MUZIEKHUIS
Daniël Werrebrouck=Fiers
Goede Meid
Zondagrust - Repos dominical
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Un cercle de tennis est en voie de forma
tion a Ypres il sera définitivement constitué
«dans une réunion lui sera convoquée dans les
■premiers jours. Les personnes désirant rece-
voir une convocation sont priées de s’inscrire
-chez M"e Vandarghote, Chaussée de Zon-
nebeke.
op Zondag 6, Maandag 7 en Donderdag
10 Mei. Velokoersen, schieting en allerhande
volksspelen. (Zie plakbrieven).
Burgerlijke stand van 7 tot 13 April 1923
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est établie a Wervicq, Place de la Gare, Hotel
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Binnen kort opvoering te YPER van
Kluchtig zangspel in 3 bedrijven, met begelei
ding van symphonisch orkest. Tekst van Em.
Serroen, muziek van Albert Lietaert.
Het verslag van het concert van Zondag
1.1. moeten wij uit plaastgebrek verschuiven
lot te naaste week,.
un doux utopiste, a trouvé la formule d’un
explosif si meurtrier, que par un excès de
pacifisme sentimental il n’en divulguera jamais
le secret. Son père sachant la guerre proche
et au courant de l’invention de son fils, veut
que son pays en bénéficie. Le fils hésite sur
le devoir. Le choc des volontés et des senti
ments opposés désagrègent cette familie jus-
qu’au tréfond des ames et portent le drame et
la lutte au paroxysme. Enfin la Patrie est
en danger, la mort de ses frères a l’ennemi, la
douleur maternelle criant vengeance, guéris-
sent Pierre de son illusion, le rendent au
devoir et a la défense de la terre patrie.
Le premier acte nous transporte a Paris,
chez le Colonel Eulin. La seconde scène, se
passe chez le lieutenant Eulin, dans ses cham-
bre d’étude et laboratoire a Vincennes, oü le
père s’est introduit nuitamment, pour s'empa-
rer du secret, et le remettre en mains propres
du ministre de la Guerre, auquel il avait donné
rendez-vous en ce lieu.
Impossible de décrire ces deux scènes,
sans en diminuer involontairement la valeur
talentueuse des artistes, et l’incomparable
enracinement du plus pur, et du plus noble
sentiment de patriotisme.
Maintes fois les acteurs furent arrêtés par
d’interminables applaudissements. La foule
se sentait emportée... des dames pleuraient
dans les quatre coins de lasalle archicomble...
les hommes fermèrent les yeux... pour ne pas
y laisser apparaitre une larme... D’un autre
cóté, d’anciens combattants avaient difficile a
se retenir... ils se sentaient entrainés... comme
s’ils se trouvaient devant une réalité... dans
leurs veines encore meurtries dufléau d’hier...
chauffait le même sang pur et noble... que le
grand écrivain a si adroitement pu injecter
dans la personne du Colonel Eulin, qui inter-
prêta son role, d’une faqon totalement irré-
prochable. Les autres acteurs, chacun dans
leur róle respectif, ont remporté le plus bril-
lant succès.
Bonsoir Voisinopéra comique en un
acte de Brunswick et de Beauplan musique
de F. Poise... pour compenser les larmes
de tantót, sema la joie dans l’auditoire...
lequel ne cessa d’applaudir Chariot et Loui-
sette. C’est vous dire, pour être trés bref...
que ce fut une soirée sans pareille pour
Wervicq...
Quiconque a assisté a cette belle fête, en
gardera un impérissable souvenir... et tous
ceux qui ont manqué... le regretteront amè-
rement.
A 8 1/2 heures la foule se retira... rayon-
nante... exprimant le vceu ardent d’encore
pouvoir admirer pareille soirée... aussi je
souhaite de tout cceur... que cette fois... ce
soit une de nos sections dramatiques locales
qui tentera l’effort de donner pour ceux qui
n’ont pu assister a« cette fète le même
programme Servir et Bonsoir Voisin.
La recette nette ne sera jamais inférieure a
un beau billet de mille francs somme que
les organisateurs verserontau profit du memo
rial, qui doit s’achever pour le 7 mai prochain.
Dans un prochain numéro je pourrai
communiquer le cumul des sommes récupé-
rées, Au Chapitre (local) des sociétés i° Een
dracht maakt macht 2° La grande Har
monie et le Cercle Choral La Renaissance»
par les susdits groupes, ayant largement
collaborés a l’érection du monument.
Dimanche une dernière société donnera sa
representation. Nous en ferons part aux
fidèles lecteurs.
