w53 M It! ■Éi FEMPRDNT 5 P. c. A LOTS 1923 1 Ki ia n'qji! M «I w I UITTREKSEL van een vonnis tegensprekelijk uitgesproken door de Rechtbank van Eersten Aanleg van het Arrondissement Yper, Provincie West-Vlaande- ren, er zetelende Eerste Kamer, den 3 Mei 1923. Oorlogsschade-Dommages de guerre 4 9 2,50 HI ■U par prix 2 8 Le Coin du Sinistré 11 ii.i35 3.939,82 3879 Dans le cas oil les souscriptions dépasseraient le notnbre de titres offerts, 11 y aurait lieu A reduction des demandes. 25.6g5,66 31.480,17 i3.3o2,i5 7.002,90 24.539,17 10.777,5o 20.293,27 5760 Rechtbank van Eersten Aanleg van Yper o Nr 254 der Greffie -- Nr 292 van het Parket 24.166,15 2402 1025 2425 n65 i375 535g 10 1402 25oo 3i5 3iio,io i3o5 1070 2g65 i3g5 1370 1120 gio g35 3640 985 - 885 - 8835 - 2325 i56o 140 765 3400 3i5 i8g5 1940 - g55 - 14.325 22.382,50 860,45 i5.657 Baenden Woussen Leopold Reninghelst Catteau Charles In de laatste zitting der Scheidsrechterlijke Commis sies werd de schade, waarde 1914, als volgt vastgesteld voor de hiernavernielde geteisterden Dans la dernière séance des Commissions Arbitrates la valeur des dommages 1914 a été fixée comme suit pour les personnes ci-dessous Dranouter Sonneville Emile Gheluwe Colpaert Cyrille Baeckeland Constance we Malfait Ackou-Bolle Jules Decat Alois Mesure-Bostyn Hector Marrecau-Delavie Jules Vanhulle-Foret Joseph Lepinoy-Bouckaert Arthur Hemmed Gauquie Petrus Geerardyn Benoit Callens Camille We D’Hoine-Wildermeersch Meessen Vanlerberghe Camille Neuve-Église règlent la question de la cession ne contien- nent aucune restriction ou réserve a eet égard et semblent précisément jaits pour arriver d la reconstruction des biens et industries lorsque les anciens propriétaires ne pourraient pas le faire pour un motif quelconque, par exemple le trop grand age, le manque de fonds, l’eloi- gnement du pays, etc Attendu que dans ces conditions on objec- terait également que le cédant n’avait pas de droit a l’indemnité de remploi, puisqu’il n’allait pas pouvoir reconstruire ou reprendre son industrie et pourtant, on doit admettre que son cessionnaire, a qui cette demande complémentaire aurait été cédée, peut léga- lement l’obtenir Attendu que l’on ne doit pas perdre de vue que le législateur a vise en accordant une indem- nité de remploi autant, si pas plus, la restaura- tion du pays que la- réparation du dommage des particuliers Attendu que le système du premier juge aboutirait a cette cbnséquence désastreuse pour le relèvement de la patrie, qu’il faudrait examiner en chaque espèce de cession si le cédant pouvait faire le remploi, et, en cas de conclusion négative, refuser l’indemnité com plémentaire au cessionnaire, ce qui supprime- rait pour la plupart des demandes, l’utilité de la cession Attendu qu’il résulte de ces considérations que la demande de remploi est recevable Attendu que son utilité est incontestable puisqu’elle aura pour conséquence la recon stitution d’une industrie nationale intéressan te. (Ils’agit d’une usine de déglycérination.) YVES. 'Icour ixelles, dans une espèce bien moins favorable Blue le cas habituel des cessions d’indemnités pour construction, a fixé d’une manière excel- lente les principes en la matière. Cette jurisprudence mérite d’etre citée. s par lesquels la cour décide indemnités de remploi que le La souscription sera ouverte au 31 mai procHain Une décision intéressante au point de vue des principes adtnis par Ia loi en matière de cession d’indemnités. On agite beaucoup pour le moment tant |<lans le public que dans les sphères des orga- i mismes de dommages de guerre l’importante .question des cessions d’indemnités. On le sait, la question n’a d’intérêt qu’en ce qui concerne l’indemnité de remploi. 