Oorlogsschade - Dummages de guerre 1 en a qui fr. Telegraaf en Telefoon te Yper ie ie ar 10 ?s f, 8 23o5 i5q5 2465 2002 2i55 3goo 5l2O i3q5 2535 6705 460 1465 35go 1200 g5o ig3o i5oo 1420 2413 2450 3g?o 1485 fr. 3gio 7485 - 6475 - 8g25 4100 2260 2g5o 8o5 - i5oo 16.585 - 2g.65o io85 2780 2920 2681 425 4235 2015 25io 3870 75o i3g5 Stad POPERINGHE Ostyn-Cambie Pillaert Victoor Goudenhooft Alphonse Beuns Julia Wils-Tavernier Moncarey Florent Quaghebeur Honoré Ooghe Henri Denwel Emile Cordonier Achille Cordenier Félix Clabau Remi Vuylsteker Sidonie Petillion René Hannebouw Gemeente RENINGHE fr. 5635 80 425 791 3i3o i535 170 58o Stad YPER Cailliez Maurice Cailliez Maurice Pottel Georges Knockaert René Bacquaert Sylvie Becquaert Isidore Coussens Marie Duflou Florimond D’Hooghe Edmond Morlion Robert Morlion Robert Michiels Florent Dumoulin Marcel Roscamp Romanie Huyghe Ferdinand Mersey Albert Debruyne Louis Goethals Emile Domarle Philomène Dael Fideel en Dael Mathilde Pladys Amand We Demey Gemeente ZILLEBEKE Platteau Jules fr. 25q5 Gemeente ZUYDSCHOOTE Smagghe Benjamin 1470 Vandewalle Henri fr. 5885 Sackenpre Auguste Deconinck Pieter Haezebrouck Achille Morlion Placide Coene Wc Lauwers Debruyne René Gruwier Alois Ville de WARNÈTON fr. io.g3o ii57 1022 n3g 1487 1669 i53g 20.916 2338 1641 io5o 438g 1647 6816 Lemahieu Floris Ve Honaert Jean Cruson Henri Peperstraete Camille Deroo Auguste Delangre Auguste Dehaene Oscar Hanquart Abel Vandermeersch Victor Scherlynck Arthur Depraetere Guillion Caveele Benoit Decroix Emile Platteeuw Hector Gemeente WESTOUTER Decroix Maria fr. 900 Gemeente WOESTEN Mispelon Henri fr. i3i5 In de laatste zitting der Scheidsrechterlijke Commis sies werd de schade, waarde 1914, als volgt vastgesteld voor de hiernavermelde geteisterden Dafls la dernière séance des Commissions Arbitrales la valeur des dommages 1914 a été fixée comme suit pour les personnes ci-dessous Ville de CÓMINES Ve Loosveldt Vermander Henri Desmedt Henri Geroges-D esmarets Ve Vandamme Fr. Deleu Appolinaire Vanoverberghe L. Baelen Cyrille Geeraert Gustave Constant Rose-Six Lecluse Marie Edmond Michiel-Vandooren Eleuthere-Parez Dhanschotter Léon Croes Victor Lanoy Emile Deruider Cyrille Verschaeve Jules Ve Grimonprez Verbek e Henri Dewitte Pierre Roger Vanheise-Pannecoucke Gemeente DRANOUTRE Bóndeweel .Nestor fr. 5829,16 Gemeente KEMMEL Sonneville Emile fr. 55o5,83 Depoorter Gustave Joseph 27-8i5 Dutily Henri 27-3oo Gemeente MOORSLEDE Van Eeckhout Léopold fr. i35o Dumortier-Bussche 2600 Denturck Camille 1800 We Vanyssacker, Marie Braem 9000 Demaitre Camille 5200 Gemeente NOORDSCHOOTE Nauwynck Henri fr. 22.565 Samyn Edouard i5.064,50 Gemeente PASSCHENDAELE Pype Charles fr. 3i5o Burggraeve Ch. 25oo Gemeente ZONNBEKE Carrein Henri fr. 4000 Goudezeune Isidore i65o II est possible qu’il y a moyen de faire des profits plus rapides il y a peut-être des gens qui seraient partisans de pareille politique. II est préférable de marcher dans la voie que nous avons toujours suivie dans les opérations de la Fédération. Dans la Fédération des Coopératives nous essayons de canaliser les demandes et de ne pas permettre que des influences venant de l’un ou de l’autre cóté, puissent favoriser les uns plütot que les autres. II faut réaliser une oeuvre de justice. Elle est trop belle pour que quiconque d’entre nous ait la faiblesse de céder a des intéréts personnels ou a d’autres considéra- tions qui ne seraient pas respectables. (Applaudissements). Dans ces conditions, en ma qualité de commissaire de la Fédération je tiens a dire que nous sommes remplis d’admiratiön pour la faqon dont le Conseil d’Administration a géré les affaires de la Sóciété. J’ai été ému de la facon délicate et belle dont les deux villes, qui forment, comme on l’a dit, la synthese de notre esprit national, Ypres et Dinant viennent d’apporter le seul don qu’elles pouvaient offrir pour récom- penser un citoyen pour le dévouement qu’il a manifesté au service de la Patrie et ce donnant a M. Levie, le titre de citoyen. Dans d’autres pays, Monsieur le Prési dent, avec le diplome de citoyen, vous auriez peut-être requ un apanage nous préférons qu’il n’y ait pas d’apanage, mais que vous ayez le titre de citoyen. (Applaudissements). Voldoening gevende aan de herhaalde vra gen van den Handels- en Nijverheidsbond