son commettant, et re<?oit du chef de son intervention, a titre de rémunéra- tion, une simple commission. Dans ce cas, il n’y a qu’une seule transmission de propriété, celle qui s’opère du pro- priétaire au destinataire de la marchandise. Une seule taxe est due et doit être acquittée de la manière suivante le commissionnaire représente-t-il le vendeur, il incombe a lui seul d’assurer le règlement de la taxe aux lieu et place de son mandant représente-t-il l’acheteur, il regoit du vendeur une facture revêtue du timbre et il rappelle le montant de ce timbre et la date de son annulation sur la facture qu’il adresse a l’acheteur. Il saute aux yeux que celui qui tentera d’usurper la qualité de commissionnaire se heurtera, en fait, a des obstacles insurmontables. Se prétend-il a tort commis sionnaire du vendeur, il aura a s’assurer Ia complicité Op de Leege Kruisse: tien mir het wérk terug. Het r de fabriek arm, r babbelen gezelli men een geronk van i auto, in volle vlucht verschijnt als een den hoek van de Komenstraat, - Sauve roept iemand, en iedereen tracht zich uit de maken om niet bekladderd te worden. De i ten langs alle kanten, gelijk eene bende versch^" schen. Ongelukkiglijk is er een onder hen, die a|' eenen kteei om, en modd ze hij ons o; was. Beeldt U in, mijne Heeren, dat de Heer Orban verleden jaar zijn verlof doorgebracht heeft met onder zoek te doen in sommige Staatskommissariaten en dat te' dier gelegenheid, omdat hij zeggen dorst wat hij ge zien en ontdekt had, er lieden het beslaan hebben in de pres te verklaren dat zijn verblijf in Congo vrijstaat hem het hart tot ongevoeligheid toe verhard en Izijn geestesvermogen beneveld had. Valsch zijn deze beweringen en lastertaal 'Wij tee- kenen hier krachtig protest tegen aan en bieden den Heer Orban de uitdrukking onzer eerbiedigste hulde aan. De Heer Borlez, dd. Hoofdkommissaris te Charleroi plaatst hier eenige woorden en verklaart o. a. dat de Heeren Bestuurders der Coöperatieven overtuigd wezen mogen van zijn goede inzichten te hunnen opzichte. Hij zegt alles in ’t werk te stellen om ze te helpen in de maat van ’t mogelijke, het Land tot nut en ten bate. En hierop sluit de Heer Staatsminister Levie de zoo belangrijke vergadering met deze zeer fijne woorden Men zou kunnen zeggen M.M., dat Staatskommissaris- sen en Coöperatieven een door ’t verstand ingegeven huwelijk aangegaan hadden. Morgen zullen wij met overtuiging mogen verklaren dat, de band die beide orga nisaties aan mekaar verbindt door de puurste liefde werd gestrengeld iier^ heo ud

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1922 | | pagina 2