0
Groote TOMBOLA
HET BINNENHUIS
te
j
'lb
if)'
r
Déclarations-Passavant
IH
1
i B
I'
L
II
I
CommunaSes
i
j
STAD
YPER
15
12
au bureau de ce journal
24
25
29
31
Le same-
préste
Je
ten'
rités
glle eut
setits,
Le
<ni
iv
iU
Gouden damesuurwerk, Za-
V terdag namiddag te Yper,
van de Statiestraat naar de Vande Peereboom-
plaats. Terugbrengen tegen belooning, bureel van
’t blad. 1
een bekwamen meester-
O0 VFiiOfyO knecht goed O'p de hoogte
om de leiding 'te nemen eener mekanieke
schrijnwerkerij. Goede getuigschriften ver-
eischt, en goed loon. Zich wenden bij Hector
SCHMIDT, Bruggestraat, POPERINGHE.
tants fit même observer qu’il semblait résulter
d’une toute récente circulaire que les com
munes ne pourraient plus établir de taxes
locales sur des objets particuliers tant qu’elles
n’auraient pas d’abord atteint la limite des 40
o additionnels. Cette remarque judicieuse
mit fin au débat et il lut décidé d’éclaircir
d’abord ce point;
En tout cas, comme il serait bon qu’une
délégation composée des plus compétents
aille au ministère discuter cette question des
finances communales dans 1’arrondissement
dévasté, il fut décidé que cette délégation se
compose ait de deux bourgmestres et de deux
secrétaires, et que M. Vandromme se charge-
rait de la recruter.
(Bizarre c’est partout la même chose chez
nous Chacun recommit qu’une chose doit
être faite. mais, par fausse modestie, trouve
que le voisin devrait s’en charger. Cue ne
sommes nous dans ces arrondissements oü on
se bat pour p< uvoir se dévouer
Cette délégation se rendra a Bruxelles le
plus vite possible.
La séance fut levée a 4 1/2 heures. La meil-
leure cordialité n’avait cessé de règner pendant
toute la discussion, ainsi que le souci de
rechercher une repartition équitable des
impóts.
De fréquentes réunions de ce genre ren-
draient de grands services a notre région.
Nos communes se débattent toutes dans des
difficultés anormales, inouïes dans l’histoire,
et il se conqoit que ceux qui sont a leur tête
aient intèrêt a se consulter et a se concerter.
connaissant un peu la comp-
0 tabilité et ayant bonne ortho-
graphe frangaise et flamande, est demandé pour
maison de commerce d’Ypres. Bons appointements
contre capacités et bonnes references.
ÉcrireaJ. B. M., 21rued’Ypres, Poperinghe.
Naamlooze Vennootschap
Met het inzicht onze geachte klienteel deelachtig
te maken in de winsten onzer Vennootschap heb
ben we beslist ten haren voordeele eene tombola
op te richten
Als men rekening houdt met onze matige prij
zen en deze nieuwe tegemoetkoming moet men
toegeven dat we het onmogelijke doen om onze
talrijke klienten zoo goed en zoo voordeelig mo
gelijk te bedienen.
We zullen dus van af 1 October tot 31 De
cember 1922 aan ieder kooper voor een mini
mumbedrag van 20 fr. een lotje overhandigen
onzer tombola. Ieder aankoop boven de 100 fr.
geeft recht op een tweede lotje ieder aankoop
boven de 200 fr. op een derde, enz...
De aankoopen moeten geschieden in een onzer
huizen te ROESELAJ3E
Ooststraat, 63
Markt, 20.
De trekking der prijzen zal plaats hebben op
ln Januari 1923. Aan ieder kalant die bij den aan
koop zijn adres opgeeft, zal de uitslag worden
medegedeeld.
Er zullen V2«JFTi@ prijzen verlot worden
van eene gezamenlijke waarde van 6.504 fr.
Lijst der prijzen
1 eiken slaapkamer (kompleet)
2 1 clubzetel moquette
3 1 pitchpin buffet
4 1 marmer kunstbeeld
5 1 tapijt chenille-superior
6 1 damenschrijftafel (eik)
1 porte-manteau (eik)
8 Ligzetel Morris
9 1 acajou salontafeltje
1 zetel Morris
1 boekenkas
1 chenille tapijt
13—1 marmer schouwgarnituur
14 1 spiegel
1 leder valies
16—1 etel bruine toile
17' 1 postuur
18—1 schouwgarnituur bronze
19 1 id. blauw
Zitting van dan Gemeenteraad
op Zaterdag 30 September 1922 om 15 u.
DAGORDE
1. Proces-verbaal der zitting van g Sep
tember 1922.
2. Mededeelingen.
3. Gemeentewegènis Aankoop van
grond St Jacob-, Mond- en Studentenstraten.
4. Gemeentewegen!s Verkoop van
grond Pensestraatje.
5. Gemeenteeigendommen Verkoop
van bouwgrond.
6. Aankoop van een vast goedHerbeleg
der Oorlogsschade.
7. Dicke >usch vijver Uitweg voor de
grazingen Krediet.
8. Staats mid telbare School -Rekening
van ’t dienstjaar 1921.
9. Burgerlijke GodshuizenVerkoop van
bouwgrond.
10. Burgerlijke Godshuizen Verkoop
van land.
11. Burgerlijke Godshuizen Verkoop
van bouwgrond.
12. Gemeente taksen Bond der Invalie-
den Vraag om ontslaging.
