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WERV CQ
Remise du drapean
Handels- en Nijverheidsbond
Yper
reconstruction
pas
moet kosten,
rendit im-
pas
ait des relations entre 1’Ad ministration
et les
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koopeu van het
\Buta\?e.
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Ypres, 9 avril 1922.
La Federation demande
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onze moedige bevolking
I
etlles énor-
sans
Tous les coefficients de reconstruction tomberont
de 2 points au moins
aussi simples aienf dti être
linistre Lande
Aiislres de I’Ar-
visite a Ypres le 9
Illi
h
voor ^len oorlog voor ons be aa
genoegzaam bewezt i
De Voorzitter,
I. VERMEULEN MEYN.'E.
"Xes membres du comité permanent qui ont dressé la liste
des demandes auront sons doute remarqué que deux de celles-ci
n'ont pas été reproduces dans la note transmise au ministre.
Cela provient de ce que ces demandes avaient déjd requ leur
solution. Art. BUTAYE.
Le Président de la Fédération des Sinistrés
de 1’Arrondissement d’Ypres,
Art. BUTAYE.
aan België groote besparingen
de eer hebben het Ypersche
hebben teruggebracht.
Uwe genegenheid kennende
terde streek,
Ued. aanhoor zal vinden en dat
dit jaar het genoegen zal hebbdL de werken van de vaan
zien aanvangen.
ij bieden Ued., Heer Minisftr, de verzekering van
volkomene hoogachting,
De Sekretaris,
R. DECLERCQ.
Le Lieutenant-Colonel Adjo it d’Etat-Major Dupré,
du 22e Regiment de Ligne, ren :ttra letendard aux glo-
au nom de sa Majesté
on set de-
mnment possible que des
ex-
rieux mutilés de la grande guem
le Roi des Beiges.
Il Qu’une chainbre de la Cour d’Appel ait a s’occuper exclu-
sivement des appels de L’arrondissement d’Ypres.
Aujourd’hui, o «Lattend souvent un an, et plus, une décision
de la Cour. En fair, tout appel même partiel bloque tout k
un dossier. Or, toutes les affaires de l’arrondissement d’Ypres
sont extraordinairemAt urgentes, et ces appels sont en outre
relatifs, le plus souvent, ft des reconstructions d’immeubles
ou des reconstitutions de femes.
11 y a aujourd’hui, de par ces appels, 3,000 affaires environ
de Farrondissement d’Ypres qui <ont bloquées Cela doit
finir.
4) Qu’on rétablisse le canal d’Ypres a l’Yser.
Cette remise en état de navigabilité fera gagner ft l’Etat
plus de 10 fois autant de millions que le travail m coütera.
du coup
2) Que les Chambres Yproises d< BULGES et de GAND
soient priées de terminer toutes leurs affaires dans un délai
determine, 6 mois par exemple.
Ce délai semble bien suffisant.
Ces chambres ont rendu d immenses services. Quand tous
les réfugiés de Ift-bas auront, d’icï ft 6 mois, été servis, ils
seront les privilégiés d’entre nous. Ces chambres auront
rempli leur röle. Nous avons absolument besoin ft Ypres de
ces commissaires.
Dimanche, 5 mai prochain,
nelle de leur arapeau aux Invi tides de la section Wer-
vicq-Comines.
tot
ie* la
oor de behingen der geteis
durven wij verin pen dat deze noodkreet hij
ei; -«t onze moedige bevolking npg
Hl kQue les titres d’indemnités soient régulièrement envoy és
aux sinistrés aux dates fixées par les jugements.
flrLa loi ie veut formellement, et c’est ft la demande des ser-
services centraux eux-mêmes que les Tribunaux fixent des
dates précises pour le paiement des indémnités.
Pourquoi alors ne pas les observer
aux invalides
tura lieu la remise solefc-
7) Que les expropriations faites par l’Etat (chemins de fer,
Hants Commissariats Royaux, Fonts et Chaussées ou Agricul
ture) soient payees avant que l’Etat ne s’empare des terrains.
