MUZIEKHUIS Daniël Werrebrouck=Fiers Goede Meid Zondagrust - Repos dominical Zondag 15 April is de Apotheek van M. W ECKESSER. Dixmudestraat ALLEEN OPEN. HOOGER OP Uit ter hand te koopen A vendre de Ia main a Ia main «estandardiseerd Schrijnwerk loopend gebruik, deuren en vensters, te be komen en na te zien ter stapelplaats van den Dienst der Verwoeste Gewesten, Steenweg van Meenen te WERVIK. Beschrijvingslijst, prijzen en leveringsvoorwaarden te vragen Ministerie van Economische Zaken, Dienst der Verwoeste Gewesten, Bouwdienst, 1, Montoyer- straat te BRUSSEL. r jaarlijksche Meikermis Ledige fiesschen T Apotheken pharmacies Ypriana - Symphonic Tennis YPER STAD Handelswijk KRUISSTRAAT Stad Poperinghe Volksgenegenheid voor hare gesneuvelden ne nom- Voor uwe aankoopen van allerhande Muziek- ^artikelen, begeef U bij den Muziekliefhebber iSjdeiijk: Hondstraat, 10 YPER betaald. - -- --- Schoon en zeer gerieflijk HUIS, Sur- montstraat te YPER, dienende voor beenhouwerij of ander winkel. Onmiddellijke ingenottreding. Zich wenden bureel van 't blad op letters G. F. Het kantoor van den deurwaarder COIGNE te Wervik is gevestigd te Statieplaats, in het hotel gehouden door M. Jeróme Lecomte. Dimanche 15 Avril la Pharmacie de M. WECKESSERvrue de Dixmude RESTE SEULE OUVERTE. Aankomst eener schoone keus Spreekma- chienen alsmede een groot aantal platen.. Men doet alle mogelijke reparatiën. STAD WERVIK Un cercle de tennis est en voie de forma tion a Ypres il sera définitivement constitué «dans une réunion lui sera convoquée dans les ■premiers jours. Les personnes désirant rece- voir une convocation sont priées de s’inscrire -chez M"e Vandarghote, Chaussée de Zon- nebeke. op Zondag 6, Maandag 7 en Donderdag 10 Mei. Velokoersen, schieting en allerhande volksspelen. (Zie plakbrieven). Burgerlijke stand van 7 tot 13 April 1923 AVIS - BERICHT L’étude de l’huissier GOIGNE a Wervicq est établie a Wervicq, Place de la Gare, Hotel Restaurant de la Gare, tenu par M. Jéröme Lecomte. MAISON MODERNE trés confortable, située rue Surmont a Ypres, pouvant servir pour boucherie ou tout autre commerce. Entrée en jouis- sance immédiate. Pour tous renseignements s’adresser au bureau du journal aux lettres G. F. Aankoop van Champagne-, Bier-, Water-, Wijn en Limonadeflesschen aan de hoogste prijzen bij Cyrille Hosdey, Villa Roger, Casselstraat te Poperinghe. Binnen kort opvoering te YPER van Kluchtig zangspel in 3 bedrijven, met begelei ding van symphonisch orkest. Tekst van Em. Serroen, muziek van Albert Lietaert. Het verslag van het concert van Zondag 1.1. moeten wij uit plaastgebrek verschuiven lot te naaste week,. un doux utopiste, a trouvé la formule d’un explosif si meurtrier, que par un excès de pacifisme sentimental il n’en divulguera jamais le secret. Son père sachant la guerre proche et au courant de l’invention de son fils, veut que son pays en bénéficie. Le fils hésite sur le devoir. Le choc des volontés et des senti ments opposés désagrègent cette familie jus- qu’au tréfond des ames et portent le drame et la lutte au paroxysme. Enfin la Patrie est en danger, la mort de ses frères a l’ennemi, la douleur maternelle criant vengeance, guéris- sent Pierre de son illusion, le rendent au devoir et a la défense de la terre patrie. Le premier acte nous transporte a Paris, chez le Colonel Eulin. La seconde scène, se passe chez le lieutenant Eulin, dans ses cham- bre d’étude et laboratoire a Vincennes, oü le père s’est introduit nuitamment, pour s'empa- rer du secret, et le remettre en mains propres du ministre de la Guerre, auquel il avait donné rendez-vous en ce lieu. Impossible de décrire ces deux scènes, sans en diminuer involontairement la valeur talentueuse des artistes, et l’incomparable enracinement du plus pur, et du plus noble sentiment de patriotisme. Maintes fois les acteurs furent arrêtés par d’interminables applaudissements. La foule se sentait emportée... des dames pleuraient dans les quatre coins de lasalle archicomble... les hommes fermèrent les yeux... pour ne pas y laisser apparaitre une larme... D’un autre cóté, d’anciens combattants avaient difficile a se retenir... ils se sentaient entrainés... comme s’ils se trouvaient devant une réalité... dans leurs veines encore meurtries dufléau d’hier... chauffait le même sang pur et noble... que le grand écrivain a si adroitement pu injecter dans la personne du Colonel Eulin, qui inter- prêta son role, d’une faqon totalement irré- prochable. Les autres acteurs, chacun dans leur róle respectif, ont remporté le plus bril- lant succès. Bonsoir Voisinopéra comique en un acte de Brunswick et de Beauplan musique de F. Poise... pour compenser les larmes de tantót, sema la joie dans l’auditoire... lequel ne cessa d’applaudir Chariot et Loui- sette. C’est vous dire, pour être trés bref... que ce fut une soirée