1 Le sinistré qui ne peut pas ou ne veut pas ^employer a-t-il le droit de céder a un tiers U ..son droit d’user des indemnités avec la prime .au remploi Le cessionnaire aura-t-il le droit au remploi que le cédant n’aurait pas eu lui- .unême Nous avoirs dit souvent que, dans le systè- me de la loi, cette cession était parfaitement permise et mêrne favorisée. Si la loi n’avait pas organisé directement la j ^cession, d’ailleurs, les sinistrés se seraient bien arrangés pour l’organiser indirectement. Moyennant certaines conventions avec leurs >’Cessionnaires, les sinistrés eussent fait le rem- ploi en leur nom et ils eussent alors cédé le tbien ainsi reconstitué. C’est pourquoi la loi a bien fait d’admettre ’*et d’organiser la cession. Elle a même bien J fait de la favoriser car elle favorise en même f temps la reconstitution économique du pays. I Dans ces conditions, toutes les entraves que 1 le ministère veut mettre au libre jeu des ces- psions sont en contradiction avec la volonté 1 -du législateur. I Un arrêt récent de la ire chambre de la d’appel des dommages de guerre de Bru- i Wervik Deswaene-Vandermeersch Adolphe 6290 Beuneken-Dewilde Auguste Delporte-Willemets Henri We Deblauwe-Delobel en kindefs We Lemahieu-Verbeke We Mahieu-Bouckaert Debrabandere Désiré D’halluin broeders en zusters Mahieu-Debaere Julien We Coffyn-Hoorelbeke en kinders Hoornaert Louis Callewaert-Lenoir Jules Breyne-Dekeyser Joseph Masschelein Emile We Berten-Wyckaert Desbonnets-Marescaux Pierre Deleu Rosalie we. Mariacour Breyne-Lesaffre Léonard Vervisch-Delmeere en kinders Lesaffre-Pauwels Léon Maricaux-Prouvost Henri Biesbrouck-Overfelt Arthur Nisen-Ghesquiere Camille Durnez-Billiet Charles Vandermeesch Marie we. Maertens Verfaillie Marie-Louise Emaer Gustave Denys Albert Braem-Clicque Polydore Storme-Leire Arsène Leire Pieter Devogen-Bouchaerd Henri Vanheule Edmond en kinders Wytschaete Catteau Charles Molhant Vincent Couvreur Maurice de la Fédération des Coopératives pour Dommages de Guerre Intérêt 5 p. c. net d’inipöt Re^ngbourscmcnt par tirages mensuels par 550 FRANCS ou lots de 10.000, 50.000, 100.000, 250.000, 5 00.000 ou 1.000.000 DE FRANCS cl m i s s i o n Voici les motifs "d’accorder les 1 juge avait refusées. Attendu que l’appelant limite son appel a a demande de l’indemnité de remploi en se asant sur l’utilité de ce remploi et sur le droit "Qu a tout cessionnaire de réclamer pareille in finite même si son cédant n’aurait pu l’ob- g'tenir I Attendu que si la société cédante a été dis- I °ute le 18-9-1920 et semble done par le fait, J’ rV°lr len°ncé atoute idéé de remploi, il n’en u e pas nécessairement qu’elle n’aurait pu Kil S' e^e avatt affirmé que, malgré cela, - aurait fait le remploi, continuant a exister F0Ur sa ^^u’dat^on r. i’"U< Ce^a étant, elle pouvait céder ses droits K ’ndemnité de remploi f cédtten<lu mème en admettant que la société l'n’ aU e’ d'ssout:e au moment de la cession, Ouk PU °^)':en'r Pareille indemnité, il n’en ré- l)as encore que le cessionnaire ne peut ttendu qu’en effet les articles de la loi qui Kamer van drie Rechters. Inzake het Openbaar Ministerie, tenlaste van 420. - MARESCAUX Emiel, zoon van Hendrik, geboren te Wervik den 12 Juli i85i, winkelier er gehuisvest, Ooievaer- straat. W edersprakelijk. Overtuigd van te Wervik op 6 Februari 1923 Goederen of levensmiddelen van eerste noodwendigheid verkoopende of te koop stel lende, de lijst der verkoopprijzen van ieder der te koop gestelde waren niet op zeer dui delijke en zeer leesbare wijze te hebben aan geplakt aan de vitrienen, ingang en binnen plaats van zijnen winkel. De Rechtbank bij toepassing der artikelen 85, 40 van het Strafwetboek 194 Strafvorde- ringsw'etboek art. 1 Wet van 24 Juli 1921 1 en 5 Koninklijk Besluit 4 Mei 1920; 1 Besluit Wet 5 November 1918; 1-2-3 Wet 11 October 1919 1 Wet 16 Oogst 1920 2 Wet 10 Juli 1921 2 Wet 3i December 1921 2 Wet 3o Juni 1922. Veroordeelt hem tot eene boete van tien frank en tot de kosten begroot op zeven frank 93 centiemen. Beveelt de bekendmaking van het vonnis bij middel van inlassching in het weekblad «Het Ypersche en van aanplakbrieven op het lokaal tot den verkoop bestemd. Zegt dat de aanplakbrieven zullen opgehan gen blijven gedurende vijftien dagen. Zegt dat, bij toepassing van artikel 1 der Wet van 24 Juli 1921, de boete van tien frank verhoogd wordt met twintig opdeciemen weze dus samen dertig frank. Zegt dat de boete zal mogen vervangen wor den door eene gevangzitting van twee dagen. Voor gelijkvormig uittreksel afgeleverd ten verzoeke van het Openbaar Ministerie. Vonnis zonder beroep. Yper, den 16 Mei 1923. De Opper-Greffier' der Rechtbank, Charles PIEN. 0 1116 100 3go 400 1995 it ill fi r I I Pl - - It

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 5