1LEMemt il I. Congo Beige e ie Belgische Congo Reglement sur la police de roulage G. Duld. ARTICLE III Conseil communal d’Ypres **estations allemanoes L’en nafure pondance sufva^tet” rec°nstn Uction accompagljt 'mmages ora. ï;I appareils suffisails! ne nous en aussi inconsi- Tack, démis- circulation tl Le séance publiq buis clos est repris. |ue d’immeubles et du les biens du bureau de bienfaisance observations. I Le budget 1922 de l’Ecole moyenne de l’Etat de la sécurité publique roues dom le bandage mesure au mohs| etc., doit être ,cond!tionné et chargé de fagon a la voie publique et a viiesse trop rapide ou causer des accidents i I out véhicule t quelconques telles que briques, ciment, mortier, leut, i ne tien ne pas si Les exportations du Congo beige se sont élevées ft 1921 a 325 millions de francs. Notre colonie Pte^ une importance considérable, comme on voit. une Vttesse a VtW iascule - Kalfvaatl pour les trio tourrarfa, ins les Wr hicules quelconques est interdit le Conseil Communal, soit dans les soit sur les anciens extérieurs qu’intérieurs. II sera néanmoii vélpcipédisles seuls, de circuler sur les térieures de la V ille, de même que sur les mins de ronde intérieurs de l’enceinte de midi. ARTICLE VII Les contraventions aux articles ci-dessus seront P*! des peines prévues a l’article 2 de la loi du T Aoï I 899 sur la police du roulage. ARTICLE VIII Sont abrogés tous règlements antérieurs sur la circus tion des chevaux et des véhicules de toute nature. laisser tomber sur celle-ci. belg wil ik sterven. van uw gedacht maar een ander, mijne kin- dat ik de middels had ;s °u en In 1921 is de waarde der uitgevoerde al^e7^ stegen tot op de schoone som van 325 milK°enen' men ziet, krijgt ons Congoland ieder jaar meer en belang. Indépendamment de T application des dispositions pré vues par les règlements généraux ou provinciaux sur la police <du roulage, le Conseil Communal de la Ville d’Ypres, considérant l’intensité de la circulation en Ville, et l’emploi de véhicules, tracteurs, locomotives rou- tières camions automobiles et autres, pouvant, par une i un chargement trop considérable, aux personnes ou occasionner des ARTICLE VI Le Bourgmestre pourra interdire de fagon tempol raire, la circulation de véhicules et animaux de trait,I dans les rues et sur les places oü la circulation pourrai être dangereuse ou incommode pour les habitants. II e sera donné connaissance a la population par voie dat- fiches. uju zaï net uitwijzen. Voor eensluidend afschrift, II est défendu de circuler en Ville, a partir dK droits indiqués a l’article I, avec plus de deux véj cules attachés 1’un a 1’autre, chargés ou non chargés. Chacun des deux véhicules doit être placé sous 1, ai. veillance d’un homme. Tome trique balie chargée doit être de deux hommes. ARTICLE IV Sans préjudice de la réparation des doi sionnés aux voies publiques et aux constructions riveti nes par la circulation de tout véhicule a traction mj. canique servant au transport des matières pondéreuses, aucun véhicule de i’espèce ne pourra être mis en ciroti lation s’il ne satisfait aux conditions ci-après, indépet- damment des prescriptions des Arrêtés Royaux pns exécution de la loi sur le roulage et la autres règlemenlations particuhères 1réunir toutes les garanties jugées nécessaires point de vue 2) avoir des qumze centimetres de largeur. 3) être muni de ressorts ou pour empècher les trépidations. 4) être pourvu de para-boue, disposés de manieni empècher toute projection d'éclaboussures. ARTICLE V transportant des matières pondértuss dérement. M. Colaert répond que les 5/6 de la Chambre re- fusent de modifier la loi. Notre seul espoir serait de voir admettre que 1’industrie du batiment, au moins ch?z nous, est saisonnière puisqu’il n’y en a pas d’autre. Le Gouvernement se plaint de ce que les coefficients de reconstruction sont élevés, mais alors qu’il donne le jnoyen de l’abaisser. Les matériaux doivent nous arriver des contrées non dévastées, on devrait la aussi permettre de nous en produire plus vite. M. Donck se plaint de ce qu’on