i HI I ilriP i Ik HI I lliiliii |1B Bl I II I Hit h i of l||h pi lil n1 m f£k- v li i I i 1 J J I il F l M Wi T ihi 'I i II p t,*' i 1 I 'P HI f II 111 11 I |i; J i 1) 1 Les ©©efficients Cooperatieven Onze A propos du constat de remploi 1920 et fr. I llj I Demission hum 5.5oo 5oo 0 /I M I Mill de bati principal, construite an Menuiserie et charpente Magonnerie a 140 fr. Terrassement Toiture Égoux, conduites diverses Zinc, plomb, pompes Plafonnage Carrelage Eclairage Verre et glacés de vitrines Pierre bleue, cheminées Peinture, tapisserie et divers het WÜ zullen rissen Wederom ^Unnen aanroepen, hunne naarstigheid lnen ie,ver van 1921 te hernemen. II est souvent question des coefficients aux quels certains entrepreneurs acceptent leurs entreprises, et il a étc quelqi efois question de coefficients 4,25 et 4,30, chiffres auxquels il me semble il n’y a pas possibility d’aboutir a moins que le chiffre devaluation 1914 soit force, c’est a dire revaluation étant faite a un prix plus élevé que la valeur réelle 1914. II est peut être intéressant a ce sujet de rechercher le coefficient actuel de la construc tion, au prix actueïlement en vogue, c’est a dire en prenant comme base magonnerie de i3o a 135 fr. au m. cube, charpente 400 fr. le m. cube, portes et lênêtres 70 fr. le m. carré. Ces prix étant les prix moyens auxquels les travaux sont actueïlement exécutés pour autant qu’il s’agit de maisons de commerce ou particulières 3 étages (sans luxe bien entendu). Les chiffres ci bas spnt établis pour con structions linies de 1920 a 1922 lorsque la magonnerie était au coëfficiënt 6 1/2 a 7, la charpente au coëfficiënt 5 1 '2 et la menuiserie au coëfficiënt 6. Afin de facilitér les compa- raisons le calcul est établi sur une base de 100.öoo de bati 1) Maison d’une superficie de 78 m. carrés de bati principal ayant couté 100.000 fr. con struction ccmmencée 'en octobre achevée en avril 1921. Menuiserie et charpente Vitres, glacés et peinture Installation éclairage Zinc, plomb Toiture Magonnerie a 140 fr. Pavements Fers, ancres Pierre de taille, pierre blanche, cheminées Plafonnagë Égoux, terrassements et divers Total fr. III Fill I 1:11 IÉ F i I 'ffllllliw li ft <1 Ce qui revient a :‘ïoö.öoo 78 1282 fr. au metre carré. Cette construction se rapportant a un im- meuble a évaluer a 200 fr. au m. carré valeur 1914, ces travaux exécutés au moment que tous les matériaux avaient atteint un prix sensiblement élevé, magonnerie coëfficiënt 7, charpente a 575 fr. coëfficiënt 7, menuiserie 80 coëfficiënt 6, le coëfficiënt auquel ces travaux ont été exécutés en 1920-1921 est done 1282 au m. carré prix actuel 200 prix 1914 6,41. |L’i;icrc ■leluvelt ■Ijk ■jol|ebeke ■Kog,ede ILnie1 ILjen,:lllk ■Eorslede llordschote ||stnieliwkerke ILschendaele Kelcapel>e Lperinghe LnS116 Lden Lertinghe prikten tervik Lstroozebeke /ytschaete per jonnebeke II en résulte done qu’il n’est nullement exagéré d’accorder le coëfficiënt 5,50 pour autant que l’évaluation 1914 ait été bien faite et pour tout travail execute dans de bonnes conditions le sinistré arrive a obtenir moyen- nant quelque supplément, a peu pres la con struction qu’il avait en 1914. Il ne peut done, en aucune fagon, etre ques tion de rogner sur le coefficient. Déja les résultats se font sentir du retard apporté a constater le remploi des avancés faites, et de la non délivrancé des titres a la suite des certificats de remploi délivrés. Les sinistrés perdent ConfianCe en l’État et retardent les travaux