1 II I BH iMi 411 I JHI. 'I ilè lal II I i e. f|BT YPERSCHE LA RÉG1ON D’YPRES Bijvoegsel Supplément i I Bijvoegsel ia HBConstitiition fles Regions Libérées du Nord de la France. 11 A ik0,;, p, F 5 a 5o» l o. Déclarations-Passavant ‘Ir ij wil proportion Je gt Le roulage a Ypres i Aox Ami^ésFran^aises Een gemist Tombola in ’t Cirkus Hendriko te Yper 'Ml 'i I au bureau de ce journal Wil lil li lil KB' Jeudi soir, le 12 octobre, les Amitiés Fran- caises d’Ypres ont inauguré leur saison d’hiver, dansla grande salie de l’Excelsior. Le docteur. Clément Philippe, de Bruxelles, président des Amitiés Francaises de Belgique, est venu exposer les origines et le but essentiellement patriotique de ces associations qui, en respec- tant et en encourageant les aspirations Hainan- des chez nous, téndent surtout a maintenir l’unité beige, et a garantir a nos populations l’immense bienfait de la connaissance de la langue francaise. La parole vibrante et facile du conférencier a charmé les auditeurs, accourus fort nombreux et qui ont fait une chaude ovation au Président Philippe. La belle section symphonique de l’Ypriana, toujours prête a répondre a l’appel des socié- tés Yproises, a rehaussé l’agrément de cette soirée, et, comme il s’agissait d’une inaugura tion, une sauterie intime dans les splendides locaux du restaurant de l’Excelsior est venue clóturer cette première réunion de la saison. Le jeudi 26 courant, M. Rodigat, ancien congolais, viendra donper une conference sur le Congo, illustrée de projections lumineuses. Les membres, ils sont déja plus de q5o y assisteront certainement en grand nombre. 'i j «i 11 I jl laargang. Nr 27 - 21 OCTOBER 1922 3e Année, N° 27 - 21 OCTOBRE 1922 ffltl BI 1); l'oc- ktuéf |ées, rn coml i 6eS’ ravagées et détruites de fond ne ret 6’ au P0>nt que les habitants revenus |jiaisn„ JUva’ent pas l’emplacement de leur 1 ^7 de ]eur champ 0 autres la destruction oscillait de 5o PUr 67 communes les dégats allaient Au total 70.252- immeubles ont été détruits; 17.300 ont éte gravement endom- magés,16.240 ont été partiellement endomma- gés. Dans ces ch'iffres ne sont pas compris les dommages industriels, ni ceux des sociétés houillères. II faut ainsi ajouter 1.780 usines détruites oti rendues inutilisables. L’oeuvre accomplie. Au ier janvier de cette année les travaux terminés ou en cours se ré- partissaient ainsi immeubles d’habitation ou de commerce réparés définitivemènt, 26,512; batiments d’exploitation agricole, 8.y5o im meubles d’habitation détruitset réédifiés com- plètement, 3.3o immeubles d’exploitation agricole reconstruits, 7.5oo en cours de re construction, 7.5oo. Les travaux executes ont coüté 2 milliards 118 millions. Sur ce chiffre, 1 milliard 55i mil lions ont éié.versés auxsinitrés au titre d’avan- ces; 63 millions au titre d’accomptes. Deplus, 488 usines ont été complètement restaurées et 214 partiellement rendues a l’activité. Sur les 72.000 ouvriers qui y étaient employés avant la guerre, 3q.ooo ont retrouvé'leur travail; 17.000 sont occupés a leur reconstruction. Yper, den 18 Oktober 1922. Mijnheer, Gelief het volgende op te nemen in uw geëerd blad, in antwoord op een artikel getee- kend door onzen achtbaren invalied Isaï Gruwez en dragende als titel Een gemist tombola in ’t Cirkus Hendriko te Yper. Ik moet eerst zeggen dat ik zou aangeduid ■gijn in den man met rood aangezicht-en breede schouders, die zou de oorzaak zijn van dat gemist feest ik weet waarlijk niet hoe dat zou mogelijk zijn. Ik ben twee maal en niet vier maal naar het cirkus geweest, den Zaterdag eerste vertoo ning en ik heb wel betaald. Er is dien dag geen sprake geweest van gala vertooning (de zaal was nog niet half vol). ’s Anderdaags, Zondag, was ik rond 8 ure ’s avonds op wandel met een vriend, bij het ill. H Hj i' d’i jllli’l Un récent reglement communal d’Ypres, (nous disons récent paree qu’il n’est vieux que de 4 mois) défend aux autos de faire en ville plus de 10 kilometres a l’heure. Jusqu’ici, M. le Bourgmestre, diefde la police, n’était guère parvenu a faire observer cette mesure. Cette situation a changé du tont au tout les autos qui se risquent a rouler a Ypres, ne font plus que du 4 a l’heure, même celui du Haut Commissaire Royal A qui devons-noUs cette amelioration A notre échevin dés travaux publics, parait- il Parfaitement. II a eu une idéé de génie. Comme on a ouvert pour la. neuvième fois toutes les rues de la ille, il a donné ordre, non plus de repaver les tranchées comblées, mais d’y semer des pavés au petit bonieur. Depuis lors, les ressorts cassés, les chevanx couronnés, les roues voilées, etc. ne se comp- tent plus... et voila comment autos ne font phis du 10 a l’heure a Ypres. Ils ne sauraient plus Un bon point a notre édile. Il devientdonc inutile de mettre des poteaux avertisseurs a l’entrée de la dlle. L’échevin des finances est au septième ciel. De mauvaises langues disent que le college échevinal a pris des actions dans nos divers garages. C’est de la pure calomnie. II n’en est