Stad Wervik
Total.
Hulde aan onze Gesneuvelden en aan onze
Burgerlijke Slachtoffers.
18
g5
43
80
24
3
16
.32
beige accueillera notre nouvelle demande dé
capitaux. La restauration du pays le réclame
une tache aussi primordiale ne peut manquer
de rencontrer l’appui et la collaboration de
tous ceux qui ont a cceur la reconstitution de
la Belgique.
Uw bloed, Yzerjongens, heeft niet nutteloos
gevloeid. Uw geboortestadje, zóo erg verwoest
kort na den stilstand van wapens, is, dank zij
uw offer, uit zijne vernieling, met vernieuwde
krachten verrezen 1 Het begint te herbloeien
het heeft bijna zijnen welstand van voorheen
teruggevonden.
Met ter uwer eere en ter gedachtenis van de
burgerlijke slachtoffers, een Gedenkteeken op
te richten, herinnert het zich al hetgeen het aan
u verschuldigd is.
Aan de 57 Werviksche gelden,
onze eeuwigdurende erkentelijkheid
^an de 45 burgerlijke slachtoffers van Wervik,
onzen diepsten eerbied I
Jefken van den Strooien Haan
op Zaterdag, 12 Mei 1928.
Le rapport du conseil d’administration de
la Fédération distribué aux assistants est con-
<;u comme suit
Rapport du Conseil d’Administration
Messieurs.
Nous avons l’honneur de sóumettre a
votre approbation les comptes du quatrième
exercice social de la Fédération des Coope
ratives pour Hommages de Guerre.
Les chiffres du bilan marquent une trés
sérieuse avance sur ceux qui constituaient le
bilan de l’année 1921.
Le nombre des coopératives groupées
autour de la Fédération est cependant en
régression. Elles se répartissent comme suit
Pr. d’Anvers8 coopér.
Pr. de Brabant
Pr. de la Flandre Occidentale
Pr. de la Flandre Oriëntale.
Pr. du Hainaut
Pr. de Liège
Pr. du Limbourg
Pr. du Luxembourg
Pr. de Namur
Gij dappere helden, zult trillen in uw graf,
wanneer men de oproeping zal doen van uwe
namen, en wanneer ge bemerken zult dat
ménigeen onder de aanwezigen, de opwellende
tranen niet zal kunnen inhouden. Alsdan zult
ge zien dat de droefheid van uwe ouders, van
uwe naastbestaanden, van uwe vrienden en
kennissen, immer ongestelpt blijft. Ge zult
kunnen bestatigen dat de bevolking u nog altijd
in eere houdt, en dat de diepe eerbied welke
men voor u koestert, onvergankelijk is.
Gij, ongelukkige burgers van den wreeden
oorlog, ge zult u mogen overtuigen dat uwe
stadsgenooten zich den treurigen bezettings
tijd met benauwdheid herinneren, en dat ze
nog altijd denken op de bittere rouw die in
zooveel huisgezinnen wierd rondgestrooid.
Gij zelf, zult bemerken dat de Wervikanen
u ook niet vergeten hebben.
De langverwachtè dag is in ’t verschiet,
waarop de bevolking van Wervik, de inhul
diging zal mogen vieren van het Gedenkteeken
opgericht ter herinnering van de helden die
hun edelmoedig bloed vergoten op het slag
veld, en der burgers die hun leven lieten ten
gevolge van oorlogsfeiten.
Morgen zal Wervik volop in feest zijn.
Al de straten, al de wijken van stad zullen be-
vlagd zijn, en zullen hun gewaad van de groote
dagen aantrekken. De bevolking van de omlig
gende gemeenten zal men bij duizenden en
duizenden zien toestroomen, terwijl talrijke
maatschappijen uit den vreemde zullen aan
komen. Een wasem van vreugde en blijdschap
zal in de lucht zweven, getemperd nochtans
van lichten, schier onvoelbaren weemoed.