en cours, ou.bien craig- nent d’en entamer d’autres. En effet, quelle est la situation du sinistré a qui les sommes ne sont pas régulièrement payées Celui-ci se trouve dans 1’obligation d’utiliser son pro- pre argent et d’en perdre ainsi les intéréts, ou d’emprunter. en banque les sommes néces saires, ce a un.intérêt bien supérieur a celui qu’éventuellement il pourra toucher. En admettant doncqu’au 1Janvierle sinistré ait dépensé sa première tranche, et .qu’après il soit prouvé qu’a cette date l’argent avait été régulièrement dépensé, l’intérêt sur la tranche suivante, ne comptant qu’a partir du jour du constat de remploi quoique le retard de délivraison de certificat ne soit pas imputable au sinistré, sera perdu, d’ou création de diver ses catégories de sinistrés les favorisés et les non favorisés. II est done prudent de 'ne pas continuer les travaux, d’oü préjudice causé, et retard dans la construction. Est-ce la activer le retour au foyer des malheureux qui attendent impatiemment leur réinstallation En outre, quelle est la situation dü sinistré qui, ayant contrat a vee son entrepreneur, doit régler les travaux au fur et a mesure de leur avancement. Après le remploi de la première tranche, vu le retard mis a délivrer le constat et a faire suivre le règlement de la speonde tranche, le sinistré qui n’a pas les moyens de faire face a ses paiements finira par interrómpre les travaux, et il s’en suivra des pertes sérieu- ses par suite des dégats occasionnés a la con struction, surtout au cas oü a la mauvaise saison le batiment n’est pas couvert. Lesinistré n’aura aucun recours contre l’entrepreneur, et pour tous les dégats il sera reSponsable et payera de sa poche. Les certificats de remploi des premières tranches devraient se délivrer sur simple re mise de quittances des entrepreneurs et une fois la construction terminée l’État aurait tout loisir de vérifier a son aise et de voir de quelle facon le sinistré a fait usage de l’argent s’il ne s’est pas conformé aux stipulations de son jugement, l’État aurait recours contre le sinistré. Comme garantie, l’État n’aurait-il pas tou- jours l’immeuble reconstruit Mais, cela serait trop simple il faut occu- per quelques employés a entraver cette bonne marche, et puis... il faut que les fromages de guerre durent longtemps. L’État n’y perd que sa réputation de bon payeur, le sinistré son temps et son argent, mais on occupe les fonctionnaires grassement payés pour un travail a refaire une fois les travaux terminés. Des économies, Monsieur le Ministre Theu- nis, des économies. Ne serait-ce pas l’bccasion d’en faire au lieu de créer impöt sur impöt. La démission de M. Claus Eugène, huissier prés le Tribunal de ie Instance d’Ypres, de residence a Hooglede, est acceptée. M. Claus est autorisé a porter le titre honorifique de ses fonctions. (Extrait du Moniteur du 7 Septembre 1922. |nlission a [’exposition est d’un C 41e des congressistes du matin .olnble aussi pour l’entrée de l\ ja séance de l’après-midi sera 1 heures, pour entendre le concert inusique du Cercle Catholique Le President, BUTAYE, avocat, Ypres. werkingen der maand Oogst. I Die getallen beliepen einde Juli op 269 mil- iioen 767.840 fr. uitbetalingen, 280.217.192 fr. foegekende kredieten en i5.g3i openstaande rekeningen. De werkingen van Oogst zijn even flauw als 'die van Juli. In plaats van een millioen daags, zooals wij mochten verhopen te ontvangen, indien de Minister M. Van de Vyvere zou hebben volherd in zijn