La manière actuelle d’agir est en contradiction- absolue
avec le texte formel de la Constitution.
On peut citer une foule de cas de ces abus par l’Etat.
Dans la Région dévastée, il semble que la Constitution ne
compte vraiment plus.
ne soient
Ge&en de moeilijkheid, met den heer Minister Vande
Vyvere, keen persoonlijk onderhoud te hebben, bij zijn
bezoek aan de stad Yper op 9 April 1.1. heeft een Af
vaardiging dier bond, samengesteld uit de HH. Tahon
Julien, Bagain Maurice, Declercq Robert en Notebaert
Antoine, heeft de verzoekschriften tot den heer Minister
bestemd, aan den Heer Colaert, burgemeester, overhan
digd, die zich wel heeft willen gelasten, deze te onder
steunen en te geven aan den belanghebbende Minister.
In eene gedachtenwisseling, met de HH. Hoogkom-
missarissen, Burgemeester en Schepenen der Stad, heeft
gemelde Afvaardiging, de voornaamste grieven der han
delaars te kennen gegeven en sterk op hunne ondersteu
ning aangedrongen.
Hopen wij, dat deze Heeren, hunne beloofde mede
werking zullen indachtig wezen.
Hieronder geven wij het verzoekschrift betrekkelijk
het herstellen van de vaart naar den Yzer.
8) Que 1’Administration prenne d’urgence les niesures néces
saires pour indemniser et prévenir les propriétaires riverains
des routes qui doivent être exhaussées pour les ponts de
Wervicq, Comines et Warneton.
Ces routes constituent précisément les rues principales de
ces localités Et on laisse les propriétaires sans instructions
concernant la fa§on de reconstruire. Il y a 3 ans que cela
dure, mais l’Etat, qui ne permet pas de reconstruire comme
avant, ne parle pas d’indemhiser et ne donne aucune indica-
cafion. Ici non plus l’art. II de la Constitution n’est plus
appliquée.
3) Quand un créancier fait opposition a la commission des
Cessions et Nantissements, le sinistré, contre qiTi elle est faite,
devrait en être immédiatement prévenu par cette commission.
Le bureau des Cessions et Nantissements peut aviser par
formules imprimées oü il n’y aurait qu’un nom et un h iff re
a remplir I Ce serait chose si facile.
5) Qu’on supprime les Magasins Communaux
mes dépots de bois.
Cela fera économiser des millions gaspillés aujourd hui
aucune utilité pour le public.
10) Qu’il y
sinistrés et que ceux-ci soient consultés.
Les sinistrés sa vent le mieux ce qui leur manque. Or, les
fonctionnaires enquêteurs, vérificateurs, controleurs, etc..., ne
s’adressent jamais ft eux ni ft leurs organismes locaux, et
ils ont alors beau jeu de dire que les sinistrés ne sont jamais
contents. Eux, les fonctionnaires, tropvent pourtant que tout
va bien Le comité de consultation de Bruxelles est parfois
consulté paree qu’il y a ordre formel, mais ses* avis n’ont
encore jamais été suivis.
Les sinistrés demand^ent que cela cesse, et qu’ils aient un
mot ft aire.
Monsieur le Ministre recevra, soit de Monsieur Beaupain,
soit de Monsieur Van Alleynnes, au nom de la Commission
consultative, une note relative aux intéréts dus mais restés
impayés jusqu’ici sur les avances administratives, par
cooperatives ou Hants Commissariats Royaux.
9) Que les coefficients de
réduits.
Les coefficients alloués par les Tribunaux sont déjft trop
maigres. Les prix des adjudications par l’Etat ne peuvent
seiwir de points de comparaison. Les entreprises s’y font par
séries de 20, 50 maisons ft la foisc’est de la ma?onnerie, de
la menuiserie, du plafonnage ft la série. En fait du reste,
qu’on vienne voir Ie résultat dans 10 ans, la grande partie
des maisons reconstruites par l’Etat en séries seront ft
raccominoder par suite de malfa^ons et d’emploi de mauvais
matériaux.