sans pareille pour Wervicq... Quiconque a assisté a cette belle fête, en gardera un impérissable souvenir... et tous ceux qui ont manqué... le regretteront amè- rement. A 8 1/2 heures la foule se retira... rayon- nante... exprimant le vceu ardent d’encore pouvoir admirer pareille soirée... aussi je souhaite de tout cceur... que cette fois... ce soit une de nos sections dramatiques locales qui tentera l’effort de donner pour ceux qui n’ont pu assister a« cette fète le même programme Servir et Bonsoir Voisin. La recette nette ne sera jamais inférieure a un beau billet de mille francs somme que les organisateurs verserontau profit du memo rial, qui doit s’achever pour le 7 mai prochain. Dans un prochain numéro je pourrai communiquer le cumul des sommes récupé- rées, Au Chapitre (local) des sociétés i° Een dracht maakt macht 2° La grande Har monie et le Cercle Choral La Renaissance» par les susdits groupes, ayant largement collaborés a l’érection du monument. Dimanche une dernière société donnera sa representation. Nous en ferons part aux fidèles lecteurs. Pour l’instant avant de déposer mon stylo... il ne me reste plus qu’a adresser au nom des glorieux morts un bien cordial merci aux organisateurs et a la section de Courtr-ai, laquelle arejoint sa ville, contente et heureuse de l-’éblouissant succès obtenu chez nous. (s.) P. de Bonsang. -1 gevraagd van 3o tot 40 jaar. Wel Adres ten bureele van dit blad. (Vervolg) Jamais la salie du Chapitre, anciennement Ila maison des chanoines plus tard devenue un «Orphelinat» et actuellement salie de spec tacles Cinema-Brasserie» et théatre, eonnut assistance plus brillante, plus breuse aussi, que celle accourue dimanche dernier, 8 avril. Mais qus peut-il bien se passer dans l’en- ceinte de ses vieux murs, pour que toutes les personnes notables de la ville, la bourgeoisie, - et grand nombre de villageois de notre loca- lité steur (Werviq-France), se dirigent en groupes compacts, vers de papschool Worden er pap borden uitgedeeld riep een straatjongen, tot de menigte maar ’k had hem te knippen. ’t Is voor te lachen zegde hij mij bevreesd, denkende dat ik hem een oorveeg zou gegeven hebben. Als ik hem losliet, nam hij spoedig het hazen pad... la clef des champs comme, disent nos bons voisins. Mais en réalité, que se passait-il, ou que devait il y avoir lieu Suivant l’exemple de -tant d’autres sociétés locales, la grande Har monie et le cercle choral La Renaissance organisaient ce jour une soirée dramatique et musicale, au profit du monument pour nos soldats tombés au champ d’honneur, victimes du devoir pour la Patrie, fauchés par les hor des teutonnes. A cette occasion, la section dramatique et lyrique Comedia de la jeune garde catholique de Courtrai, avait bien voulu prêter son bienveillant et gracieux concours. Voyons le programme. Une vibrante Brabanconne suivie de ■<La Muette dp Portici» par 1 orchesti esympho nique, sous l’habile direction de M. A. Ver meulen de Courtrai, marqua 1 ouveituie. IServir comedie dramatique en 2 actes de M. H. Layedan de l’académie franqaise. Le drame de Lavedan «Servir» s’appa- rente par la similitude du fond a Horace la magistrale tragédie de Corneille, ces deux chef-d’ceuvres magnifient le même sentiment, éternellement humain le Patriotisme. Résumé. Dans la période d’avant guerre, le colonel Eulin, victime des fiches est mis a la retraite d’office. Son plus jeune fils Pierre, Geboorten Bulckaert Jeanne Clabau Maria Boer- have Paula Bossaert Martha Vandevoorde Roger Blanckaert René. Overlijdens Feys Frederic, 82 j., z. b. weduwaar van Octavie Van Calis, Sectie I. Maerten Henri, 68 j., landge bruiken echtg. van Sophie Carpentier, Sectie K. Maes Jean, 8 m. zoon van Hector en Simonne Rommens, Yperstr. Deschodt Regina, huishoudster, echtg. van Charles Bouten, Casselstraat. Capoen Ida, 85 j., z. t>. weduwe v. Marti- nus Ooghe, Sectie L. Huwelijken Bourgeois Joseph, smid en Dewachter Alice z. b. Bossaert Maurice, bakker en Neuville Celestine, naaister Segers Engel, z. b. en Verhaeghe Maria, z. b. Verhaeghe Arthur, handelaar en Bustraen Germaine z. b. Onraedt Alphonse, werkman en Dejaegher Sarah z. b. Deroo Germain, werkman en Clabau Maria z. b. De- weerdt Jeróme, landbouwer en Rosseel Adrienne, land bouwster. Huwelijksbeloften Delputte Gerard, bankbestuurder en Vantilborg Stephanie z. b. Develder Gustave, treinwach ter en De Byser Agnes z. b, Boeraeve Marcel, landbouwer enLermyte Madeleine, landb. De Cock Medard, werkman en Temperville Clara, kantwerkster Devos Maurice, werkman en Verschoore Maria, werkster Geeraert Phila- gon, werkman en Pannekoecke Julienne, werkster Bouw Maurice, werkmanen Larou Julie z. b. Delbaere Albert, handelaar en Billiau Martha, bijzondere Bouw Maurice, koopman en Verhaeghe Madeleine z. b.

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 15