IIHIEI m III IHiiiiii il 1 lip '11 llhii i niff ■i I IHI1 iilil o ii I I ||||M 1 i YPER STAD VILLE D’YPRES L’inspecteur des contributions d’Ypres se I formules concernant les impóts sur le revenu. flvis aua habitants d'Hollebeke, Briekn et Wulverghem den in de Motocultuur, Augustijnenstraat, waar zij zullen besteld worden. Voor het oogenblik wordt er geen klaverzaad uitgedeeld. Ministerie van Landbouw en Openbare Werken BERICHT De belanghebbenden die VOEDERBEET- A V ËS Les intéressés qui d si rent obtenir de la SEMENCE DE BETTERAVES sontpriés de s’adresser a la Moto-Culture, Augustynen- straat, oü elle leur sera délivrée. A ce moment on ne distribue pas de la Dokter VERBEKE MOND- TANDZIEKTEN Vperstraat, 94, Poperinghe I U il r lil van 8 tot 12 en van 2 tot 4 uren. ’s Zondags van 8 tot 10 uren. Met ln Mei RAADPLEGINGEN iedere week en Zaterdag te Y p e r, 420 Hollebeke le lundi 24 courant de 10 heures du matin a 5 heures de l’après-midi a Brielen le mercredi 26 et le jeudi 27 courant de 2 a 5 h.; a Wulverghem le 28 de 1 De BurgemeesterLe Bourgmestre, R. COLAERT. lité politique n’est pas observée, il faut la réta-x blir. II appartient, du reste, aux sinistrés de signaler a la délégation permanente les cas de Emprunt de la Fédération des Coopératives pour dommages de guerre I i mèdes s’indiquent d’eux-mêmes la oü il n’y a pas de cooperative, alors qu’il y a des sinistrés, de l’État commande de faire deséconomies, de hater la restauration du pays et de mettre de la clarté dans nos finances. Nous sommes tons d’accord la-dessus. Alors, pourquoi hésiter en core Devrons-nous saisir l’opinion publique de certains abus, devrons-nous instruire publi- quement le procés d’un régime que le bon sens condamne, devrons-nous citer des chiffres, dé- voiler des plaies et des tares, crier trés fort ce que nous préférerions taire Nous nous bornerons pour l’instant a dire que la santé morale du pays commande de faire confiance a ceux qui ont donné des preuves de leur probité, de leur désintéresse- ment, de leur conscience et de qui ce serait bien mal reconnaitre les éminents services que lestenirplus lóngtemps enuneinjuste défiance. Paul BEAU PAIN, président de la Fédération nationale des sinistrés.y begeeren zijn verzocht zich aan te bie- Bericht aan de inwoners van 11 iff' De Toeziener der belastingen van Yper, i zal op Maandag 24" dezer te Hollebeke .zijn derde zitting houden van 10 uur voormiddag tot 5 uur namiddag te Brielen den Woensdag 2Ön en Donderdag 27" dezer, van 2 tot 5 uur namiddag en te Wulverghem den Vrijdag 28n van 1 tot 5 uur, in het gemeentehuis, om de belastingschuldigen te helpen hunne aangiften in vullen nopens de belastingen op de in komsten. -semence de trèfles. demandé mais faut ilrenoncer aux transac tions conchies en dehors de la cooperative On a fait des milliers de transactions par 1’0 F- fice des dommages de guerre. Nous pouvons dire que la plupart ont été conclues après des discussions frisant le plus souvent le maqui- gnonnage Je vousoffre 10.000 francs. Mon J’en veux lo.ooo. Eh bien finissons-en. Coupons la poire en deux. tiendra a la disposition des contribuables, a zal gedurende de maand April den Dinsdag en Donderdag niet ontvangen, alle andere dagen ci 5 heures, a. 12. j maison communale, afin de les mettre au cou- rant de la manière dont ils doivent remplir I --- leurs formules concernant les impóts sur le Dinsdag, Donderdag Maloulaan. Devant la faveur avec laquelle est accueillie dans tous les milieux 1'annonce du nou vel emprunt, il a été decide d’organiser le l5 mai, i<r jour de l’émission, unejournée Nationale de l’emprunt. La Fédération s’est assurée du concours gra- cieux de la Chambre de Commerce de Bru xelles, de la Chambre Syndicale, des Grands Magasins de Belgique ainsi que de celui des Chambres de Commerce des grandes villes de province. Les Cooperatives de Wervicq et de Menin, elles aussi, se sont mises a la tache et se préparent... Les 914 cinémas affiliés a la Ligue nationale Beige du Cinéma montreront dans tout le Il pays ce qui a été reconstruit a l’aide des fonds directement au commissaire d’État qu’il con- i vaincra plus facilement de ses droits, surtout Hollebeke, Brielen en Wulverghem s’ils ne se connaissaicnt pas. Le commissaire d’État, qui n’aime pas les cooperatives soit paree qu’il se croit plus malin qu’elles, soit paree qu’il voit en elles un ennemi dont l’acti- vité rapproche chaque jour le terme de son mandatpourra, consciemment 011 non, avoir tendence a se montrer plus généreux ou plus accommodant. La loi ne prévoit pas l’obligation de la cooperative, a-t-on objecté. Mais elle autorise le gouvernement a s’entourer de toutes les ga ranties desirables. Au surplus, le recours au tribunal reste tou jours comme moyen suprème en cas d’accord impossible. Ce qui a fait le plus lóngtemps hésiter cer tains membres des deux commissions, ce sont les considerations suivantes, dont on reconnai- tra qu’elles ont une certaine valeur il y a des regions oü il n’e.xiste pas de cooperative, bien Qu il y ait encore des dommages a régler, et il y a des régions oü n’existent que de mauvaises coopératives entendons par la celles dont activité est quasi nulle ou celles qui sont sou- ^ises a des influences