jy ’1' VERBRUIK op de ioo kilometers 250 grammen OLIE Het simrmmste Autnrijtnig der wereld. - Besparing in het verbruik en van onderhond. k 1 (7 1/2 liters NAPHTF Tribunal des Dommages de A M. De Vlieger guerre d’Ypres sigeant d YPRES siégeant d YPRES Ressort Ypres-Ville siégeant a YPRES Assesseurs Souvenirs d’occupation Kat along en proeven gratis op aanvraag. 7e Chambre a 3 J uges M.Vandendaele ie Chambre a 3 Juges M. Butaye 5' Chambre Juge Unique 34. Van Elslande 2e Chambre Juge Unique M. Sibille 3' Chambre Juge Unique M. Courouble un d’etre a 8 heures précises a ie Chambre Deduytschaever Louis, Van Issacker Joseph. 7e Chambre Demyttenaere Robert, Ryckebosch Cyrille. Ressort ancienne 6e Chambre Ypres banlieue (Nord) Ressort Canton de Messines Ressort ancienne 5e Chambre Wervicq et environs Ressort ancienne 7e Chambre Ressort ancienne 4e Chambre I 4' Chambre Juge Unique 6e Chambre Juge Unique M. Matton 8e Chambre Juge Unique M. Moens g' Chambre Juge Unique M. Petit ioe Chambre Juge Unique M. Sobry affaires de moins de 5o.ooo fr. siégeant d YPRES Ressort ancienne 2e Chambre Region Ypres banlieue Ressort ancienne 3' Chambre Poperinghe et environs et a MOORSLEDE pour les communes de siégeant d MESSINES et d YPRES affaires de plus de 5o.ooo fr. valeur 1914 siégeant a YPRES pour les communes de rouge jusqu’au pale cris, les blasphè- affaires de moins de 5o.ooo fr. traitées par les Commissaires de Poperinghe pour Poperinghe et environs siégeant d POPERINGHE affaires de moins de 5o.ooo fr. traitées par les Commissaires d’Hooglede siégeant a ST A DEN affaires de moins de 5o.ooo fr. traitées par les Commissaires de Wervicq a 1’exception de M. Six siégeant a WERVICQ la Kommandantur de X... Inutile de ruser avec les brutes boches A 8 heures précises, je me rendais au rendez vous. Je fus conduit au corps-de-garde oh les formalités d’écrou eurentlieu trés rapidement. Un sous-officier s’empara de ma carte d’iden- tité et ce fut tout. D’autres Beiges étaient assis sur un banc grossier. Je fus invité a m’asseoir a cóté d’eux... Un ordre bref, gut tural, et nous voila partis entre deux soldats boches, bayonnette au canon. Un arrêt devant une porte gardée par un soldat armé d’une bayonnette, la porte s’ouvre 1 Jamais je n’ou- blierai mon entrée dans cet enfer du Dante. Figurez-vous une salie de 6 m. X 6 m., con- tenantune trentaine deprisonniers en commun, gens de tout acabit, depuis l’échappé d’Hoog- A8 lee ar ve r koope rs Vraag aan de eigenaars van een wat zij er van EcSairage public Un groupe d’habitants de la rue de Menin a invité M. de Brouwer a un banquet qu’ils lui offrent pour célébrer la cession a une autre société du contrat d’éclairage électrique de la ville. A notre avis, cet enthousiasme ne se justifie guère. Éïi Nous constatons par la lecture desjournaux que les habitants de la Ruhr manifestent un certain énervement Il y a de quoi, car en sommcon leur rend, mais trés peu la mon- naie de leur piece. J’ai pu, a mes dépens, savourer les beautés de la prison boche. Oblige au travail forcé, bien qu’un diplóme universitaire et la Direction d’un bureau important cussent du m’épargner, je refusal d’obéir d’accord avec quelques amis, dont le courage ne fut pas a la hauteur de leur première décision. Le système du controle avait lieu par le moyen des cartes de travail. Impossible d’échapper. Je lus avisé par feld-gendarm straeten en camisole 1 05 ou de dix-sept ans. Les mes, la joie de voir un bourgeois partager leut soit. J avouerai qu’au premier moment, je me sentais plutöt dépaysé. Je fis contre mauvaise fortune bon cceür et j’allumais un cigare, car il