I IIBT I Iffl I Hl I lp hl|| I tl ll |l djliL, i|hiHr ThET YPERSCHE LA REGION D’YPRES Bijvoegsel Supplément 1 Hiiim llli I i r Nr 10 - 24 JUNI 1922 üi Reklaam Affiche Affiche réclame loo fr. 1490 fr. en L’Ètat Constructeur T^bakteelt (Jaar 1922) Vse ctière H. Vermeulen. 290 fr. 20 fr. 20 fr, r T k- De personen welke in het loopende jaar tabakplanten hebben gekweekt zijn er toé gehouden voor den icn Juli aanstaande eene aangifte op te maken ten kantore van den Ontvanger der Accynzen. Er valt op te merken dat het verwaarloozen dezer voorschriften, voor gevolg zal hebben eene boete benevens het betalen der gesloken rechten. 5o fr. -2970 fr. Insehrijvingslijsten werden necrgelegd in de volgende koffiehuizen Des listes de souscription ont été déposées dans les cafés suivants Continental Brasseur Splendid Me We Souxdorf Excelsior Britannique Zweerd Miroir Skindies Casino Ypriana Devos Fr. et S. David (Vosje) De inschrijvingen beloopen tot heden— Les souScriptions se montênt a ce jour a De stad YperLa ville d’Ypres 1000 fr. Handels- en Nijverheidsbond Associat. Comm. et Industrielle Inschrijving onder-de leden vin den Handels-en Nijverheidsbond Souscription entre les membres de l’Ass. Comm. et Industrielle Bedrag der lijsten reeds versche nen in Het Ypersche Montant des listes déja publiées dans la Region d’Ypres M. Remi Bouquet M. Gustave Delahaye MM. Vanden Boogaerde Blomme, Brussel On se plaint beaucoup de la cherté de la vie. L’absence de Ia concurrence y est pour une forte part en effet, les immeubles achèvés étant rares, certains commerqants établis peuvent tenir la dragée haute au consomma- I I I'! 1WI N um Fl! Steenen Brug M.Verleye-Blanckaert Abri M. H. Waterbley M. Swingedaüw M. Houzé Me We Vanwichel'en M. A. MeSsiaen M. G. Coutelle M. II. Knockaert M. A. Tahon Mess’ Oorlogsschade Soleil Universe! Wij koesteren de hoop dat alwie belang stelt in den herbloei van ons dierbaar Yper, het zich als eenen plicht zal rekenen door zijne inschrijving ons stadsbestuur in zijne schoone onderneming te ondersteunen. Er wordt'herinnerd dat iedere inschrijving van 20 fr. recht geeft op een plakbrief als herinnering. Nous aimons a croire que tous ceux qui out a coeur de voir prospér'er notre chère ville tiendront a favoriser par leur soucription la belle initiative prise par notre administration communale. II est rappelé que toute souscription de 20 fr. donne droit a une affiche-souvenir. Het Bestuur van den Handels- en Nijverheidsbond, La Commission de l’Ass. Commerciale et Industrielle L’initiative privée, malgré toutes les contra- riétés qu’elle éprouve, accomplit en cè mo ment des merveill.es, et il ne serait pas a désirer que, frappés par le contrast» de l.'acti- vité et de l’ordre du travail privé d’une part, et par l’incompétence et l’incurié officieÜé de l’autre, nos visiteurs anglais, francais et amé- ricains, fassent des gorges chaudes au dépens de l’Etat. La pretfve est faite, et bien faite, que l’Etat, quand il reconstruit des maisons 'et des ferm es, fait un métier qui -n’es't pas le sien. Qu’il achève donc-ce qu’il a entrepris, qu’il ne fasse plus de nouvelles adjudications, et qu’a l’avenir il se borne a encourager les sinistrés en leur procurant en temps les fonds auxquels ils ont droit. C’est la la mission pro- pres du gouvernement. Oulture de Tabac £1922) Les personnes ayant cultivé des plants de tabac pendant l’année en cours sont tenues d’en faire une declaration par écrit au bureau du Receveur des Accises du ressort avant lé i1' j ui liet prochain. A remarquer, qu.’en’ cas de non declaration, l’intéressé sera tenu, outre le paiement des droits, a acquitter une amende. 3' Jaargang, n iu - w juni 3e Année, N° 10. - 24 JUIN 1922 r II nous revient de différents cótés que le Paut Commissariat Royal fait én ce moment Fn sérieux efiort pour parachever enfin les [difiéientes constructions qu’il a entreprises fdans 1 arrondissement. Les entrepreneurs FUiaient, partout, requ des ordres pressants. Pravo 1 II n’est jamais trop tard pour bien PailG et bien des propriétaires, petits et Efands, en seront reconnaissants dans toutes |es communes de la region. I A Ypres, nous verrons sans doute bientót jéstoitures de la Poste, des Pauvres Claires, a maison Deroo et autres, recevoir enfin I ’ccouriement en ardoises qui leur manque toeD118 Un an' semble que désormais on Peut considérer que ces charpentes, si long- exPos®es a toutes les intempéries, sont mom t'nent ^Urc’eS--- ou pourries, et que le Q. 11 est venu de les recouvrir...a moins les ni°ment n’en soit déja passé. Achever serait U° ^6S ^auvres Claires et de la Belle A St Marf In'eUX que C availler en ce moment Lettre adressée a Monsieur Neujean, Ministre des Chemins defer, Posteset