ne travaillera pas a la refection du Canal cette année. Cela aussi contribue pour beaucoup a élever le coefficient. Il se plaint de ce Séance du samedi 18 mars 1922 La séance publique's’ouvre a 3 1/2 heures. Tous les conseillers sont présents, exceptés MM. D’huvettece et Iweins, empêchés. Le procès-verbaf de la précédente séance du Conseil est lu et approuvé sans observations; 2. Communications. Monsieur Georges membre du bureau de bienfaisance, a donné sa sion. Pris pour notification. Plusieurs conseillers voudraient voir émettre le vceu que la loi des 8 heures ne soit pas appliquée a Ypres ni dans la Région dévastée, celle-ci ayant besoin d’être restaurée sans aucun retard. M. Colaert pense que la reconstruction des maisons doit être considérée comme une industrie saisonnière et que l’on peut espérer que le Ministre en tiendra compte dans l’Arrêté-Royal qui est en préparation. Monsieur Delahaye fait observer que cette industrie est absolument la seule qui existe ici que néanmoins le syndicat des ouvriers chrétiens s’op- pose a ce qu’on travaille plus de 8 heures. Nos ouvriers sont restés eet hiver sans travail pendant 9 semaines s’ils ne peuvent regagner le temps que les intempéries leur font perdre, nous pouvons craindre qu’ils abandonnent complètement pour aller travailler France oü cette loi n’est pas appliquée de vastes écoles. La solution la plus j-1^ d’établir Tissue de la cité Ligy contre le cimetière prenant du terrain a M. Gheeraert. Ce front a pas bati, et cette solution serait extrêmement c:o. en ce qu’elle rapprocherait beaucoup de la ville cité Ligy dont- l’accès actuel est par trop éloigné. Ce serait profitable pour l’eau, le gaz et la police. Acune décision n’est encore intervenue. Les conseillers émettent des considérations diverses. Le college discutera encore la question avec le H. C. R. 8. Diverses concessions au cimetière sont accordées sans 9. est approuvé. 10. II. La location publiq droit de chasse sur est approuvée. 12, 13. Les Hospices civils regoivent l’auto- risation de vendre certains lopins de terre sis a Ypres et a St Jean. Ils sont autorisés aussi a donner main- levée d’une inscription hypothécaire. Le séance publique est levée a 5 1/2 heures, et le que le train de l’après midi pour la direction de Courtrai parte a 4.32, cela force les ouvriers a quitter leur travail beaucoup trop tót. 3. Le Conseil décide que la rue Jansénius recevia une largeur de 8 metres. 4.. L’élargissement de la rue Eigen Heert, au débouché dans la rue de Steurs, est approuvé. Du reste, on y construit déja selon le nouvel alignement. 5. L’alignement nouveau proposé pour la rue de la Bouche et la rue de 1’Arsenal donne lieu a de lon gues discussions, et la grande masse des conseillers n ad- met pas qu’on y exproprie avec Tampleur proposée. Ils trouvent inutile et par trop coüteux de toucher a 1 im- meuble Rabau de ce cóté-la il ne faudrait pas élaigir du tout. En conséquence, toute la question est renvoyée a l’étude. 6. Règlement de police sur le Roulage et la Cir culation. M. Vandermeersch donne lecture du projet de règlement qu’il a élaboré. Ce projet ne soulève pas beaucoup d’objections, et est finalement approuvé moyen- nant quelques modifications. Nous donnons ci-après le texte de ce nouveau règlement. 7. M. Sobry, échevin, saisit le Conseil d une de- imande de mise en location de divers terrains prés de la gare et prés de 1’ancien chateau d’eau qui pourraient servir de dépots d "t^tériaux. Le service des magasins communaux de lamertinghe demande aussi a s’y instal ler. Ce projet de l’échevin soulève de nombreuses oppo sitions. M. Delahaye dit que si la ville a supprimé son ser vice du magasin communal', ce n’est pas pour qu’une commune voisirie y installe le sien. Cette observation sensée rencontre 1’approbation de tous. Du reste, il est probable que le chateau d’eau devra être rétabli. Les conseillers estiment done qu’il faut at- tendre les évènements d’abord. Louer des terrains prés de la gare pour y laisser déposer du sable, de la chaux, etc. aurait le double