en aan de wenschen der gansche bevolking, heeft het bestuur een ontvanger van Telegraaf en Telefoon benoemd. Wij meenen de tolk te zijn van alle belang hebbende met het bestuur over dit besluit geluk te wenschen. Wij zegge» welkom aan. den heer Moulin en drukken de hoop uit dat hij het bureel van Yper zal brengen tot de volmaaktheid waaraan de Yperlingen voor den oorlog gewoon waren. I fleur adressons aujourd’hui. Il y a des choses irréparables dans les désastres subis ce sont les morts les maris, I les enfants, les fiancés que nous avons perdus. Les désastres d’argent sont toujours répa- a-ables. Ils le sont d’autant plus qu’il y en ne les ont pas subis. II faut que la solidarité beige se manifeste <d’une faqon efficace. II ne suffitpas de plaindre les victimes, il faut leur venir en aide. On peut, a certains moments, dans une «oeuvre de ce genre, hésiter quand on ne sait pas ce que vaut l’organisme auquel on va prefer des ressources, mais quand on a vu eet organisme a l’ceuvre pendant deux années, et quand on sait avec quelle exactitude, avec «quelle parcimonie, avec quel controle il remet .ay^sipistrés l’argent dont ils ont besoin quand -on sait que eet organisme est certainement su périeur a toutes les autres facons d’indemniser les sinistrés, il importe que ceux qui vont prêter l’argent a la Fédération se rendent -comptc qu’en prêtant ces fonds, ils enrichis- :sent le pays et dés lors s’enrichissent eux- inêmes. En effet, le crédit de la Belgique est fait de son activité il est fait de toutes les IE oeuvres qui sont créées sur notre sol. Nous aurions beau posséder de l’argent, =si nous ne créons pas des oeuvres sur notre J©1, si nous ne présentons pas, par conséquent, .a l’étranger un crédit considérable par les •choses qu’il voit sortir de terre chaque fois «qu’il visite notrepays, nous nemériterons pas le -crédit qu’il nous accorde, ni la situation favo rable dont nous jouissons sur le marche inter national. Dans ces conditions, je suis trés heureux ■de m’associer aux paroles déja prononcées pour faire appel a tons ceux qui peuventnous -aider dans l’ceuvre énorme qui se trouve encore devant nous. Cependant, il ne faut pas en exagérer les difficultés. II faut tenir cómpte de ce que les plus grosses i ndemnités sont aujourd’hui payées, ■c’est-a-dire celles qui sont afférentes a des industries, qui ont dü être remises en marche pour permettre au pays de retrouver son activité. f< Je vais souvent a l’étranger. J’ai visité tous les pays alliés au cours de ce dernier mois. Je puis vous affirmer que partout, ce n est qu’un cri d’admiration pour la Belgique, pour la facon dont elle defend ses intéréts sans songer a trouver des profits, que je ne qualifierai pas d’illicites, mais de peu délicats. II est certain que partout nous pouvons conti nuer a marcher la tête haute, et que nous ne pouvons être accusés de chercher des profits nous n’avons jamais cherchés, ni avant, nipendant, niaprès laguerre. (Applaudissem.) Continuous dans cette voie, continuous être ce peuple laborieux et honnête que nous avons toujours été. uère compter que sur nous-mêmes et de ne nas beaücoup tenir compte des promesses qui us sont faites. Heureusement que nous n’avons pas attendu qu’elles fussent tenues ■pour nous mettre a l’ceuvre de la restauration jqUe nous avons entreprise et qui marche bon ■train. Elle fait l’admiration du monde entier, admiration qui se traduit en affaires par les ^hiffres cités par le Premier Ministre et qui nrontre le grand crédit dont notre patrie jouit a l’étranger. II est réconfortant de voir l’esprit qui règne dans une assemblée comme celle-ci, oü sont ceux qui connaissent mieux que quiconque les jsouffrances du pays, car ils les ont vécues. Malgré cela ce n’est pas le découragement qui luit sur leur visage, mais l’enthousiasme et le désir de travailler en vue de refaire notre Patrie plus belle qu’auparavant. S’il y a des geus qui ont souffert, il y en a d’autres qui, en Belgique, n’ont pas souffert «de la guerre. De même qu’ils n’ont pas été insensibles au premier appel qui leur a été adressé, de même, il est évident qu’ils ne peuvent rester insensibles a l’appel que nous 5g4 408 35o 1485 1400 g35 2110 79° 4334 i3.og6 85 3675 - 447 2376,17 S 2 n i- fr. 4001,10

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1922 | | pagina 5