Télégraphes, d propos-du service de la Poste. Ypres, le i5 juin 1922. Monsieur, Nous nous permettons d’attirer Votre atten tion sur la facon rudimentaire dont se fait le sendee des postes'dahs'notre ville. Alors qu’avant’ la'guerre, les facteurs fai- saient journellemënt' cinq tournees, nous n’a- vons plus en ce moment que deux distributions par jour, ce qui nous met au niveau du plus- petit village. L’importance des. courrièrs oblige les fac teurs a prolongër leu'r's tournées et est cause que certains habitants feijoivent leurs lettres trois heures apres d’autres. De plus, le bureau ne s’ouvre qu’a neuf heures du matin' ét'est férmé de midi a 2 heu res, ce qui fait que'bien des gens, surtout des ouvriers, doivent. négliger des heures de tra vail, s’ils ont a'ffaire’ au bureau 'des Póstes. Cettelimitation des heures a pourconséquence ün cncombrement d'es'güichets et par suite, un stationnement p’rolóngc du public. Ndus Vou’s avons déja sïgnalë eet êtat de choses dans notre lettre .du 26’janvier dernier et dans la réponse que nous avons eu l’honneur de recevoir a cë sujet, Vóus nous aviez promis que des'mesurés sèfaient prises incessamment afin de mettre uh terme a cette situation, mais jusqu’a présent rien n’est changé. - Espérant, M. le'Ministre, qu’une suite favo rable sera donnée a notre demande, nous Vous prións d’agréer l’assurance de nos sentiments respectueux. R. Declercq.' I peut-on dire que tout changement ne veut I ère dire amélioration, Aussi en faisons- i ons la triste experience. Dès qu’il a été pos sible d’obtenir.des jugements en référé, beau coup [vi teur, qui doit passer par eux. Au fur et a mé-; sure de la reconstruction,la concurrence pour-' ra's’installer et fefabaisser les prix. II importe done d’activer la 'reconstruction pour faire di- minuer le coüt de. la vie. C’est pourquoLnqus ^.vioiis raison de nous félicit.er du tra.yail-, accompli, lorsque le Fopc- tionnarisme a jugé bon .d’enrayer la recon struction par la fameuse Circulaire Done, pendant Jojïgtenqrs, nous paierons, lort cher toutes ic.sdenr.ées de première néces- sité et ce a cause de l’A'dministratiön I Nous suggérons 'a Monsieur le Ministre de récompenser letprérite du Fonctionnaire 'in- connu, auteur de la^ circulaire, en le Créant Baron Nous poipffons' toujours plus tard lui faire érigér'u'n'monument, apres le fetrait.' i Association CommercialectIndustrielle d’Ypres ont 'pü profitér de l’occasion d’avoir .ivêment un jugement, qui leur a permis de i iettre de suite la main a la reconstruction de leur demeure s’ils ne pouvaient l’achever, Itoiit'au moins en peu de temps ils étaiënt logés Idéfinitivemént. Bien a tort!certains ont criti- i ué les référés en disant que tout cela n’était i cue du provisoire, soit, mais cela permettait Iquand mème a beaucoup de commencer a Ibatii’- I peu avant la Toussaint nous a'rrivait ld bonne nouvelle que dorénavant plus de juge- m'ents en référé ne seraient rendus mais des définitifs. Ah I... la bonne nouvelle, mais que de deceptions par la suite. Bien peu ont vu leur définitif non frappé du fameux appel con- servatoire. De ce fait de nouveaux retards, et dans plus d’un cas, les propriétaires hésitent fa entamer les travaux, leur jugement étant frappé d’appel. Quand passeront-ils a la Cour d’appel de Gand... Voila le grand fait de l’histoire,-mais en attendant ils peuvent' se croiser les bras. r Puisqu’ön dit qu’a tout mal il y a remède, |péut-êtrë y aurait-ilmoyen de remédier a l’état créé par les appels conservatoires. Si l’appel interjeté a été motivé pour une question de difference de chiffre d’expertise des experts dü sinistré et de l’Etat, n’aurait-il pas été biën I simple de ne maintenir l’appel que sur la valeur icontestée et de payer le sinistré jusqu’a con currence du montant non ccuitesté. Cela serait peut-étre trop simple et n’aurait pas' pour con- sséquence l’arrêt de la reconstruction. Cela marchait vraimenttrop bien, il fallait stopper. I Ne se rend-on done pas compte en haut lieu que le retour a la vie normale et la crise du logement, tout dépend de la reconstruction que l’on active done l’examen des dossiers de ceux qui s’engagent a reconstruire de suite plutót que de chercher par tous les moyens ja I’entraver et tenir écartés pour un temps plus ou moins long encore les sinistrés qui ne dépirentqu’a nous revenir quand il y aura moins de poussière et moins deboue. [v; Des maisons, encore des maisons, voila ce qu’il faut,peu importe qui les construit, pourvu qu’il construise vite et qu’il emploie les moyens honnêtes; - Référés et définitifs L’ I - I l Le Président, Trois Suisses I I II Le Secrétaire,

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Het Ypersche (1925-1929) | 1922 | | pagina 9