Ce n’est. pas ainsi qu’on peut vouloir que les partieuliefs
reconstruisent, et ils ne reconstruisent pas par séries.
Yperken 9 April 1922.
Aan den Heer A. Lande Lyvere,
Minister der Fer'ioeste CeWesten.
Mijnheer,
De Handel- en Nijverheidsbond van Yper neemt de gelegen
heid van Uw bezoek te baat om nog eens Uwe aandacht te
trekken op de dringendheid van den herstel van de \art van
Yper naar den Ijzer.
Wat aangaat het steen der kust, dit zou,
inlichtingen, vijftien tot twintig franken per 1000 steed
der kosten, indien het vervoer per water gedaan wierd:
Die verminderingen van vijftien en twintig toegi;
op de zestig miljoen franken steen die van die streken mo<
ingevoerd worden, geven een boni van verscheidene miljo®
misschien wel genoeg om onze vaart t<»t zijnen vroegerenli
stand terug te brengen.
Voor den oorlog was al het zand dienstig tot. den he
der steeirwegen of de bouwnijverheid per water naar
gebracht. Tegenwoordig moet het vervoer per ijzerweg
schieden. Hier ook zou een merkweerdige besparing kun:
gedaan worden, gezien men schat dat er dit jaar rond
50,000 ton te Yper daarvan zal aankomen en de dracht i
water den prijs per kubiekmeter met 10 franken zould»
dalen.
Wat aangaat het hout, het vervoer per ijzerweg belod
op meer dan 20 franken per 1,000’ kgr. Per water, zou
maar een derde ervan kosten. Als men denkt dat eiptr
20 van den prijs van een gebouw overgaat in het a
ruw7 hout, dan staat men verbaasd cv r
ontzaglijke som die aldus zou kunnen bespaard wor i n
Verdere voorbeelden zou men kunnen aanhalen. De
gaande cijfers zou men kunnen toepassen op de omlig ea<
gemeentende voorbeelden voor de herlevende handel e ni
verheid uit de verbinding per water met het overige va
land en het noorden van Frankrijk zouden wij ook k
doen uitschijnen; wij zouden.pnet cijfers kunnen toon»
belangrijk onze vaart voor jden oorlog voor ons
was, maar wij denken dit leeds
hebben.
Het schijnt dat men in de hoofdstad zich ontroerd
de ontzaglijke sommen die dtn herstel van ons ongeil
gewest zal kosten: l|et schijnt dat men i aar middels r i p
om die kosten te doen mimiren en eveneens zoekt on
vermenigvuldiger van herbeh‘g in te krimpen en... men r
geet van de vergelijking te maken tuss< hen de coefficieL
noo.dig in gemeenten voorzien van waterwegen en deze|<
ervan beroofd zijn, en de besiaiiging vast te’<stellen der dri i
gendheid van den herstel onzèr vaart.
In naam van de opkoméndJ handel en njjverheid van jh
Y’persêhe, in naam van al de geteisterden, zeggen wijï t
Heer Minister, helpt ons onze aart doen hermaken, Gij lui
loen verwezentlijken, Gij zuh
>t zijnen vróegeren bloei t»
dernier. La «Région d’Ypres» avait annoncé que M.
le Ministre se rendait ce jour-la en ville, et commc
date de cette visite coïncidait avec celle de la Réunion
Mensuelle des délégués de notre Fédération nous pou-
vions espérer être re^us par M. Vande V^yerc. ftlotre
attente ne fut pas trompée. 9 v
Au cours de la Réunion, le Président était précisé-
ment occupé a donner connaissanc# de-ce Jrêapier des
demandes, quand on lui fit savoir que M. le Ministre
désirait recevoir au Haut Commissariat Royal oü il se
trouvait une délégation de 4 de nos membres. MM.
