G. I nales Parlementaires i H Dépenses au Elverdtnghestraat Versiering van het Binnenhuis Tapijten Kleuren Kunstschouwem 6i5,ooo,ooo 632,000,000 g33,poo,ooo 932,906,000 1919 1920 1921 1922 I commission sera ces cinq amende- propose un article 5 Jif' M. Beauduin. Mais toutes ces questions ont déja été traitées dans le rapport. Je 11e vois vraimentpas pourquoi un nouveau renvoi est nécessaire. MDeswarte. Je pense que personne n’in- sistera pour qu’on discute immédiatement cette question, et je propose dès lors renvoi a mardi prochain. M. Ie Président. La done saisie a nouveau de ments(A dhésion.) Le gouvernement a (nouveau) ainsi concu Art. 5 (nouveau). Peuvent être réglées par transactions, conformément a 1’article 42 de la loi du 25 avril 1920, modifié par 1’article 2 de la loi du 23 octobre 1921 surles cours et tribunaux des dommages de guerre, quel que soitle montant de la demande i° Les reparations dues, en vertu des lois coordonnées sur les dommages résultant des faits de la guerre, aux provinces, aux commu nes, aux établissements publics ou d’utilité pubfique, ainsi qu’aux entreprises qui exploi- te it une concession sur le domaine public 2° Les reparations a accorder aux vic times civiles de la guerre.» MM. Beauduin et baron Gillès de Pelichy proposent a eet amendement le sous-amende- ment que voici Ajouter a 1’article 5 nouveau un alinéa ainsi conqu Peuvent également être terminées par transaction toutes les reparations dues a des particuliere a concurrence de 100,000 fr., valeur actuelle. Les transactions portant sur une somme dépassant la limite actuelle de 5o,ooo francs, pourront être conchies par les commissaires d’Etat ou par les juges de paix commission- nés comme tels. Elies seront soumises a 1’ap- probation du commissaire principal prés le tribunal des dommages de guerre.» Enfin, M. Nolf, Ernest, sous-amende de son cóté 1’amendsment du gouvernement dans les termes que voici Ajouter in fine a 1’article 5 (nouveau), un alinéa conqu comme suit 3° Les reparations a accorder pour assu rer la restauration agricole des terres soumnses a 1’application de la loi du i5 novembre 191g, modifiée par celle du 8 aoüt 1922. Le gouvernement propose également si article 6 nouveau ainsi concu Art. 6 (nouveau). Lorsque le commis saire de l’Etat, soit d’officè, soit sur 1’ordre du ministre des affaires économiques, se désisted’un appel ou d’un recours en cassation en matière de dommages de guerre, la décla- ration de désistement, notifiée par simple let- tre a la juridiction compétente, dessaisit de plein droit celle-ci en tout état de la procé dure.» M. Ernest Nolf propose de rédiger cet arti cle 6 dans les termes que voici Le commissaire de l’État prés la cour peut se désister de 1’appel d’un jugement dans les trois mois a partir du prononcé de celui-ci. Le sinistré pourra dans le même délai se désister de 1’appel interjeté par lui Le désistement dessaisit de plein droit la juridiction dans les limites de 1’appel qui en fait 1’objet. Le désistement se fera par declaration verbale ou lettre recommandée au gréffe de la cour il en est donné avis dans la hui)aine par lettre recommandée a la partie non appe- lante- SÉNAT Séance dw p Mars (suite) (Voir noire numéro du 10 mars) Van de Vyvere, ministre des affaires omiques. Bans tous les cas, en ce ent, on avance avec une progression uée chaque mois, et ce n’est pas le de ment du personnel qui manquera. mdant le mois de janvier il a été jugé6,6o8 ■es j il y a eu 4,242 transactions conclues [’Office et 4,200 par la Fédération de il y a eu 6,678 jugements pour domma- iux biens. Ce qui fait un total de 21,128 re$ liquidées. C’est un record. le comte de Brouchoven de Bergeyck. ce que ces chiffres comprennent les juge- ts provisoires? Van de i 'yvere, ministre des affaires lOiniques. - Définitifs seulement. nels credits out été votes et quelles dé- ;es ont été faites Credits M. Beauduin, rapporteur. Si, hier, je n’ai pas obtenu grand succès, -'mais j’ai dü con- stater que le premier ministre ne se ralliait pas a la manière de voir de la commission, j ai cependant éprouvé le plaisir d’avoir ame- né le premier ministre a prononcer un dis cours et lui ai donné l’occasion de fournir au Sénat des explications du plus grand intérêt. Quoi qu’il en soit, cette discussion met une iois de plus en évidence que le montant des reparations que nous accordent nos traités et nos conventions est absolument insuffisant a couvrir le coüt de notre restauration, et que la charge e dnotre dette, portée au budget des dépenses recouvrables, est, en fait, par l’insuf- fisance du chiffre des reparations, irrécbu- vtable. 