politiques. Mais les re- de prudence et d’opportunisme. En recourant i largement aux cooperatives, en leur faisant confiance plcine et entière, on pourra renoncer beaucoup plus vite a la coüteuse collaboration d’un grand nombre de fonctionnaires. C’est peut-être ennuyeux pour ceux-ci, maisl’intérèt aux membres des deux com- c’était la une decision assqz L’expérience nous a appi is a nous défier dresser les administrateurs inexperts dont la 1ih' 5 lp i' Vraag nr 8 van den heer Ernest NolJ 23 Maart Kan de minister mij zeggen of het in de bedoeling van zijn departement ligt, de brug gen over de Lcie te Komen, Waasten en Wervik eerlang herop te bouwen De herstelling van de verbinding met het Fransche grondgebied dringt zich meer en meer op, nu dat de bevolking is teruggekeerd en de betrekkingen tusschen de Fransche en Belgische bevolking aldaar hebben hernomen. Antwoord. De landhoofden van de brug van Komen worden dit .jaar aangevangen. Het bruggedek wordt volgend jaar gelegd. Voor Waasten is het onderzoek zoo ver nog niet gevorderd, maar mijn departement zal trachten dit jaar de bouwwerken van de land hoofden in aanbesteding te geven. - De nieuwe brug van Wervik wordt door de Fransche regeering gebouwd. Haar herop- bouwis minder dringend, wantde voorloopige brug aldaar is in zeer goeden staat. Conclusions Toute la question est-la Veut-on, oui ou non, enfinir rapidement avec les dommages de guerre Alors il faut avoir le Courage de prendre des is la plupart du temps on mesures radicales. On comprend les hésita- K au jugé scion la tète tions du gouvernement quand il s’agit d’inno- <lu cliënt, l’humeur du moment et a la faveur vei- dans une matière aussi délicate, mais l’ex- d’imprcssions plus au moins justes. périence parle plus haut queles considerations Le role des coopératives Le tableau des coopératives met toutes choses au point. Il fait rentrer les parties dans les li- mites de la loi il établit des bases uniformes. II a surtout le mérite de rendre plus efficace le controle, qui est a la base del'organisation des coopératives. Les administrateurs de coopéra tives sont presque toujours mieux a méme de voir si le sinistré est sincere et de bonne foi dans ses reclamations. Ils sont mieux placés pour cela que le commissaire d’État qui 'est parfois étranger a la region oü il opère. L’ex périence démontre que des indemnités ont été accordées d’une fa<;on pen judicieuse par des commissaires d’État qui travaillaient a l’aveu- glette. Lors d’une réunion des coopératives du Courtraisis, on a cité des cas impressionnants, notamment celui oü une coopérativc, après avoir refusé de traiter une avance paree qu’elle constatait dans le dossier qu’il y avait 100 p. c. d’exagération, a vu le sinistré obtenir presque complètement satisfaction en s’adressant au commissariat. II est fatal que s’il y a deux systèmes en pre sence, il y aura danger de surenchère. Le sinis tré qui craint le controle de la coopérative ira i’-iutre conclu en f aveur du système des transac tions ainsi compris. Edes sont allées plus loin, glles ont émis le vce.u de voir rendre obligatoire l’interinédiaire de la coopéiative pour toute faut les remplacer transaction ne dépassant pas 5o.ooo francs. Il affaire a la Fédérati provenant de l’organisation coopérative et feront ressortir également ce qui reste a faire encore et, tout comme l’an dernier, ces 914 cinémas consacreront les recettes de cette journée a souscrire des obligations du nouvel emprunt. Tout semble anr.oneer un gros succès i auquel nos sinistrés seront certes les premiers ii applaudir et les souscripteurs auront fait un placement de premier ordre. il faut en créer et la oü elles sont mauvaises il ou les améliorer. C’est affaire a la Fédération des coopératives, aidée de la délégation permanente. Elle possède des inspecteurs actifs et zélés ceux-ci peuvent tram n-a pas échappe fissions que grave.1 jecertaines innovations. Maïs een estqu après gestion sera contrólée de prés et qui devront avoir inurement réfléchi que les deux commis- do.nner des gages de leur activité. La oü l’éga- sjons ont résolu de demander au ministre une mesurc que la logique impose. La procédure transactionnelle est plus simple que la procé dure judiciaire. Nous nous sommes lóngtemps favoritisme dont ils auraient connaissance. Ainsi les objections tombent une a une. Au surplus, l’argumentdesmauvaisescoopératives peut être retourné et on peut dire (on n’y a du reste, pas manqué) N’y a-t-il pas aussi de mauvais commissaires. d’État, paresseux ou incompétents Ils n’en font pas moirts des transactions insuffisamment contrólées... L est évident que plus on élargira la mission des coopératives, plus on devra surveiller leur tra vail et leur gestion. Les mesures de controle devront être proportionnées au rendement a -Neuf fois sur dix le sinistré signait, par fournir. lassitude, par crainte de voir la discussion s’éterniser et la solution de son affaire remise aux calandes grecques. Je ne dis pas que le commissaire d’État finissait toujours par avoir le sinistré c’est parfois le contraire qui arrivait, mais avait régie l’affaire >1 I I I" 1 II

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Het Ypersche (1925-1929) | 1922 | | pagina 7