I ii II- de Dommages de Guerre les tabacs Projet de loi modifiant le régime fiscal sur A I s L’CEuvre de nos Tribunaux Cooperative de 4 4 4 - I i3 io i3 i 22 i3 8 5 i5 I 65 5 3 i5 4 8 68 fr. 465 toege- Rechtspraak I 1104 i5 14 54 14 18 4 49 9 6 7 5 4 38 40 14 i35 49 3ig 5 3o 3 i5 4 13 8 3 4 5 4 5 17 4 54 17 9 9 18 19 4 19 8 5 6 5 19 26 7 30 Total 9 25 5 4 8 4 3 24 56 33 97 42 38 7i 104 70 77 181 32 25 Ju g C5 5 24 27 14 8 24 97 I 14 8 14 l6 s 33 49 8 34 8 g 56 n3 189 37 96 631 146 2703 - I 10 i5 I I l8 I l6 ces renvois étaient justifiés. connaissaient pas encore une 1 beroep herstel voor I - I 3 3 5 32 1 i 9 3o 1 1 I 6 4 28 24 9 68 i3 1 3 i 16 4 Becelaere Bixschote Elverdinghe Hiheluvelt ("Gits Hollebeke Hooglede Kemmel Langemarck Moorslede Noordschote 4)ostnieuwkerke ■Ouckene Passchendaele Boelcapelle Poperinghe Reninghe Staden A lamertinghe. Warnêton AVeivicq AVestroosebeke AVytschaete Ypres ^onnebeke La Chambre a vote d’urgence, dans sa séance du vendredi 2 février, des modifica tions du régime des sucres et, entre autres- aussi, du tabac. Notre Député M. Colaert a fait, a ce sujet des observations que nous reproduisons d’autant plus volontiers qu’elles intéressent au plus haut point la région devastée. Nous, constatons avec satisfaction que 1’honorable membre a vu ses efforts couronnés de succès. M. Colaert. Tout d’abord, je remercie 1 honorable ministre des finances d’avoir bien voulu donner suite a la promesse qu’il nous avait faite au mois de decembre, lors de la discussion du projet de loi relatif au régime douanier, d’examiner la situation de la cul ture du tabac dans notre pays et particulière- ment la situation Lite aux planteurs de tabacs de la region de Wervicq. Je lui avais dit alors, conime du reste il y a deux ans déja, que si on négligeait de prendre des mesures efficaces, la ruine de la culture du tabac était imminente. Aujourd’hui l’exposé des motifs du projet de loi de 1’honorable ministre reconnait que la culture du tabac a rétrogradé considérablement au cours des trois dernières années. Et l’exposé des motifs ajoute La culture nationale du tabac est done compro mise, ce qui alarme une partie trés intéres sante de notre population agricole, et notam- ment celle qui occupe les régions dévastées oü se trouvent d’importants centres de pro duction J’avais dit que dans la région de Wervicq notamment, la culture du tabac n’existait plus ou tout au moins était réduite d’au moins les neul dixièmes. L’honorable ministre reconnait aujourd’hui que la situation est alarmante et qu’il faut y apporter un remède efficace. Le remède avait été indiqué précédemment par l’honorable M. Van Dromme et par moi- même il consistait en une augmentation des droits d’entrée sur le tabac ou en une diminu tion du droit d’accises sur les'tabacs indigè- nes. D’accord, je pense, avec les cultivateurs et planteurs de tabac, nous préférions voir admettre le premier système, c’est-a-dire une augmentation sensible des droits d’entrée sur les tabacs exotiques. Le projet de loi nous donne une satisfac tion partielle, je dois le reconnaitre aussi je suis convaincu que tous ceuxqui s’intéressent, non pas seulement a la culture du tabac, mais a la culture en général, car la culture du tabac est une culture nationale demande- ront comme moi, que la Chambre vote le projet tel qu’il est proposé par l’honorable ministre des finances, en attendant que des mesures plus efficaces soient prises, si le be- soin s’en fait sentir. Les modifications qui sont indiquées dans le projet de loi et auxquelles se réfère le rap port de l’honorable M. de Liedekerke, consis tent notamment en une augmentation trés sensible des droits sur les tabacs a fumer, a macher ou a priser. Cette augmentation, dit l’exposé des motifs et le projet de loi, sera portée de 2.5o a 400 francs par 100 kilos mais, si j’ai bien com- pris l’honorable ministre, lorsqu’il a pris la parole tout a l’heureles droits seraient doublés. M. TheüNIS, ministre des finances. N®n 1 M. Colaert. J’ai done mal compris. Le droit sera porté de 25o a 400 francs M. de Liedekerke. Oui, de 25o a 400. M. Colaert. Probablement que l’éta- blissement de ce droit contribuera sinon au relèvement immédiat de la culture du tabac, tout au moins, je l’espère, a la faire renaitre d’ici quelques années. II y a cependant quelques dispositions qui auraient pu être introduites dans le projet en tenant compte de l’observation qu’a faite l’ho— norable ministre, quand nous avons voté le. 1 29 14 j 4 Beaucoup de Les coopératives ne exactement les tormes a suivre. C’était routine a acquérir, tout simplement. Un grand nombre d’autres