11 en ressort encore que, tót ou tard, il faudra porter les intéréts des emprunts con- tractés pour la reparation au budget ordi naire. J’ai regretté que le premier ministre n’ac- cepte pas au moins un amendement ayant pour but de supprimer un double emploi de 100 m llions environ, erreur reconnue par lui et par son administration aux articles 1, 2 et 8 du budget. Si j’ai bien compris la raison pour laquelle le gouvernement ne peut se rallier a 1’amende- ment que nous voulions déposer, c’est que la discussion du budget pourrait être retardée. Il sera tenu compte, au prochain budget, des observations de la commission. Soit c’est déja quelque chose. La discussion générale est close. Les articles du budget des dépenses recou vrables sont successivement adoptés, avec les amendements du gouvernement et de la com mission. Aux articles 5 et 6 nouveaux proposes par le gouvernement au budget des dépenses recouvrables M. Deswarte. Je voudrais appeler 1’at- tention sur la faqon dont les articles 5 et 6 nouveaux sont proposés par le go ivernement. C’est, encore une fois, la suppression de toute bonne méthode parlementa're que nous constatons, comme nous l’avions déja signalé, dans la discussion du budget de la justice, Le ministre de la justice s’est rendu a nos raisons. Nul d’entre nous n ignore que les questions de procédure ont leur 'importance. Je demande que le Sénat r 'fléchisse d la granite ds la question. En matière ds transaction et de désistement d'ap- psi, et de. pourvoi de cassation, de gros intéréts peuvent être en jeu pour le Trésor Je demande done au ministre de nous lais ser le temps d’étudier ces amendements jus- qu’a mardi, ou a titre subsidiaire, de distraire ces textes pour en faire un projet de loi auto nome. M. Van de Vvvere, ministre des affaires économiques. Du moment que des membres ne sont pas d’accord sur la question de pro cédure, je n’insiste pas. Mais je souligne 1 im portance de ces dispositions pour arriver a une rapide liquidation des dommages de guerre. Deux propositions sont faites. Les articles ayant été déja introduits a propos de la loi budgétaire, y aurait-il obstacle a ce que la discussion fut entreprise immédiatement sans renvoi en commission S’il n’y avait pas opposition, on pourrait disjoindre et peut-être trouver une heure, la semaine prochaine, pour voter un projet de loi nontenant les amendements disjoints. M. Mosselman. Mais cela prendra tout plus une heure en commission M. Speyer.—Et cela abrégera les discussions en séance publique. M. Van de Vyvere, ministre des affaires économiques. Du moment que quelqu’un s’oppose a la procédure indiquée, je m’inchne et je reconnais que la procédure réguliere doit être suivie. M. le président. - Nous renvemons done les amendements a la commission. M. Deswarte. - Elle pourrait statuer d icx mardi. que le >enai voudra bien nous sa confiance, et ne nous refusera :s quelques pouvoirs que nous lui erna» {.Ap.pla.:dtisemenls a droité). En 1921 a 45 millions. En 1922 a 852 millions. ’ensemble des sommes allouées s’élève a illiards 114 millions. /ensemble des dépenses a 2 milliards 36o ions. y a done un reste disponible de 754 mil- si. 'on m’a posé la question de savoir quel le montant des sommes nécessaires a la lidatjon des dommages de guerre. Je pense celui-ci concordera avec la somme récla- pour 1’Allem igne. Van Overbergh. Vous avez fait l’inven- complet des affaires I/. Van de Vyvere, ministre des affaires inomiques. Oui Restent alors les dom- ges aux personnes. II faut faire l’évaluation rentes et faire le décompte des sommes ji pavées et notamment des avancss. Les previsions sont done établies sur des ses conjecturales. L’ événement confirmera-t-il nos prévij )ns? Bien hardi qui le dirait. Mais elles ont faites avec tout !c soin desirable. Les tribunaux sont déchargés »n ce moment une grande quantité d’affaires par suite des issactions, et c’est ainsi que certaines lambres ne sont pas alimentées. Nous espé- )ns que bientót il n’y aura plus qu’une cham- repar tribunal. J’ai institué un service d’inspection qui a onné JeS meilleurs résultats »t un service inspection des remplois qui a permis de éveler des fraudes et qui a déja fait pronon- ■•r de nombreuses déchéances de dioit a «paration. il est résulté de l’organisation plus stricte la surveillance des remplois, des retai ds W on s’est plaint. Je crois toutefois que la triode de ces retards est close. Ee rapporteur a signalé le danger du dou emploi dims les allocations. Nous avons Pris des mesures que je crois completes, pour ^terminer exactement toutes les allocations. No«s constatons trés rarement des doubles '““Plois, encore sont-ils antérieurs a l’institu- Üon du système de controle. Mais je crois fotfvoir dire qu’ils sont réduits au minimum Sememe, le controle des évaluations donne Excellents résultats. J espère que le Sénat c°ntinuer Pas le; ^oas. il'll IIIllil Si 207,000,000 5g3,ooo,ooo 527,800,000 133,496,000 faut ajouter les paiements par la Fédéra- des dommages de guerre, lesquels se sont és

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Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 5