était permis de fumer. il y avait pour couchette pour tout ce monde une seule paillasse dans un tel état de malpropreté que je préférai passer une nuit blanche. Vous déciire cette nuit dans cette pronaiscuité avec un tas de gens, d’une mentalité inouïe et ignorée par un cérébral, est chose impossible. Je vis poindre le jour toujours debout prés de lafenêtre pourpouvoir respirer. Le lendemain matin, on nous servit du pain d’ordonnance et un café potable. II est assèz curieux de s analj ser et d analyser ses compagnons d’infortune. Le temps était superbe, c’était le 21 juillet, jout de fête nationale. On voyait de loin les groupes de promeneurs heureux et l’on sen- tait le poids de la réclusion. Petit a petit le. moral était atteint et les réfractaires au tra vail se sentaient amenés peu a peu a passer par les exigences de l’occupant pour recon- quérir le peu de liberté que le boche nous laissait. Surcesentrefaites, nous avions trouvé a communiquer avec nos families qui obte- naient de nous ravitaillèr. Nous entendions filtrer des nouvelles peu rassurantes, ceux qui n’obéiraient pas seraient envoyés a Mau- beuge ou a Sedan, et la journée nous parais- sait interminable. Le soir vint. Notre salie se remplissait. Nous avions la quantité et la qualité Je me rappellerai toujours cette nuit. Elle me faisait songer a la plaine qui pleure'dans l’Aiglon. Mais ce n’était que jurons, blasphemes et conversations ordurières, chansons, cris, un véritable enfer. Au milieu de la nuit, après une espèce de bagarre, nous obtinmes, nous le-s plus civili ses, d’être transférés dans une celluie et la-bas, les membres brisés, nous pümes dor- mir a l’abri des fauves avec leequels nous avions été parqués. Après quarante-quatre heures de détention, la porte de la celluie que je partageais avec un compagnon d’inlortune, s’ouvrait. I*n boche chauve comme une bille de billard, meremet- tait ma pièce d’identité et je pouvais quitter, sans aucune explication, ma. prison. Serrer la main de mes compagnons de gcólc, leur pro- mettre d’aller donner de leurs nouvelles a leurs families, et me voila parti. Mais phénomène curieux, après ces quarante quatre heures deprisonbochej’étais tellcment abruti, que je ne pouvais pas placer dix mots sans jurer et le plus curieux c’est que- je ne m’en apercevais pas... On ne peut que gagner en bonne compagnie... La morale de ceci, c’est que dans la Ruhr, le bon système consiste a employer les métho des boches arrètez-donc ceux qui sabottent, au bout de quelques jours ils seront matés 1 Et surtout, comme ils font de leur ventre leur dieu, faites les jeüner au pain et a l’eau. DUÜN Gie (HH. Quinet et Wolley), Meenen poort, YPER CITROËN-AUTO denken. Chambres Ypres, A lamertinghe, Poperinghe, Dickebusch, Zillebeke, Zantvoorde, Hollebeke, Voormezeele, Westoutre’ Reninghelst, Locre, Dranoutre, Kem- mel, Wytschaete, Messines, Hou- them, Confines, Wervicq, Bas-War- nêton, Warnêton, Ploegsteert, Wul- verghem, Neuve-Église. Stjean, Boesinghe, Brielen, Woes- ten, Oostvleteren, Reninghe, Bix- schote, Noordschote, Zuydschote, Langemarck, Poelcapelle, Becelaere, Zonnebeke, Gheluvelt, Gheluwe, Elverdinghe. Staden, West-Roosebeke, Hoog lede, Beveren, Gits, Ouckene, Oost- nieuwkerke, Moorslede Passchen- daele. Dorénavant les affaires s du Tribunal, conformément nu regl^générale’ ^parties entre les differences Chambres cmem au tableau ci-dessous. Ressort des différentes affaires de plus de 5o.ooofr. valeur 5914 siégeant d YPRES Ressort Ï.W S335 -'•■■VI. I 4 ft

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Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 3