in- convénient de salir considérablement T entree des visi teurs en ville, et d’exposer la ville elle même a recevoir encore plus de poussières que l’année dernière. La proposition Sobry est done rejetée. II est question ensuite d’un terrain prés de l’Hoorn- werk dont la propriété est revendiquée a la fois par l’Etat et par la Ville. C’est une languelte de prairie On examin’era’cette question‘de propriété. En attendant, 11 ne peut done être question de louer cette prairie. M. Colaert expose que le H. C. R. désire aug- menter 1 élendue de la cité Ligy et de lui donner une sortie sur la chaussée de Menin. Pour cela il faudra exproprier les Soeurs St Joseph, ou les Hospices, ou deSLrelireS1 de ia ferme Gheeraert' Or, les Soeurs ont etabh la leur ferme a la demande même de la ville, et elles rendent énormément de service aux pauvres, aux malades, et aux enfants pour lesquels elles ont créé la n..Va!teS„éC0,eS’ La so1111»0’1 la plus pratique serait -j en rue n’est avantageuse i la v ^er^n' février. L’organe officieux du ?«“- nement allemand, la Deutsche Allgemeine l* stond verbaasd van zoo schoone velden te zien daar was geen enkele obusput te bemerken in Denderleeuw de den ze groote werken die millioenen zullen kosten, maar ik was verwonderd van daar nog zoovele wagons te zien staan sedert t’ jaar 18, ze zijn wel niet nieuw maar ze zouden toch beter doen van ze te verkoopen aan de ijzerbarons in plaats van ze daar te laten staan tot in het laatste oordeel. Tieste. Ja maar het is niet zeker dat ze geld noodig hebben, :t’ is misschien voor ne musée van te maken. Zeppen t’ kan zijn maar waarom betalen ze ons niet. Aan de statiën van Sotteghem, Audenaerde en Kort rijk is alles vermaakt, daar is geld genoeg maar ne keer dat ge in Meenen, Wervicq, Komen, Houthem korrit de statiën zijn nog al barakken. Als ik afstapte ik ginge mijn laanteern gaan halen voor naar mijne barakke te trekken als ik t’ huis kwam, t’ begon te regenen en binst ik mijne patatten op at k moeste mijne paraplu open doen omdat het in mijne assiete niet had geregend. Tieste. Gaat zoo slecht 1 Zeppen. Zwijgt er van, drie dagen te vooren had de kappe van de barakke geslegen geweest door den wind. De duitschers en geheel hunnen activisten boel, hunne aanhangers zouden voor altijd moete verdoemd zijn. Ze zijn de schuld van ons ongeluk en t zouden er nog zijn die er zouden willen vriend mee spelen, ik ben rech ten vlaming geboren ik zal altijd voor ons recht strijden maar als vlaming en Tieste. Goed gesproken, ik ben ik en wille niet dommer zijn of ders moeten twee talen spreken en zelfs drie en vier. Zeppen. Ja, dat is waarheid, maar wij moeten dan de middels hebben voor onze jongens uit te zetten. Nu gaa ik voortvertellen en al gauwe uitscheiden want ik zie dat uw pijpke uitgerookt is. Och heere God k’ was zoo blie van in bedde te kruipen met mijn vrouwke, maar ik kon bijna niet slaper, de ratten en de muizen hielden kermis tusschen de planken en als het wat beter ging dan droomde ik van hetgeen ik in Brussel gezien had en van t’ geen ik alle dagen hier zien, het verschil s toch te groot op de Vereld en zeggen dat we allen schepsels van ons Heere zijn ik ben curieus van later te zien wie dat er meest zal branden. uwf dommages aux habitations batiei et a la voirie de la ville. ARRETE LE PRESENT Req ARTICLE I 11 est interdit a tout véhicule quelconc voilure, motocyclelte, etc.,) de rouler a périeure a 10 kilomètres dans les rues de d’Ypres a partir des endroits suivants: La Korte de Ldle Kruisstraat Hoedje Cette vitesse est réduite a 5 kilomètres teurs, locomotives routières, camions auto autres véhicules similaires dans toutes les Vihe, et pour tout véhicule quelconque aux^ croisements et jonciions des rues, ainsi que dai de moins de 6 mètres de largeur. ARTICLE II Le stationnement et la circulation des chevaux t 7 7: aux eadr°i‘s indiquégpj iens chemins de ronde de Tenainte^ —ms permis, ill: Promenades les anciens de Jus3u’a l'hWt|

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Het Ypersche (1925-1929) | 1922 | | pagina 2