8 ft I lil I JI lil IlliML j M I II fpl°iep-S fci«stréS- t „D’auti-6 Palt- 1M n h Oorlogsschade -Dommagas de guerre loi I spaarzaamste Autoriitmg der wereld. Besparing in liet verbruik en van onderhoud. VERBRUIK OP DE 100 KILONIET:-.RS 250 grammen OLIE 1 qui,Par En 1697 1780 non^accord 3667,5o 2236 We Depuydt Degeyter Albert Bonduel Fernand Provost Lecompte Constant Delsalle-Geldot Vanhee Hélène 39,968 12.353 - Neuve-Eglise Lecauche Vittu Oost-Nieuwkerke Degryse Jacob Boutens Jean Huyghebaert Camille Dejonckheere Jules Ploegsteert Claeys Emile We Pi nek Poupaert Charles Westouter Knockaert Emile Wytschaete Vandecasteele Honoré 2945 5117 25o8 i368 - n33 1062 2175 14.762 i35o io53 2811 2137 1675 io57 2297 661 - 5i75 32.73o 9770 1450 23o5 13.400 4865 - foise sont subsitués a ceux a voulu-aider dans 1’ceuvre de la I'^Sj lt°Utintérèt ®ains du <feir 10.325 36.468 7655 6070 5822 21.725 8700 770 5oio 5849 1700 Inde laatste zitting der Scheidsrechterlijke Commis sies werd de schade, waarde 1914, als volgt vastgesteld voor de hiernavermelde geteisterden Dans la dernière séance des Commissions Arbitrates la valeur des dommages 1914 a été fixée comme suit pour les personnes ci-dessous Bas.Warneton -■fidération de l’intérêt écono- ,résentait la reconstruction des Staden Lapeire-Verhulst Alois Vandeputte-Gheeraert Jules Vandamme-Maes Delie Rosa echtgenoote De Smaele Soenen-Aleyn Charles Vanraes-Mollin Charles Lefever-Castelein Pattyn-Dewilde Edmond St. Jan Hoflack Jules en consoorten Gesquiere Julie Warneton qui contient en germe un attentat contre la justice et une atteinte a des droits reconnus. Nous comptons sur tons les groupements de sinistrés, sur toutes les cooperatives de sinistrés du pays pour se joindre a nous. Et nous attendons du Parlement qu’il fasse recpecter nos droits I Pour la Fédération nationale des sinistrés Le secrétaire, Le président, Ad. LEDOUX. P. BEAUPAIN. culepas pines |ion i- l’intérêt I.1- Six Henri Erfgenamen van D’hondt-Mahieu Beveren VandeginsteThérèsew'. H. Catteeuw 1717 Boesinghe Meersseman Charles Gits Vermeersch Hector Hooglede Vanacker-Sobry we. Charles Langemarck Morent Hippolyte Dochy Charles Hessel-Vandenbussche Jules Vanlauwe Charles Depuydt Isidore W' Callens-Dubois Roose Amand Dekyndt Camille Dekeirle Henri Vannoote Charles LiebaertIda Garage e’ëenaars van een CITROÊN-AUTO wat zij er van denken. A a h trassi 7 1/2 liters NAPHTE DUNN cie (HH. Quinet et Wolley), Kataloog en proeven gratis op aanvraag. I L' F j P’ se font sentir. 3€ T 1 es cessioniia-ires qui réalisent d’énor- B S. énéfices aux dépens de l’État. Or, com- ■tr 1 exP°sé des motifs, l’indemnité de <ie Pj01.naé*é accordée qu’en consideration f lnerèt économique que représentait la ■en t< - l' t'°n des b'ens sinistrés. Dés lors, Kit a cause> l’État devra payer et il pdiffpU P°'nt vue financier, lui ètre assez M.7 ^FyeraM. X..., cédant, ou a |Ma"’ Cess’Onna’re- jue le ?°'nt (^e Vue Prat’clue, et c’est ce h. kls ateur a bien compris jusqu’ici, il tiès souvent, a payer entre les cessionnaire, qui est généralement et de la volonté de se mettre a l’°euvre. Un grand nombre de maisons, dans les régions dévastées, sont dues a l’initiative des cessionnaires. Nombreux sont aussi les cessionnaires qui n’ontpas retiré de la construction les légitimes bénéfices qu’il en attendaient. Concluons Le gouvernement n’a aucune raison valable pour trapper de déchéance le cessionnaire qui a repris le droit a son cédant, en des condi tions exclusives de mauvaise foi, et qui s’eh- gage a subir toutes les charges et tous les en nuis qui résultent de la reconstruction. Dans l’espèce, l’État, sous prétexte de redresser un abus, qui aurait été cpmmis aux dépens du sinistré, sans rien redresser du tout, cherche lui-même a commettre un abus au détriment du cessionnaire, une spoliation, sans que laprétendue victimepuisse y trouver le moindre profit. Les termes mêmes de Partiele proposé per- mettent de supposer qu’en tout état de cause, même lorsque le jugement est intervenu, l’État pourra se prévaloir de Partiele 1699 contre le cessionnaire, ce qui est contraire a toutes les notions de droit admises. L’État se réserve le droit de faire un emploi judicieux du droit afui conféré, d’en user sui- vant les inspirations du moment ou