Muziek- en turnmaatschappijen, te midden
in eene wemeling van bonte kleederdracht,
zullen de straten van stad doorkruisen, meê-
slepende marschen spelende. Het zal eene
echte herwording zijn het doode Wervik dat
uit zijn graf opstaat, om eere te bewijzen aan
zijne gesneuvelden
’s Namiddags zal de onthulling van het Ge
denkteeken plaats grijpen. Plechtig, hart
roerend oogenblik, voorwaar, alswanneer men
zal overgaan tot deontsluiering van den brons,
die een gewonden soldaat verbeeldt, de over
winning tegemoetgaande.
Op dit oogenblik zullen ongetwijfeld al de
inwoners van Wervik denken aan de diepbe-
treurde gevallen soldaten, die worstelden voor
het Recht, en die vastberaden hun leven ten
beste gaven op het altaar van het Vaderland,
voor het welzijn hunner medeburgers. Zij
zullen insgelijks de burgerlijke onschuldige
slachtoffers van den bloedigen wereldoorlog
gedachtig zijn, die zóo onmeêdoogend werden
weggemaaid door hetijzer en het vuur.
ment encore que l’ont été les précédents.
Je vous demande a tous de collaborer par
votre propagande, chacun dans votre com
mune, pour que le troisième emprunt rencon
tre le succès des deux autres. Nous pourrons
alors a la prochaine assemblée générale dire
que les résultats ont été vraiment magnifiques
et ont dépassé nos prévisions. (Longs ap-
plaudissements.)
319 coopér.
contre 324 au 3i décembre 1921-
Cette diminution est due a deux causes
d’abord la dissolution de groupements en
petit nombre jusqu’a présent ayant réalisé
l’objet de leur création, et, ensuite, l’absorp-
tion de coopératives, dont le maintien n’était
plus justifié, par d’autres sociétés qui ne se
sont pas laissé rebuter par 1’augmentation
souvent sensible de. leur tache. Il n’est pas
douteux qu’une meilleure repartition des
efforts a été réalisée de ce fait.
La comparaison de quelques chiffres ren-
dra facilement appreciable 1’accroissement
des progrès de votre Fédération.
Les credits ouverts, qui étaient de i35 en
1919, ont passé successivement a 20,665, en
1920, a 69,947 en 1921, pour atteindre 120,903
credits au 3i décembre 1922, et ce pour des
montants toujours accrus, de 1,843,700 francs
en 1919, 258,144,700 francs en 1920, fr.
840.512,115,46 en 1921, fr. 1,424,091,584,67
en 1922.
Au moment de la cloture des comptes,
l’intervention de la Fédération se totalise par
fr. 1,379,774,923,63 versés effectivement entre
les mains des sinistrés, dont 328 millions
948,365 fr. 49 c. prélevés sur les avances de
la Trésorerie et fr. i,o5o,82Ö,558.I4 prove-
nant des deux emprunts conclus a ce jour.
Les transactions, qui constituent actuelle-
ment l’élément principal du travail des coopé
ratives, figurent dans ce total pour francs
43,685,848-85, représentant 19,212 opéra-
tions.
Il nous est particulièrement agréable de
pouvoir vous dire que le crédit de 2 millions
de francs mis a notre disposition par l’État
n’a été utilisé qu’a concurrence de francs
1,750,000 le surplus a été couvert paries
ristournes abandonnées par les coopératives.
Cette heureuse participation aux charges de
l’organisme central mérite de retenir l’atten-
tion du pays elle est une preuve manifeste de
ce magnifique esprit de solidarité qui inspire
ceux qui ont assumé la charge ingrate et dif
ficile d’organiser la couverture des homma
ges causés par la guerre.
