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Oorlogsschade -DommagHS de guerre
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Bcnne ceuvre
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Syx Jules
Camille Descamps-Timperman
Verbeke-Braem
C itry Emile
Henri Debeuf-Vancoillie
Robert Nolf-Descamps
Louis Dermez-Deriorme
Isidore Delbeecke-Wyffels
Petrus Buysse-Demman
Dierick Marie
Petrus Masschelein-Debeuf
Henri Mahieu-Wyckaert
Edmond Vanraes-Leleu
Emile Decroix-Schoonaert
Arsène Gobert Ganniere
Alexandre Labbe-Mensis
Jean Godeleeuw-Verre
Léon Decroix-Dumulier
Léon Carton-Ryckebosch
Jérómc Eggermont-Vantomme
Charles Parmentier-Bousse
Arthur Deleure-Lecleir
Désiré Collie-Duthoit
Emile Debacker-Lecluyse
Jules Cartrycke-Devalter
Désiré Abeele-Catry
Gustave Lecluyse-Catteau
4365
533o
63o
6680
4o35
275
f
H’h
Bi
fr. i5.282,50
65y5
5398,33
5401,25
4344,16
5064.16
7765 -
6990
5978,33
10.743,75
3187,5o
7585 -
i5.oio
4184
5309,16
Un porte-monnaie a été perdu il y a plus
d’un an a l’hótel Excelsior a Ypres. Com-
me le propriétaire ne s’est pas fait connaitre,
M. Fischer, a l’expiration du délai légal, a.
remis le contenu, soit 62,5o fr., entre les mains
du Doyen d’Ypres, pour les pauvres et orphe-
lins de la ville, victimes du bombardement.
fr. 2680
7285
460
7+i5 -
1072
110
i575
3365
g65
36n
2274
1725
740
5.455
1418
587
1470
233o
1760
6354
2410
2892
4358
7773
F ip
récupéres il nous fut octroyé des dons impor
tants dus a la générosité britannique et des
cultivateurs Suisses. La repartition vous en
fut confiée et vous eütes le talent de remplir
cette belle mission a l’avantage des plus dés-
hérités. Et Sa Majesté la Reine des Belges ne
vous confiait-elle pas ses superbes volailles
destinées a nos malheureuses populations
II est done permis de me résumer en pro
clamant que les brillants résultats acquis sont
dus a l’unité de commandement confié au chef
v.énéré auquel nous sommes heureux de ren-
dre un hommage des plus mérités. C’est pour-
quoi, Monsieur le Directeur, nous marquons
cette journée par nos sentiments de profonde
reconnaissance.
Et tout d’abord nous nous associons a la
haute marque d’estime que notre Souverain
bien aimé Vous a manifestée a 1’occasion de
votre nomination d’Inspecteur Général et
d’Officier de 1’Ordre de Léopold.
Nos cultivateurs, dont la nombreuse pré-
sence a cette manifestation est le témoignage
du profond attachement, me chargent de vous
oflrir en leur nom un souvenir durable. Vous
voudrez en 1’acceptant vous persuader que
leurs sentiments correspondent aux deux mots
gravés au bas du bronze symboliqueHommage
et Reconnaissance.
Ypres, le 17 Septembre 1922.
In de laatste zitting der Scheidsrechterlijke Commis
sies werd de schade, waarde 1914, als volgt
vastgesteld voor de hiernavermelde geteisterden
Dans la dernière séance des Commissions Arbitrales
la valeur des dommages 1914 a été fixée comme
suit pour les personnes ci-dessous
Gemeente Brielen
DeleersnyderZulma,kloosterzuster fr. 4640
Ville de Comines
Laire Achille
Vanhollebeke Charles
Carrette Richard
Leclercq Auguste
Vandenbussche-Verschaeve
Deleu Jules
Henri Sarrezin-Dillie
Mhemar
Carrette Amand
Verscheuren Louis
Taillieu Charles
Ve H. Braem
Vc Lecluyse-Duthoy
Pannecoucke Victor
Denys Henri
Gemeente Dickebusch
Van Issacker Julia fr. 1100
Verhoest Amand
Charles Nathalie w'
Rosselle Charles
Decroos Jéróme
Louwyck Arthur
Cuvelier Jules
Commune d’Houthem
Lancotte Emmanuel fr. 10.074,16
Lauraine Elmond 54i5
Gemeente Vlamertinghe
Vandevyvere S. we Anseeuw fr. 8285
Herman Remi io.85o
Gemeente Voormezeele
fr. 3235
1910
4120
1740 -
263o
Tahon Julien
Vanhove Alois
Durou Henri
Deleu Emerence we Demey Emile
Barbez Edouard
Verdru Eugéniew' Verhaeghe Henri gi5o
Ville de Wervicq
e Barbez
M. BoerebooM (visiblement ému) «Je
suis profondément touché de la marque de
sympathie que vous venez de me témoigner.
Quand j’ai connu M. Caenepeel sur les bancs
de l’université, jamais je n’ai pensé que les
hasards de la vie nous auraient mis sur le
mème chemin. Aussi ai-je été heureux de le
rencontrer ici dans la région dévastée et de
trouver en lui un collaborateur dévoué pour
la cause des sinistrés.
Je regrette de devoir vous dire que M.
Caenepeel dans sa belle harangue a exagéré.
Les sinistrés aussi ont exagéré en me donnant
ce beau souvenir. J’ai la certitude d’avoir
acquis parmi vous tous des amitiés, et ceci
était pour moi la plus belle récompense.
J’ai eu la chance, si l’on peut s’exprimer
ainsi, d’etre désigné a la tête de ce service.