eerste bereidwilligheid ten opzichte der geteisterden, krijgen wij maar «derde van een millioen daags. Vooraleer wj uitbetaald zijn zal het dus drie maal [langer duren dan het voorzien was. En wij 'voorzagen reeds tien ja ar. Eenige maanden geleden, in eene groote plechtigheid, sprekende aan een groot getal geteisterden, verklaarde M. Van de Vyvere dat hij wilde dat de rekeningen der geteister den zouden gesloten worden in geheel weinig tijd, in drie of vier jaren niet meer, en dat hij daartoe de noodige maatregels nam. Dat zijn de woorden en de beloften. De door hem genomen maatregels hadden integendeel voor doel die vereffening kolos saal te vertragen en de verzwakking van geheel het bestaande organismus bij te brengen, door het meer en meer aangroeien van zijn minis terieel vertrouwen in nieuwe mannen die, wel is waar, met veel ingebeeldheid bezield zijn, maar die niet de minste praktische kennis van de zaak bezitten. Er gaat meer geld in de jaarwedden van meer en meer bedienden, terwijl de geteisterden drie maal min ontvan gen en drie maal langer zullen moeten wachten. Dat zijn de daden en de wezenlijkheid. Zulke bestatiging moet ons nochtans niet ontmoedigen. De heerschappen, die de geteis terden verdrukken en benadeeligën in plaats van ze te helpen, zullen misschien niet lang aan hun schutteltje blijven lekken de minis ter zal eindigen met klaar te zien in onzen toestand, en de ministers zelf blijven niet altijd geheel lang aan het bestuur. Intusschentijd blijven de coöperatieven be staan, belemmerd, ja, in hunne werkingen, maar altijd even veel diensten bewijzend als maar zijn kan, en gereed, met den dag dat 1 van de hedendaagsche fonctionna- a la prussienne verlost zijn en de toepassing der belgische wetten en Er* |’pe Akth 2) Maison d’une superficie de 85 m. carrés début de 1921. fr. 26.000 38.5oo Cette construction se rapportant a un immeuble pouvant être évalué a 190 fr. le m. carré en 1914 le coëfficiënt est done de n5o 190 6,05. Suivant ces prix appliqués en 1921, vu le coüt actuel de'la magonnerie i3o a i35 fr., le coëfficiënt pour 1922 peut done être légèrement inférieur et on arrive a 5,75 environ, toutefois vu la nouvelle tendance au renchérissement du bois, augmentation de la main d’ceuvre, il est done tout naturel qué le coëfficiënt se relè- vera suivant les augmentations accordées et a accorder par la suite, et vu [’augmentation probable du prix de certains matériaux. till’ I r 1 lil r u IMIHITTIMI Getal vragen 448 162 297 299 167 277 624 483 430 940 127 476 584 297 1054 84 711 174 1323 1950 415 482 4272 436 16.512 24.OOO 2.000 2.000 36.000 4.000 5.000 Uitbetalingen 6.384.180 1.707.487 5.099.757 20 3.597.500 1.726.568 50 3.059.250 11.920.951,20 6.963.881 8.467.544,50 20.340.549 1.486.000 7.077.395 10.216.006,50 4.336.800 10.541.793 961.000 16.338.600 2.601.650,50 26.963.050 36.378.130 40 5.783.540 5.994.908 50 76.249.537,00 6.839.738 50 11 I 1 10.000 6.000 5.000 100.000 Totaal Toegestane Kredieten 6.551.636 1.729.475 5.193.624.45 3.640.470 1.753.288,50 3.131.050 12.131.765,20 7.113.833,50 8.798.817 20.690.371 50 1.486.000 7.208.820 10.504.357,03 4.748.807,50 10.952.363,25 961.000 16.600.600 2.644.236 28.765.540 38.072.818 40 5.855.690 6.285.925 79.579.070,40 •7.067.800 2917467.359,63 281.035 818,10 2.000 i.5oo 1.000 3.000 7.000 6,000 1.000 3.000 4.000 5.000 Total fr. 98.000 Soit 98.000 85 m. carré n5o fr. au m. carré. Ijé'

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1922 | | pagina 3