Pour l’instant avant de déposer mon stylo...
il ne me reste plus qu’a adresser au nom des
glorieux morts un bien cordial merci aux
organisateurs et a la section de Courtr-ai,
laquelle arejoint sa ville, contente et heureuse
de l-’éblouissant succès obtenu chez nous.
(s.) P. de Bonsang.
-1 gevraagd van 3o
tot 40 jaar. Wel
Adres ten bureele van dit blad.
(Vervolg)
Jamais la salie du Chapitre, anciennement
Ila maison des chanoines plus tard devenue
un «Orphelinat» et actuellement salie de spec
tacles Cinema-Brasserie» et théatre,
eonnut assistance plus brillante, plus
breuse aussi, que celle accourue dimanche
dernier, 8 avril.
Mais qus peut-il bien se passer dans l’en-
ceinte de ses vieux murs, pour que toutes les
personnes notables de la ville, la bourgeoisie,
- et grand nombre de villageois de notre loca-
lité steur (Werviq-France), se dirigent en
groupes compacts, vers de papschool
Worden er pap borden uitgedeeld
riep een straatjongen, tot de menigte maar
’k had hem te knippen. ’t Is voor te lachen
zegde hij mij bevreesd, denkende dat ik hem
een oorveeg zou gegeven hebben.
Als ik hem losliet, nam hij spoedig het hazen
pad... la clef des champs comme, disent nos
bons voisins.
Mais en réalité, que se passait-il, ou que
devait il y avoir lieu Suivant l’exemple de
-tant d’autres sociétés locales, la grande Har
monie et le cercle choral La Renaissance
organisaient ce jour une soirée dramatique et
musicale, au profit du monument pour nos
soldats tombés au champ d’honneur, victimes
du devoir pour la Patrie, fauchés par les hor
des teutonnes. A cette occasion, la section
dramatique et lyrique Comedia de la jeune
garde catholique de Courtrai, avait bien voulu
prêter son bienveillant et gracieux concours.
Voyons le programme.
Une vibrante Brabanconne suivie de
■<La Muette dp Portici» par 1 orchesti esympho
nique, sous l’habile direction de M. A. Ver
meulen de Courtrai, marqua 1 ouveituie.
IServir comedie dramatique en 2 actes
de M. H. Layedan de l’académie franqaise.
Le drame de Lavedan «Servir» s’appa-
rente par la similitude du fond a Horace
la magistrale tragédie de Corneille, ces deux
chef-d’ceuvres magnifient le même sentiment,
éternellement humain le Patriotisme.
Résumé. Dans la période d’avant guerre,
le colonel Eulin, victime des fiches est mis a
la retraite d’office. Son plus jeune fils Pierre,
Geboorten Bulckaert Jeanne Clabau Maria Boer-
have Paula Bossaert Martha Vandevoorde Roger
Blanckaert René.
Overlijdens Feys Frederic, 82 j., z. b. weduwaar van
Octavie Van Calis, Sectie I. Maerten Henri, 68 j., landge
bruiken echtg. van Sophie Carpentier, Sectie K. Maes
Jean, 8 m. zoon van Hector en Simonne Rommens, Yperstr.
Deschodt Regina, huishoudster, echtg. van Charles Bouten,
Casselstraat. Capoen Ida, 85 j., z. t>. weduwe v. Marti-
nus Ooghe, Sectie L.
Huwelijken Bourgeois Joseph, smid en Dewachter Alice
z. b. Bossaert Maurice, bakker en Neuville Celestine,
naaister Segers Engel, z. b. en Verhaeghe Maria, z. b.
Verhaeghe Arthur, handelaar en Bustraen Germaine z. b.
Onraedt Alphonse, werkman en Dejaegher Sarah z. b.
Deroo Germain, werkman en Clabau Maria z. b. De-
weerdt Jeróme, landbouwer en Rosseel Adrienne, land
bouwster.
Huwelijksbeloften Delputte Gerard, bankbestuurder en
Vantilborg Stephanie z. b. Develder Gustave, treinwach
ter en De Byser Agnes z. b, Boeraeve Marcel, landbouwer
enLermyte Madeleine, landb. De Cock Medard, werkman
en Temperville Clara, kantwerkster Devos Maurice,
werkman en Verschoore Maria, werkster Geeraert Phila-
gon, werkman en Pannekoecke Julienne, werkster Bouw
Maurice, werkmanen Larou Julie z. b. Delbaere Albert,
handelaar en Billiau Martha, bijzondere Bouw Maurice,
koopman en Verhaeghe Madeleine z. b.