Lil P'1 hl A propos du Bureau des Postes d’Ypres Een brief van Sissen I Il hi Et üy L’lnstitution Royale de Messines a Lede 4 le m2 ie kg. pour quelques Prix prix juillet 1922 janvier 1923 7,oo 4,25 3,55 2,18 145,00 1400,00 8/23 7/18 7/9 Ma^onnerie pierres pierres :e p j 1 5,40 3,45 2,78 1,76 135,00 1000,00 1200,00 i5oo,oo 25,00 2.75 io3,oo I eeuwige reklaam zou uitmaken voor hunne automobiels. Zij wilden niets min als de doortocht van Zoetenaaie verrichten per automobiel. Tot nu toe hadden ze geene moeite en geene proba tion gespaard om zoo zeker als mogelijk te zijn van te gelukken. Zij hadden eene soort van automobiels uitgevonden, die zij auto- chenillés noemden. Voor dat zij ze in Zoete naaie rischierden, hadden zij ze geprobeerd met ze door de Sahara, eene groote woestijn in Afrika, te zenden en daar nu deze probatie gelukt scheen, begosten ze confiencie te heb ben. Weldra zouden ze dus zich nu rischieren tot de nog veel moeilijker en gevaarlijken door tocht van de omwentelde straten van Zoetenaaie. De nijverheid keert van langs om meer terug naar Zoetenaaie. Men is nu begonnen met het oprichten van eene groote fabriek van blekken doozen. Deze doozen zijn bestemd om gevuld te worden met de vermaarde straatmooze, die geheel de gemeente bekleis- terd. Een beroemde chimist heeft gevonden dat deze straatmooze al de hoedanigheden bezat van een opperbeste pate dentifrice In zijn laboratorium, had hij ontdekt dat zij uit die voornaamste bestanddeelen bestond zand, peerdekruttels en ciment. Nu, niets overtreft zand als men iets wil kuischen. Als ik een kleinen jongen was, schudde tante Sophie altijd peerdekruttels in de karaf fen die ze, al binnen, wilde doen blinken. Iedereen weet dat er niets ciment overtreft, bij het plombeeren van de ijdele tanden. Aan die pate dentifrice zal men de naam van Clyttodont geven. De menschen die ze zullen gebruiken, zullen terzelvertijd hunne tanden kuischen, ze doen blinken en boven dien, zullen ze nog daarbij gratis geplombeerd zijn. De dentisten zullen allemaal mogen hunne matten oprollen. Maar de zaak is nog niet effen. Zooals dik wijls zijii er stokken in de wielen-. De gemeen teraad, die zooals het gewoonli k het geval is, met gemeenteraden, natuurlijk op de hoogte niet is van wat er in de gdmeente gel e'ird, hadde pcrcies gedecideerd v. n o-c.oo 11; r.kcn te verteeren om de straten te domr kuischen, en suatiegatën gecommandeerd, die h t spoe len van de straten zouden toelaten. Maar de bevolking, die zich straf met de welvaart van de gemeente bekommerd, doet overal petitiën onderteekenen, omdat de- ge meenteraad geen gevolg zoude geven .aan deze noodlottige beslissingen en, of te wel, de overheden aich in het algemeen weinig met. de opinie van hunne medeburgers bekomme ren, hoopt men dat, gezien het groote belang van deze zaak, ei' dit maal voldoening zal gegeven worden aan de openbare meening. Sissen van ’t Hoornwerk. Personne ne contestera que l’encombre- ment des clients aux guichets de la poste de notre ville est quotidien. Personne ne me contredira quand j’affirme que les employés de la poste pauvres eux 1 sont aussi aimables pour le cliënt qui achète un timbre a o,o3 centimes,' que pour celui qui verse cent mille francs a son cornpte- chèques. Mais il y aurait un moyen bien simple de désencombrer en grande partie l’affluence aux guichets. Qu’on place a la poste deux distributeurs automatiques de timbres, et les dites machines pourront certes servir de nombreux clients. On m’objectera peut-ètre que le prix de ces distributeurs est assez conséquent. Soit je ne le contestc pas, mais si l’affluence de la clientèle postale persiste, onsera oblige d’aug- menter le nombre d’employés or le traite- ment d’un employé est mensuel, et les mois vont vite, tandis que le coüt d’un distributeur ne se paie qu’une fois. Un homme de bonne volónté. Monsieur le Rédacteur en Chef de La Region d’Ypres .Voulez-vous bien encore admettre la suite de nos raisonnements relatifs a Notre Institu tion Royale D’abord, pour rectifier une coquille qui denature le sens de la phrase inscrite par les Messinois sur une bande rolle au dernier cor- tège de la Mi-Caréme. On y lisait Nous réclamons le retour de notre Institu tion Royale Réponse Nous restauror.s les sources de revenus de votre Institution Royale mais nous prenons ces revenus et nous les trans- pörtons a Lede. Puisqu’on semble avoir decide de tfansférer définitivement a I.ede l’Institution Royale de Messines, voyons si, d’après la Loi du lomai tfflq on peut faire ce déplacement et si cette loi permet de remplacer un établissement d’in- struction par des fermettes et des maisons ouvrières. Que dit cette loi en son article 16 Le remploi immobilier doit être fait dans la commune, en immeubles ayant la meme affec tation ou une affectation analogue Voila le principe. II est vrai qu’on y trouve au suivant Le Tribunal des Dommages de Guerre peut néanmoins autoriser lu Le remploi dans un autre lieu du terri- toire national. 