Les fonds apportés a la Fédération par
les emprunts s’épuisent un nouvel appel a
l’épargne s’impose abref délai, Nous sommes
certains, dès a présent, que le succès qui a
couronné nos démarches auprès du peuple
nous
Possible
cela ne
e ministre d’État Levie clót la séance
Par les paroles suivantes
Il nous reste a faire appel au pays pour
Ue notre emprunt soit couvert plus rapide-
M. le président félicite M. Ugeux pour son
beau et patriotique rapport.
M. Van Schoor donne ensuite communica
tion de la traduction flamande de ce document.
M. De Coninck donne ensuite lecture du
rapport du collége des commissaires.
M. Levie fait l’éloge du soin, de l’exacti-
tude, de la diligence, que les commissaires
apportent dans I’accomplissement de leurs
fonctions il n’y a pas de semaine oü les com
missaires ne viennent inspecter la comptabi-
lité. Le conseil d’administration est le premier
a s’en réjouir et il félicite les commissaires de
leur collaboration.
M. Van Schoor donne communication de
la traduction flamande du rapport des com
missaires.
Le bilan et le compte des frais généraux
sont mis aux voix et adoptés a l’unanimité.
En presence du grand succès qui s’annonce
P°ur le troisième emprunt, un assistant de
mande si les titres qui seront souscrits par
les membres des coopératives pourront leur
tre attribués d’une faqon certaine.
le président répond que le conseil d’ad
ministration n’a pas été appelé a délibérer sur
nette question il a chargé deux administra-
l-eurs, MM. Ugeux et Mertens, de se mettre
en rapport avec M. Theunis pour déterminer
es COnditions de l’émission.
M. Mertens déclareII ne peutètre donné
e Certltude, car l’emprunt a été pris ferme
vous promettons de faire tout notre
pour vous donner satisfaction, si
dépend que de nous.
tivem’ent les 10 décembre et 14 janvier
C iers Nous avons été soutenus par le con-
empressé d’administrateurs de coopé-
fves siégeant au chef-lieu d’un arrondisse-
r 'udiciaire ou dans le voisinage immédiat
^hef-lieu- Les opérations ont déja com-
ncé pour l’arrondissement de Termonde,
yjmpulsion de notre nouveau commissaire
„„.z Van Schoor, administrateur-délégué
la Cooperative de Termonde, et les résul-
obtenus a ce jour dépassent les prévisions
s plus optimistes.
Bientót, la Fédération s’adressera au
blic pour la troisième fois, en vue d’obtenir
es capitaux frais dans le courant de ce mois
nouvel emprunt de un milliard sera émis.
1 faut qu’il réussisse le long travail prépa-
toire de cette importante opération a été
irveillé de trés prés par M. le Premier
linistre.
w M. Theunis, qui est l’homme des com-
ressions et qui sait comprimer toutes les
épenses inutiles, a bien compris que la
épense que nous faisons est une dépense
écessaire, fructueuse, puisqu’elle relève des
nines en même temps qu’elle soutient bien
es industries et augmente les facultés contri-
utives de la nation.
Qu’il nous permette de le remercier, une
ois de plus, de l’aide définitivement utile qu’il
ibien voulu donner a la Fédération, au milieu
les lourdes taches dont la période actuelle
:harge ses épaules.
De votre cóté, Messieurs, vous devez nous
lider a faire réussir l’Emprunt en ce faisant
vous vous aiderez vous-mêmes. Faites que,
par votre propagande, 1’Emprunt soit vite
pris d’assaut et enlevé ce sera une nouvelle
victoire ainscrire a votre actif.
Ainsi, Messieurs, le pays aura fourni de
nouveaux moye’ns d’action a tous ceux qui, a
cóté de notre cher président, M. le ministre
d’État Levie, veulent avec tout leur cceur et
toute leur conscience, que la bonté dont il
nous paria en termes si prenants a Dinant,
tout récemment, pénètre plus avant dans la
masse encore trop dense de ceux qui soufirent
de la guerre et que nous avons promis de
soulager.