Les éloges s’adressent toujours a la tête, mais
reviennent de fait,pour une grande part,a celui
qui par suite de maladie est empèché d’hono-
rer par sa presence cette manifestation. Car
je n’ai fait autant que possible que d’exécuter
les ordres de M. le Baron Ruzctte, l’ami du
front, et c’est a lui que revient tout l’hommage
et aussi a vous tous, car vous avez tous fait
votre devoir.
II y en a parmi vous qui ont eu la chance
de se battre et de se dévouer pour la patrie.
Après la guerre nous avons senti qu’il était de
notre devoir de faire quelque chose aussi.
C’est cette conviction qui nous a donné le
courage nécessaire d’entreprendre la tache
grandiose, dont on se plait actuellement d’ad-
mirer les brillants résultats obtenus.
Je suis heureux aussi de pouvoir vous
citer et remercier nos collaborateurs qui m’en-
tournent en ce moment M. Vranken, M.
Casteleyn et M. De Boeckx, Messieurs
les Agronomés de l’Etat, qui sont en tous
temps les conseillers de nos cultivateurs la
Fédération Agricole sous la présidence de
M. Brutsaert nos Services de Répartition
et M. le Bon Reesteen, et les délégués comtnu-
naux, qui sont venus nombreux a ce congrès.
Nous avons tous taché de faire quelque
chose. Pour nous c’est une legon, un premier
jalon de marqué dans le chemin de la restau-
ration. Je voudrais aussi voir se réaliser mon
veeu pour continuer vers le perfect! onnement
de cette oeuvre pour que lecultivateur obtienne
la place qui lui revient.
Vous m’excuserez un peu du décousu de
mon petit discours, car j’ai été surpris par ce
que vous venez de m’ofirir, et ne puis vous en
exprimer que mes plus profonds et plus sincè-
res remerciements, avec l’espoir que cela dure
longtemps encore. (Ti/s dpplaudissements)
fin et qui a donné la mesure de ce que
un esprit hardi et clairvoyant. Par ce
ie économique vous avez atteint votre
triple but hater la restauration de la région
Lprocurer du travail a plus de 3o.ooo ouvriers
nenacé's de chómage et de misère et rendre
possible le retour au pays de la population
■laricole. Vous jugeates sainement de
roppi rmnité du concours de l’initiative privée
- d’oii sortit la restauration par contrats
airricoles système qui fonctionne a la satis
faction des parties en cause le locataire, le
propriétaire et l’État.
Votre bonté de cceur ne pouvait abandon-
ueraleur sort les braves p.onniers de la pre
mière heure ceux qui avaient exécuté des
.iv.is travaux avant l’existence d’aucun orga
nisme officiel. Par vos soins et sous votre
direction des commissions siégèrent dans
toutes les communes du front pour établir
findemnité qui revenait a chacun. Travail
lifficile et délicat qui vous donna beaucoup de
preoccupations mais qui vous procurerait
la grande satisfaction de porter un secours
niniédiat a la Hasse la plus intéressante de
10s populations les braves qui avaient tra-
aillé dans les conditions les plus péhibles.
ette joie vous ne deviez pas l’éprouver
ne malencontreuse intervention en effet en
pit décidé autrement. Qu’il me soit permis
le proclamer bien haul qu’en toute circon-
tance vous étiez malgré vos lourdes charges,
c guide et le protecteur des cultivateurs,
4rmi lesquels les plus humbles et les plus
I’.alhcui eux étaient les mieux écoulés.
L’ccuvre entreprise évoluait et appelait
•ientót la creation de notre centre de moto-
iulture. Institution modeste au début dont
10s concitoyens virent avec uno vive satisfac-
ron se développer les divers services bien-
aisants le labourage des terres nivelécs
isiattagesles repartitions de machines
gricoles des sentences des engrais
s contrats de restauration et de parachève-
icnt.
Le dévcloppement fut tel qu’il fallait bien
■te compléter 1’oeuvre par 1’organisation de
uatre sous-centres. Parler de la motoculture
ostsaluer cordialement celui qui en est le
directeur distingué M. De Boeckx et son
levoué personnel. La reconstitution du chcp-
futencore confiée a vos soins. Votre esprit
Organisation eut bien vite formé la coimnis-
l0n provinciale avec ses neuf commissions
e4‘0nales. Les 3q communes dévastces de la
011e ^ud iurent encore rattachées au centre
e Motoculture d’Ypres devenu le quartier
‘ene-al de nos opérations.
Quil me soit permis de rendre hommage
)ieumem^reS ^enotre commission, et de saluer
ement la mémoire de notre cher et re-
collègue M. René Barbry. Je rcmercie
10 les délégués communaux
s devoués collaborateurs. I cst de mon
lr de signaler tout particulièrement 1’ar-
^<*u ti avail le dévouement sans bornes
réparp' llU' *Ut la.cheville ouvricre de ces
X. gj 10ns J ai nommé notre zélé secretaire
Vach°enS’~'En plus de nombreux chevaux
cs moutons chèvres et volailles
^^ainsi <lu’Linc (luantité appreciable d’ou-
-icoles des centres beiges créés en
tl,S' a’' et des exploitations agricoles mili-
pj-ance
ta'ieS'niême temps vous faisiez ramener a leur
^d’origine les épaves de la race rouge des
P'1!5, jetces ca et la par les évènements
.aS en France et dans le pays envahi.
*il P'irdes pourparlers intelligents les stocks
atériaux des armées passèrent aux civils,
's’en servaient utilement pour reconstruire
Tc premières habitations.
Vos croisières multiples et difficiles par
a rt;.,ion du front eurent pour résultat 1’appli-
atioa d’un système idéal pour refaire les
^outèset les cours d’eau.
En mêine temps lut mis en marche 1’entre-
rjse gjgantesque du nivellement par blocs
-vstème pratique entre tc us qui fut mené a
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