Blontrack de Staden, Butaye, président, Geuten de
Wervicq et Van Alleynnes d’Ypres se rendirent auprès
de M. le Ministre, qu’entouraient MM. Colaert,
Moreau, Esquelin, Clinckemaille, les échevins d 'l pres
et d'autres personnalités. M. Butaye, président, donna
connaissance a M. le Ministre de nos dix demandes. M.
Vande Vyvere sembla étonné de la modération et du
bien-fondé de nos plaintes positivement les sinistrés de
l’arrondissement d’Ypres n’étaient pas des rouspêteurs
quand même ni des bolchévistes, même leurs demandes
étaient si nettes, si justes et si naturelles qu’il était im
possible de n’en être frappé. Ce sentiment M. V ande
Vyvere ne chercha pas a le cacher, et lorsqu alors le
Président lui suggéra de donner ou plutót de répéter
sa réponse a notre assemblée même, ce fut avec empres-
sement que M. le Ministre accepta, et il se
médiatement a la Caserne.
Notre compte-rendu de la Réunion Mensuelle a briè-
vement fait connaitre a nos lecteurs quelles furent les
déclarations Ministérielles au sujet de nos demandes.
Nous avons confiance en notre Ministre et nouis espérons
que sous peu nous aurons satisfaction sur bien des points.
Les Ministres rie font pas toujours tout ce qu’ils veulent,
eux aussi ont a compter avec leurs bureaux et nous
savons, nous sinistrés, que ce que ceux-ci veulent avant
tout c’est que ?a dure longtemps.Mais, M. Vande
Vyvere est avec nous de tout coeur, et lui, comme nou^,
veut que 5a ne dure pas longtemps.
A la suite de la Réunion, la note de nos demandes
asgté transmise par la Poste a M. le Ministre, et nous
en doqnons ici le texte. C’est pour nos sinistrés un docu
ment inte{essant.
II résumé nos demandes a la date du 9 Avril 1922.
Cértes, en relisant ce document plus iard,
manderSI comment li fut un
demandes liussi justés-'et
prim ces!
(Sisser
W j-jxt ni jF''*
'Note communiquée a Monsiè^
Fyvere, au nom de la Federation'll^
rondissement d’Ypres, lors de sa r':
Avril 1922.
Verleden jffar waren de studies hierover in vollen
thans wilt men het werk tot later' uitstellen. Men
reden: de noodwendigheid van iver te gaan tot besu
Besparingen doen in alle nieuwe werken, bespari
werken van pracht, besparingen in de talrijke verkw(i
die sedert den oorlog overal in België schenen een geip
willen worden, is een dringende plicht. Maar durven
met de naam van besparingen hot verwaarlöozen van e<^
dat moet helpen om onze stn^ek te doen herleven; dat ’|.k
bron worden van den welstand van handel en nijverhé
de handelaars en ni/veraars van het Ypersche opnieuw
maken Belgen gelijk de andere Belgen... besparing...,
berooving moet dat heeten.
En zie, Heer Minister, hoe verkeerd het woord spa:
deze zaak aangewend wordt. Nemen wij tot voorheek
heropbouw der stad Yper. De schade wordt, zegt men, gt
op honderd miljoen. Tegenwoordig zouden de uitgaven 1
pen tot vijf honderd miljoen. De helft van deze som.
twee honderd vijftig miljoen, zoii moeten dienen on
metselwerk te betalen en daarvan zon de waarde der st
de honderd vijf en twintig miljoen overtreffen. Een
gedeelte van dit steen, misschien meer dan de helft, A
ingevoerd van streken zooals de zeekust, het Boomsche
waar het vervoer per water mogelijk is, dus•'•'voor
waarde van meer dan|zesrig miljoen.
Welnu wat bestatigen wij thans: het Boomsche steen v.
geleverd aan de boord der Leie te Waasten, Komei
Wervick, aan 105 franken, terwijl het in Yper 125 fra
't zij een verschil van <»m.trent 20 %4llet.v
zelfs voordeeliger het steen per water te doen komen t_
Waaston en het dan over te brengén naar Yper perga
camion, dan het rechtstreeks van Boom per ijzetweg i
Yper te sturen.
naar geA