même peut-êtresuivant certaines sympathies, ouvrant ainsi la porte d l’arbitraire et au favoritisme. Enfin, le droit de cession favorable a l’es- prit d’initiative, a été un des puissants agents de reconstruction dans les régions dévastées et, sous prétexte d’en combattre les préten- dus abus, il ne faut pas en tuer les avantages. Telles sont les principales raisons qui ne nous permettent pas de nous rallier a la dis position de Partiele 5. Nous voulons bien aider a combattre les abus, tous les abus, mais il faut que ceux-ci soient réels et que les moyens qu’on propose soient appropriés au but a atteindre et il ne peut nous convenir de partir en guerre contre tel abus, si e’est pour donner accès a des abus nouveaux et plus grands. Note. On dit que l’État reprendrait le droit et se réserverait le droit de ne pas batir, ce qui serait désastreux au point de vue de la restauration des régions dévastées. Une voix Autorisée Telle est aussi Popinion exprimée dans La Revue des Dommages de Guerre. L’article 5 du projet, dit-elle, tend a consa- crer un principe gros de conséquences il veut réagir contre certains abus, c’est parfait, et chacun y applaudira. Mais on est en droit de se demander si le remède n’est pas aussi grave que le mal que Pon veut atteindre. L’article 1699 du code civil qui régit le re- trait litigieux répond-il a la situation du sinis tré de guerre qui a cédé le droit a ses indem- nités a un acquéreur de bonne foi Appel aux sinistrés Sinistrés, voulons-nous que la réforme de nos tribunaux risque de conduire a une situa tion inextricable Voulons-nous une justice domestiquée Voulons-nous que les cessionnaires soient arrachés au régime du droit pour être soumis au régime de l’arbitraire et du favoritisme Voulons-nous livrer nos droits sans même essayer de les défendre par tous les moyens légaux en notre pouvoir Non pas II faut éclairer le gouvernement, les législa- teurs, Popinion publique, sur Podieux projet Meenenpoort, Y P E R la charge que l’État assume dJ remploi, est immense il ne re- devantcette charge il accorde a cer- tégories de préjudiciés, une répara- XJrale, et cela, dans le but de servir q national. Uais il ne laut pas que le sacrifice que Lé/t s’impose ait pour consequence Penri- t ason préjudice, des non-sinistrés chlS5ellldes operationspurementspéculatives, t même quelquefois suspectes au point de Medela bonne planation restauration. [«Une application judicieuse de Partiele L du code civil, permettrade donner aux [demnités allouées par les juridictions des lommages de guerre leur destination réelle, Out en ménageant les finances de l’État. Observations fait d’abus, le gourvernement signale lans sou exposé j» Les cessionnaires qui ont repris a vil irix, parfois même a la suite de manoeuvres rauduleuses, les droits de tel ou tel sinistré, tobtiennent néanmoins toutes les indemnités lévues par la loi. Si pareil abus existe, turquoi dès lors prendre une mesure pouvant tteindre tous les cessionnaires, y compris eux qui ont agi avec une absolue bonne foi ïtpourquoi ouvrirun droit au profit de l’État tpas au profit du sinistré, lui-même préten- mnent victime 2’ Les cessionnaires qui ne tiennent pas bmpte des considérations primitives des im- neubles détruits ou des particularités locales risquent par la de bouleverser l’écono- lie des cités. En fait, il arrive aux sinis- rcstout comme aux cessionnaires de modi- er, par exemple, la disposition des lieux, de éduire ou d’augmenter les capacités de loge- lent; dès lors, s’il faut prendre une mesure uur combattre cette faqon de faire, il y I pit lieu de prendre une mesure frappant joesceuxquise rendentcoupables du prétendu bn. De plus, il appartient au tribunal, et au jbunal seul, de vérifier et d’apprécier si le emploi s’effectue a des conditions satisfai- totes et rien ne permet de supposer que les Wictions des dommages de guerre négligent devoir. En bien des ■as, d’ailleurs, le fait ene pas respecter les conditions primitives immeubles détruits, lors de la reconstruc- I*11, l°in de constituer un abus, s’impose, au entraire, soit a raison des progrès survenus |nslait de batir, ou des besoins nouveaux 2200 280 1 (V11 i- P .M- I ■IJrii ld I j rji'; I hl li h wil I

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 7