rien. cirkus gekomen, zonder gedacht de vertoo ning bij te wonen. Toen deze vriend mij uit- noodigde, zegde ik, de vertooning van den Zaterdag gezien te hebbenen dat zij wel speel den, maar op zijn aandringen ben ik met hem binnengegaan. Het is deze heer die, vooraleer ik het zag, de twee kaartjes betaald heeft. Binst de entr’acte ben ik een glas bier gaan drinken en heb den heer Directeur ontmoet, die mij zegde dat hij wel 200 personen had moeten weigeren, waarop ik antwoordde Dat is niet wonder, gij speelt goed. Daar op drukte dien heer de goesting uit om als dankbaarheid aan de 'stad Yper eene galaver- tooning te geven ten voordeele van een oorlogs- werk, en hij vroeg mij, waar, hij zich zou moeten wenden. Ik antwoordde dat hij zich eerst en vooral moest richten tot de gemeen- teoverheid en dat men hem daar de noodige inlichtingen zougeven, hetgene hij moet gedaan hebben aangezien hij. de Maandag voormiddag mij ontmoette en zegde, vol erkentelijkheid, dat hij de toelating bekomen had van eenen heer op het stadhuis, die hem gezegd had dat het cirkus eenen dag mocht spelen ten voordeele van het standbeeld der gesneuvelden. Ik had dus het genoegen te denken den Woensdag, met mijne familie te mogen gaan, om opnieuw het mijne bij te brengen voor een oorlogswerk, daar, ik durf het zeggen, ik nog nooit ten achter gebleven ben op eene inschrij- vingslijst of feest, waar ik het mogelijke kon doen om dit feest te doen gelukken datten voor deele was van onze fiere oorlogsverminkten of andere. Ik ben altijd gereed om mij te richten tot den heer Isaï Gruwez, indien hij nog zulks noodig acht om andere nadere inlichtingen te, geven die te lang zijn om hier aan te brengen. Ziedaar heel de toedracht eener zaak waarin men mij ten onrechte wil betichten, misbruik gemaakt te hebben van eene liefdadige inrich ting om mij kosteloos toegang te verleenen tot eene vertooning. Zal mijnheer Isaï Gruwez mij het tegenovergestelde, m'jncr beweringen kunnen bewijzen Wil aanvaarden, geachte heer, de verzeke ring mijner hooge dankbaarheid. Met rood, aangezicht en breede schouders. lendemain de l’armistice, 7.384 usines ]e Rord étaient dévastécs. l’heure actuelle, 4-863 sont en pleine tivité occupant ensemble 420 5go ouvriers, une proportion de gi 0 0 sur l’effectif total HelQU- y\u matin de leur retraite precipitée, les L-niées ennemies laissaient dans les campag- es du NorJ 33r.000 hectares ravagés et Lbourés paries obus. Trois cents hectares a Lne, de la zone rouge, restent a livrer a la Llture. D’après des chiflres officiels, quarante- luatre mille ihaisons détruites sont encore a ■econstruire. C’est a cette tache que le nouveau préfet, j Morain veut particulièrementse consacrer. I.Résoudre la crise du logement, a-t-il éclaré, est un des grands problèmes du jour, r’est de ce cóté que doit se porter notre kort. Le Conseil général l’a si bien compris p’il a mis a la disposition de 1’Office Dépar- bmental des habitations a bon marché une irovision de 40 millions pour construire des laisons ouvricres. C.’est en poursuivant la éalisation de ce programme, en nous atta int spécialement a l’oeuvre de reconstruc- onimmobilière, que nous arriverons a rendre .11 département du Nord sa puissance et sa plendeur d’avant-guerre. La vie reprend ■Voila un bel exemple d’énergie lSur les 4.828 communes que comprend le ■ritoire des regions libérées, la vie munici- ■ea été suspendup dans 3,255 d’entre elles. ■itr janvier 1921, ellc ctait reprise dans I27. 98g ont été adoptees par d’autres'villes I groupements, dans 886 d’entre elles la rclaration d’adoption a été suivie d’effets. Ksecuurs alloués jusqu’au iir janvier 1922 Invent être estimés a 23.577.411 fr. 70. Dans le Pas-de-Calais Lesbilans des devastations.Il faut se souve- h en effet, que dans ces deux arrondisse- lentsd’Arras et de Béthune, 164.000hectares yaient été dévastés. Il ne reste plus guère “jourd’hui que quelques milliers d’hectares hmettre en culture. La zone rouge, primi- ïement fixée ci a 20.000 hectares, est dès 'aintenant réduite a q83 hectares. On peut, |rces chiffres, mesurer l’étendue de 1’effoi t II a été dépensé pour la remise en état du Le cofit de la réfection a atteint 140 ■“'Hions. Les la fin tle 1920 les neuf dizièmes du yvaiï étaient terminés. Au cours de l’année Brn'ère, comme dans les autres départements ■®istrés, tout l’effort s’est porté sur la con duction de barraquements, de maisons provi- lles’ hangars agricoles, d’écuries et de B®ises. Ilfallait donner un abri, fut-il précaire, BUx585 000 habitants que les faits de guerre K^enttouchés. Au Ier juillet de cette année, Lo°° de Ces évacués ou de ces sans-logis ■»aillent r®’nt^S1'é leur village et trouvé du tra- e nombre des communes qui connurent upation ennemie est de 208. 37 communes, s dans la zone de feu, ne furent pas occu- ’.ma’s harent évacuées. 167 d’entre elles p” coinble Cr?tr°wi ”1 Hiü «11 I i 4 RütniU' -v<xvuCC5. iu/ ucuuv ^1-0 ■J a f

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1922 | | pagina 9