2° Si les immeubles par nature on par J> destination pour lesquels la reparation est demandée se rattachent a l’exploitation par s le sinistré d’une entreprise industnelle, coni- aierciale ou agricole, la substitution de 1 enti e- prise antérieurement exploitée, d’une entre- Pdse présentant un intéret économique au J> ruoins équivalent. 1 uisqu’il ne s’agit pas ici d’une entreprise '^dustrielle, commerciale ou agricole, mais Un établissement de bienfaisance, en même temPs établissement d’instruction, le Tribunal Dommages de Guerre ne peut pas permettre qu’°n le remplace par des fermettes et des Nisons ouvrières. j nous Messinois, nous ne demandons que Justice. Quc present la Jus tic ’k En kan het niet helpen, maar als er eeni- gen tijd verloopen is zonder dat ik naar Zoetenaaie geweest ben, is het percies alsof- er iets miste aan mijn geluk. ’k Ben er dus nog eens naartoe getrokken. Op het Statieplein stonden er eenige schoone autos en, rond die autos, eene bende chiekge- kleede heeren. Ze schenen er hard aan het discuteeren te zijn. Ik vernam weldra dat het de bestuurders der automobielfabriek Citroen uit Parijs waren, vergezeld van eenige dag bladschrijvers uit de voornaamste steden der wereld. Ze waren daar om ter plaatse de uitvoer baarheid te bestudeeren van het groot ontwerp dat sedert lange gekoesterd was en dat, indien men het tot uitvoer koste brengen, eene 1° De reconstruire d Messin es l’Instituticn Royale détruite par la Guerre. 2 De ne pas faire le remploi en immeubles, ayant une autre destination que l’immeuble détruit. Par conséquent, nous avoirs résolu de met- tre tout en oeuvre pour que eet établissement nous soit rendu, et que les revenus de l’ancienne Abbaye de Messines ne paissent étre détournés del Institution Royale reconstruite a Messines. Qu on nous permette encore de comparer la manière d’agir de notre Gouvernement Natio nal, a celui d’une Impératrice étrahgère lors- qu olie transformaen 1776 l’Abbaye en Etablis sement d’Instruction. Formalités remplies par ordre de l’Impéra- trice Marie-Thérèse. A. Enquête de commodo et ir.commodo, oü lurent entendus 1° les cinq religieuses restantes de l’Abbaye, 2° au nom du Chapitre, deux chanoines attachés a l’Abbaye, 3° les Échevtns de la I ille, qui posèrent leurs conditions, 40 les Marguilliers de l’église paroissiale, 5° les Directeurs de la Table des Pauvres (Bureau de Bienfaisance), 6° le Doyen du Chapitre, Curé de Messines, 7° une Délégation des habitants de Messin es, composée de cinq membres un rentier, un chirurgien, un brasséur, un épicier et le maitre d’éco’e. B. Consentement de l’Évêque d’Ypres. C. Le Décret de Marie-Thérèse et les actes de l’Évêque relatifs a cette transformation furent enregistrés par le Grand Conseil de Malipes. Formalités pour le transfert de notre Insti tution Royale a Lede. i° Probablement ordre. du Ministre de la Justice. 2° La Commission Administrative n’osa sans doute pas résister. 3° Le Tribunal des Dommages de Guerre autorise le remploi d’une forte partie des Dommages de Guerre a Lede. Remarque. Le Conseil Communal et la Popu lation de Messines furent laissés plusieurs mois dans l’ignorance de cette decision, qu’ils ne connurent qu’a la suite des démarches faites par l’Administration Communale pour obtenir la reconstruction de l’établissement a Mes si nes. II est vrai qu’un Établissement de Bienfai sance est administré par une Commission de cinq membres, et qu’un délégué du Ministre de la Justice assiste aux séances comme mem- bre de droit. Mais quand c’est un établissement dont l’histoire se confond avec celle de la vide et de toute une région, et qui donne a la localité sa reputation tout en étant d’un grand intérêt pour la population, il semble bien qu’on eüt dütenircomptedecesconsidérationscapitales. Qu’on fasse done un referendum dans la commune, et qu’on en publie le résultat. F. I. DELEU, Bourgmestre. ]g22 et du 1' janvier 1923, matériaux. Buis de charpente le mètre courant ie le m3 bleues blanches Zinc n° 14 V- M- plonib non travaillé Ciment pris a l’usine par 101. 93,00 Ces chiffres se passent de commentaires. Quel est le but des hauts fonctionnaires du Ministère des Affaires Économiques, qui ordonnent aux commissaires de l’État d’avoir a diminuer les coefficients Faire du zèle Un haut fonctionnaire de Bruxelles peut toujours en faire sans porter préjudice aux sinistrés. Il pourrait par exem- ple travailler une heure ou deux de plus par jour. Cela ferait avancer les affaires. II pourrait aussi a Bruxelles chercher a I aider les sinistrés et empcchèr ses collègues I de faire du tort aux malheureux qui ont tout perdu pendant la guerre dans la Région dévastée. II pourrait enfin apporter tout son zèle a i retirer les dossiers des sinistrés des tiroirs de Fappel provisoire oü ces dossiers dorment aussi longtemps que La Belle au bois dormant. Mais il pourrait aussi aller se faire p ailleurs, et ce ne serait pas ,1a plus mauvaise determination. .11 o 1 10,00 2,00

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Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 3