13. Openbare feestelijkheden - Schrij-
versrechten Krediet.
14. Kermis Brielen-Hoekje Vraag om
toelage.
1
20 1 ingelijste prent
21 1 foyer
1 tafelhoek
1 id.
26 1 ingelijste prent
1 tafeldoek
1 bloemvaas
1 boekenrek
1 bloemvaas
1 boekenrek
1 zilver likeurservies
1 fruitschaal
36 1 koperen spreuk
37 1 koper koolbak
38 1 tafeldoek
1 bloemvaas
40 1 postuur
41 1 chinees tapijt
42 1 boekenrek
43 1 ingelijste prent
44 1 id. id.
45 - 1 id. id.
46 1 bloemvaas
1 bloemstaander eik
48 1 tafeldoek
49 1 postuur
50 1 fruitmandje
waarde
fr. 2.200
425
325
280
258
245
245
210
195
145
120
100
95
95
90
80
80
75
75
75
70
70
65
60
55
50
42
42
40
40
35
35
35
34
33
32
32
30
30
27
26
25
25
25
25
24
23
21
20
Samen 6.504
De prijzen zijn tentoongesteld inonze verkoophuizen
Ji 23 Septembre dernier, sous la
de M. Vandromme, bourgmestre
"\Vestoutre et notre ancien député, s’est
e trés intéressante reunion des auto-
U communales de notre arrondissement,
t lieu a 2 1/2 h., a l’Hótel des Bras-
a Yptes.
Président expose qu’après avoir
tendu l’avis de plusieurs de ses amis, il a
u qu’il serait de l’intérêt général que les
'U munesadoptent toutes autantque possible
^e^nème base en matière de taxes commu-
jjales.
Il a I-
tèl-e de l’intérieur
fait remarquer a M. Cattoir, du Minis-
que nos communes dévas-
peuvent pas étre mises sur la même
que celles de l’intérieur du pays, elles
,-ontmomentanément mortes, et elles ne pour-
ont compter a nouveau que lorsque les
habitations et la culture y seront revenues,
pn ce moment, elles sont encore adoptées,
nais un moment viendra oü elles devront se
snffire a elles-mêmes, et on nous invite du
te déja a commencer a nous créer des res
ources normales. Comment le ferons-nous
y'ousaurons a prélever des impositions, mais
tojrquoi
F 11 serait bon que notre ligne dc conduite
soit uniforme pour ne pas provoquer parmi
les contribuables des comparaisons désavan-
lageuses. M. Cattoir voudrait recevoir de
notre part une délégation pour co.iférer a ce
.sujetce serait trés utile, mais nous dwons
nous entendre sur des propositions. Voila
qjotirquoi, je vous ai réunis. Qu’en pense-t-on?»
Ainsi entamée, la discussion devint fort
anitnée. Environ 70 bourgmestres et secrétai
res étaient présents, et chacun exposa ce qui
se faisait dans sa commune centimes addi-
Lionnels, taxes professionnelles, impót sur le
frevenu, mobilier, vélos, forces motrices,
autos, tout vint naturellement sur le tapis.
Dans une récente reunion des autorités com-
tonales du canton de Messines tenue a
Kenimel, on avait proposé de s’entendre sur
me série d’objets taxables briquetteries,
vdos, moteurs, voitures, coqs de combat,
chiens de diverses catégories, superficies
liities, hectares en culture, etc. etc. La dis
cussion devint bientót une conversation géné
rale dont il était impossible de suivre le fil. Il
ts’agissait en eflet de questions excessivcinent
■conipliquées. La solution du problème con-
Listait a trouver le moyen de plumer la poule
peplus complètement possible sans cependant
lui donner motif de crier... Tache difficile... et
■désagréable pour les autorités communales.
1 Ala longue, de eet échange de vues parti-
p'ulicres, il résulta que tout le monde était
'•d’accord pour reconnaitre quele plus pratique
pt le moins sujet a critique serait dc s’e 1
peniraux centimes additionnels. Une récente
circulaire ministérielle a porté a 40 0 o le
I maximum des centimes additionnels que tou-
ftes les communes pourraient imposer sans
pntorisation spéciale. Ce moyen serait en
"même temps le plus juste, pour autant qu’une
'(‘partition des, impóts puisse être juste. Com-
me le fit remanjuer M. le secrétaire de Crom-
|beke, dans les communes sinistrées et a lop-
h es on ne paie pas encore pleinement les
(■’contributions a l’État comme ailleui s, n y
I''iendra insensiblement au fur et a mesure que
ces communes se relèveront, par conséquent
c Poids des centimes additionnels n’y acca-
I T/1 ?as de suite les habitants.*
I j a’s oü s’arrêterait-on Prendrait-on d’em-
I ee paitout ce maximum de 40 Il ne fallait
r fas y songer. La question resta sans solution
r ^Uant au chifire. Chaque commune agirait sui-
I nt ses possibilités et ses besoins, mais en
b nant ^es centimes additionnels comme
I ap PrinciPale des ressources communales.
II chi U'S(luestion d’imposer les vélos, les
l| 5ns’ etc- I ne nouvelle discussion surgit,
a c°nfuse que la précédente. I n des assis-
7
i
27
'i
39
.1
47
id.
id.
10
11
AU ROYAL
E—
30
32
33
34
35
22 - 1 id.
23 - 1 prent ingelijst
28 1 foyer
1 kruisbeeld
■20
tées ne