renvois de cette epoque n’étaient pas justifiés du tout. Disons le franchem ent, et pour la centième fois Nos 1 ribunaux, nos Commissaires, nos Commis sions arbitrales et nos Coopératives, connais- sent mille foismieux que les bureaux du minis tère a quels chi fires ils doivent fixer les divers dommages d un sinistré. A Bruxelles, on n’en sait rien du tout. Et cependant de la-bas un giand nombre de transactions revenaient non appiouvées, uniquement paree qu’on v pré- tendait que ces chiffres devaient être modifiés. Ce traitement a, comme de juste, découragé beaucoup de nos coopératives. Mais il nous revieut, de source bien sure, que la Commission actuelle des transactions d Bru xelles a adopté une autre ligne de conduite, et qu elle ne renverra plus pour modifications des chiffres des dommages adrnis. Allons, que nos coopératives, qui ont jeté le manche après la cognée, se remettent a la besogne.avec courage! Elies verront leurs efforts désormais couronnés de succès. Au lieu de 2700 sinistrés règlés par elles en 1922, il faut qu’en 1923 il y en ait au moins 6000. Ce ne sera pas difficile si elles veulent s’y mettre. I Cette semaine nous donnons le tableau des Iransactions conclues par l’interinédiaire des Cooperatives, du 1 octobre 1921 au 1 janvier I Ce résultat, avouons le de suite, est loin de Lpondre a notre légitime attente. Les trans actions par coopératives devraient être aussi lionibreuses que les décisions judiciaires Iprononcées pai les Tribunaux, plus notnbreu- Ls meme. Et e’est a ce résultat la que nos Cooperatives doivent tendre. I Nous avons plus de 20 coopératives dans Lotre arrondissement. Leurs sièges sont dis- Léniinés au milieu des populations sinistrées. Incurs administi ateui s connaissent personnel lament la situation de ceux-ci en 1914, et en Lous cas ils sont a même de s’informer trés Lpidement et trés sürement. Rien done ne L’oppoSe en principe a une bien plus grande Lctivité de nos coopératives dans le domaine Lies transactions. Si ce système donnait ce Lu’il doit donner et ce qu’il peut donner, en Ijnoins de trois ans il ne resterait plus de sini's- kfés a indemniser. A quoi done tient cette insuffisance de ren- Mement Tout debut est difficile, et le renvoi non approuve d’un grand nombre de dossiers, dansles premiers temps oü le système était en rigueur, ont découragé beaucoup de coopé- aatives. Ce fut un tort. Transactions par Coopératives 9 I In geval van totaal verlies, mag (maar moet ^iet) de Rechtbank het coëfficiënt 5 verleenen i’oor het herbeleg, indien de mobilaire schade ♦een 1000 franken overtreft. Dikwijls wordt het in dien zin verstaan dat 'u die schade van 1000 frank het linnen, de Deederen, enz. moetenniedegerekend worden. Ben beroep had ingeslagea geweest Hoor H&n Staat tegen een vonnis welk het coëffi- |*ent 5 toegekend had, alhoewel de totale Si;hade ioöo frank overtrof zonder nochtans Bt de mobilaire schade, alleen berekend, de ‘J’oo frank bereikte. Het Hof van beroep van (’ent heeft gevonnist dat men maar rekening "‘ag houden van het verlies in de meubels, Heze genomen in den gewonen zin van stoi- eerend huisraad, en het vonnis bekrachtigc D>t stelt een einde aan een wettelijke be- j'v’sting die dikwijls voor den dag komt in ^ake van arme geteisterden. Beroepshof van Gent, December 1922. Aangezien het vonnis waarvan beroep aan de gedaagden, ten titel van 1- 4 17 2 9 meubels, eene vergoeding van kend heeft Dat tot het'vaststellen der wederbeleg- gingsvergoeding op die meubelen, de eeiste rechter gebruik heeft gemaakt van het coëf- ficient 5 Aangezien de waarde van het verloren mobilier, uitsluitelijk de kleederen, linnen, en andere voorwerpen, het karakter van stoftëerend huisraad niet bezittend, door het vonnis is vastgesteld op fr. 55o, ’t zij fr. 85 voor prachtvoorwerpen en fr. 465 voor meubelen Dat de kwestie of er gebruik mag gemaakt worden van coëfficiënt 5, alleenlijk afhangt van de waarde onder de 1000 fr. van het mobi- lier of stoffeerend huisraad (zie franschen tekst mobilier van art. 19 in fine) Om deze redenen en die niet tegenstrijdig van den eersten rechter Het Hof, gehoord het eensluidend advies van den heer Staatskommissaris de Bie, bekrachtigt het vonnis waarvan beroep Legt de kosten van beroep ten laste van den Staat. 33 2 i 16 i 20 42 i i i 21 II 19 21 -3) I 1 1 11 11 21 10 1 2 2 2 1 1 1 11 2 3 31 10 12 2 132 1 11 10 i3 1 1 12 20 1 12 CM CM o* Z CM CM CM CM CO jü -<U CM CM C5 s rq CM a. CM CM O «5 o CM CM CD -U o cn I CM CM O> y y Q 20 1 1-2 CD 12 i5 1 1 20 CM CM <u E 121 CM CM CS CM - v 21 12 1 1 - 11 - 18 2 2 20 I

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 5